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Mondher Belhaj Ali lance un appel à Béji Caïd Essebsi pour une nouvelle initiative
20/10/2016 | 19:37
1 min
Mondher Belhaj Ali lance un appel à Béji Caïd Essebsi pour une nouvelle initiative

 

Le député et dirigeant au sein du mouvement du Projet pour la Tunisie, Mondher Belhaj Ali, a été l’invité de Myriam Belkadhi ce soir du jeudi 20 octobre 2016, dans le cadre de l’émission « 24/7 » diffusé sur Al Hiwar Ettounsi, et ce, après avoir lancé un appel pour dépasser la crise politique et économique tandis que son parti passe, également, par une période de crise.

 

A travers cet appel, M. Belhaj Ali a considéré qu’il faut reprendre le dialogue entamé lors de l’élaboration de l’Accord de Carthage, et ce, tenant compte des clivages entre le gouvernement, d’un côté et l’UGTT, l’UTICA, l’Ordre des avocats de l’autre, à propos du projet de la Loi de finances 2017 : « J’appelle le président de la République à entreprendre une initiative pour sauver le pays, en élargissant la base du dialogue », a-t-il affirmé.

 

Revenant sur la dernière polémique déclenchée au sein de son parti suite à l’exclusion du député Walid Jalled, M. Belhaj Ali indique que l’origine des divergences réside dans cette manie de refuser aux adhérents de s’exprimer librement en dehors des structures du partis. « Les adeptes de cette approche "cachotière" constituent un noyau autour de Mohsen Marzouk, et jusqu’à présent je ne peux concevoir qu’il est d’accord avec cette attitude ».

 

S.H.

20/10/2016 | 19:37
1 min
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Commentaires (6)

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Maryem
| 21-10-2016 09:51
Je pense qu il faut bien resoudre les problemes aussi minimes soient ils,a
l interieur des structures du parti.Rien ne sert de les porter en dehors car l effet sera emplifie par les medias et les pecheurs en eau trouble.Marzouk a parfaitement raison,
Machrou3 Tounes evolue doucement mais surement sur des bases bien solides.

Givago
| 21-10-2016 05:35
Tous ce qui arrive et tous ce qu'on constate est la conséquence de cette maudite entente entre les deux partis arrivés en tête lors des élèctions de 2014,(NIDA/NAHDHA) les gents ont plébisciter BCE et ce sont retrouver avec ghannouchi aux commandes,le résultat est sans équivoque,un pays ingouvernable,chute libre dans tous les domaines,et par dessus tout un avenir incertain.même après l'accord de carthage où tous le monde l'à adopter maintenant tous le monde tire à hue et à dia,que dieux protège ce pays de ses enfants.

Mannou
| 20-10-2016 22:25
Et bien c'est vous qui avez raison, il faut justement étaler votre linge dans les médias et nous faire vivre le même feuilleton de Nidaa.

G&G
| 20-10-2016 22:07
Initiative sur initiative
On passera la nuit à accorder le 3oud.

TN
| 20-10-2016 20:52
Le minimum qu'exige un parti de ses membres est d'être cohérents avec sa philosophie, au moins dans leur comportement en public. Quitte à désappointer Monsieur Belhaj Ali, les membres ne peuvent pas s'exprimer librement en dehors des structures du parti s'ils ne sont pas d'accord avec le parti! Au moins, il faut qu'ils démissionnent avant.

Il ne s'agit pas d'une approche "cachetière". Il s'agit de discipline. Un parti ne peut pas se permettre d'avoir des membres qui pètent le plomb en public, et inversement un individu ne peut pas rester membre d'un parti avec lequel il est profondément en désaccord. Il peut partir discrètement et passer à autre chose. Ce n'est pas la fin du monde.

Mounir
| 20-10-2016 19:43
On va avoir droit à une initiative toute les deux minutes, après ca sera l'initiative de l'initiative!

Car malheureusement il y aura toujours des personnes écartées qui demanderont encore et encore une nouvelle initiative!