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Mounir Ghabri : Les dettes des établissements publics auprès de la Steg sont de 300 MD
03/04/2019 | 11:29
1 min
Mounir Ghabri : Les dettes des établissements publics auprès de la Steg sont de 300 MD
 
Mounir Ghabri, directeur chargé des relations avec les citoyens auprès de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg), a indiqué, dans une déclaration à Business News aujourd’hui, mercredi 3 avril 2019, que cette société publique a commencé à couper le courant sur certains établissements publics et privés pour non paiement des factures bien avant le 1er avril. 
 
M. Ghabri a également indiqué que la Steg a coupé l’électricité dans certains établissements scolaires, notamment à Kairouan et Mahdia ainsi que dans les maisons de certains citoyens et des sociétés privées.
 
« Nous avons réussi à trouver des solutions avec certains clients. Ils ont commencé à payer en tranche leurs factures. D’ailleurs, les guichets de la Steg sont actuellement pleins. Par contre, certains clients n’ont toujours pas payé leurs dettes », a-t-il expliqué.
 
Le directeur des relations avec les citoyens a également indiqué qu’actuellement les dettes globales auprès de la Steg sont de l’ordre de 1,450 million de dinars (MD). Les impayés des établissements publics sont de 300 MD, les municipalités de 100 MD et les sociétés privées de 60 MD.
 
E.B.A.
03/04/2019 | 11:29
1 min
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Commentaires (4)

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Sadok Chikhaoui
| 04-04-2019 19:15
On ne dit pas ' à couper l'électricité sur certains ' mais à couper pour a certains ou pour. certains
Mais vous avez sans doute appris la langue de Moliere à la. Mosquée

Citoyen_H
| 03-04-2019 14:20
Remédier à cette situation chaotique est indispensable, sinon l'écroulement de l'état serait inévitable, surtout dans un secteur vital, tel que la production et la distribution de l'électricité.
Tous les attributs d'une réaction en chaine sont réunis, et cela dans plusieurs institutions étatiques.

Nous donner l'état de la situation à ce jour n'est pas assez objectif. Vous auriez quand même pu nous donner la situation des impayés avant 2011, afin qu'on puisse se faire une idée sur la PéRIODE CRITIQUE ou tout cela avait commencé.
Nous pourrions ainsi dégager des leçons à retenir.
Il est facile de pointer du doigt la STEG.
Déterminer les tenants et les aboutissants serait plus constructif.
Des têtes doivent tomber, même si ces derniers appartiennent à une ère révolue
Nous avons plein le "ionf" de voir des boucs émissaires pointés du doigt, comme ceux de l'affaire des malheureux nourrissons.

Punir lourdement les politicards de pacotille ayant déclenché cette dérive, améliorerait certainement le futur de notre NATION et le bien-être de nos enfants.
Il ne doit plus y avoir d'immunité accordé systématiquement à tous les pingouins qui ont trempé de près ou de loin dans ce genre de scandale.
Ils doivent être justiciables comme tout citoyen.

La Bérézina s'étant attribuée un siège permanent à la basse-cour de l'assemblée nationale depuis 2011, est l'exemple type de tous les déboires qui ne cessent d'envoyer le pays par le fond.


Chiens + électricité coupée : pauvres élèves lâchés...
| 03-04-2019 13:47
1/...on coupe dans les établissements scolaires...la honte....au lieu de les aider à mettre des panneaux solaires..../
2/ Avec ces impayés, le clou de Jha, comment se fait il que la STEG prend directement des crédits pour...compteurs intelligents... les priorités sont bien logiques dans la boite...

hadou
| 03-04-2019 12:51
avant de pleurnicher,allez voir les avantages qu'ont vos salariés..c'est enorme!!!!