| 01-03-2018 08:26
Le même ramassis d'??ânerie qu'on nous a sortie l'année dernière et pourtant l'Etat continue a encourager les crédits, "premier logement par ci, premier logement par la", tous les fonctionnaires qui ont un crédit seront aidés par une baisse ridicule des impôts, les nouveaux entrepreneurs ont également droit à leur crédit et avec un échéancier préférentiel, ceux qui crée un partie politique même chose, prêts pour une voiture populaire dont les prix ont grimpés comme pas possible, ...
Donc au final si les crédits dépassent les dépôts, et qu'en plus il y a des risques de baisses des salaires avec leur soit disant salaire selon le rendement (qui comme tout le monde sait sera de 100% au 9aweda et 9afefa et 0 à ceux qui ont un peu d'honneur et ne veulent pas lécher les bottes des patrons) donc plus de risque de ne pas rembourser les prêts, que d'un autre coté l'Etat qui est supposé garant pour rembourser le prêt en cas de décès ou renvoi du fonctionnaire, est déjà au plus bas et que la procédure est longue, les banques vont très bientôt s'en prendre plein la gueule. Vivre des intérêts des pauvres n'est pas une solution, encourager et parrainer des gros projets serait plus sage! mais nos banquiers vivent toujours dans les années 70! on ne change pas une solution gagnante même quand elle montre ses limites.
Plus il y a de crédit et moins il y a de diversités et de continuité dans la consommation, les algériens et les brésiliens l'ont compris bien assez tôt ...
Donc au final si les crédits dépassent les dépôts, et qu'en plus il y a des risques de baisses des salaires avec leur soit disant salaire selon le rendement (qui comme tout le monde sait sera de 100% au 9aweda et 9afefa et 0 à ceux qui ont un peu d'honneur et ne veulent pas lécher les bottes des patrons) donc plus de risque de ne pas rembourser les prêts, que d'un autre coté l'Etat qui est supposé garant pour rembourser le prêt en cas de décès ou renvoi du fonctionnaire, est déjà au plus bas et que la procédure est longue, les banques vont très bientôt s'en prendre plein la gueule. Vivre des intérêts des pauvres n'est pas une solution, encourager et parrainer des gros projets serait plus sage! mais nos banquiers vivent toujours dans les années 70! on ne change pas une solution gagnante même quand elle montre ses limites.
Plus il y a de crédit et moins il y a de diversités et de continuité dans la consommation, les algériens et les brésiliens l'ont compris bien assez tôt ...
