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Moncef Marzouki lâché : ses plus fidèles ont fini par voir sa vérité !
19/09/2018 | 20:59
5 min
Moncef Marzouki lâché : ses plus fidèles ont fini par voir sa vérité !

 

Harak Tounes Al Irada, le parti créé par Moncef Marzouk après la défaite des élections de 2014, agonise. Le parti, au poids déjà insignifiant sur la scène nationale, est en cours d’implosion avec la démission collective de plus de 80 de ses membres. A l’exercice partisan, Moncef Marzouki essuie des échecs successifs. On n’oubliera pas le défunt CPR. Les ambitions électoralistes dévorantes et la manière despotique de diriger le parti de l’ex-président de la République ont eu raison d’Al Irada.


 

Une nouvelle fois, un parti présidé par Moncef Marzouki explose littéralement. Al Harak n’aura pas tenu longtemps sous le joug d’un Marzouki autoritaire faisant passer ses intérêts strictement politiques avant ceux du parti et de la patrie. C’est ce que lui reprochent ses compères, l’accusant de s’être mis au service d’un parti au pouvoir, d’agir en sous-marin et de servir ses desseins. Il ne faut pas chercher très loin pour comprendre de quel parti il s’agit. On nommera bien évidement le mouvement islamiste Ennahdha. Deux des plus fidèles compagnons de Marzouki, Adnen Mansar et Tarek Kahlaoui, quittent le navire aujourd’hui aux côtés de près de 80 membres du parti. Une démission massive qui, au fond, ne constitue pas une grande surprise au vu des dissidences et des scissions internes qui sévissent depuis un moment.

 

Les prémices de la débâcle ont pointé du nez au mois d’août 2017, lorsque l’instance politique a annoncé sa démission collective du comité politique. Les démissionnaires, dont le député Mabrouk Hrizi, avaient alors expliqué qu’ils ne peuvent continuer au sein d’un parti où règne l’hégémonie d’une minorité qui impose ses décisions. Ils avaient adressé une lettre à Moncef Marzouki dans laquelle on reproche à des cadres du parti de privilégier les intérêts d’autres partis en créant la discorde…

Au mois de juillet 2018, Harak avait été frappé par une vague de démissions au sein de ses instances dirigeantes. C’était à l’issue de la tenue de la réunion du comité politique du parti, que la crise a éclaté.  Imed Daimi était écarté du secrétariat général et a dû céder sa place à Dorra Ismail. Adnen Mansar, alors président du comité politique, Tarek Kahlaoui et Ibrahim Ben Said démissionnaient de la structure. Au cours de cette réunion, Moncef Marzouki avait piqué une colère noire en voyant ses projets contrariés. Le président d’Al Harak voulait imposer son candidat à la tête du comité politique et au secrétariat général. Altercations, échanges d’insultes, tous les ingrédients étaient là pour approfondir la crise que traverse le parti. Marzouki claquera la porte, furieux. Daimi et d’autres membres se précipitent pour amadouer le président courroucé. Après cette tentative de réconciliation, Marzouki a finalement gain de cause et impose ses candidats.

 

Aujourd’hui, c’est un véritable séisme qui secoue le parti. Avec cette massive vague de démissions (plus de 80), que reste-t-il d’Al Harak ? Une coquille vide. Un Marzouki lâché par ses plus proches lieutenants qui s’expriment au grand jour en dénonçant ses pratiques abusives. Ce n’est qu’aujourd’hui qu’ils s’aperçoivent des travers de leur président, depuis le temps qu’ils sont à ses côtés et qu’une grande partie de l’opinion publique s’est élevée contre les positions de l’ancien temporaire.

 

Ceux qui ont finalement jeté l’éponge, ont dressé une longue liste de reproches ayant motivé la désertion. Pratiquement, toutes les critiques visent Marzouki insistant sur ses ambitions électorales qui le poussent à reléguer au second plan les priorités du parti. Ils disent que la ligne politique d’Al Irada n’a plus rien d’indépendant, que le parti s’est mis sous l’aile d’une formation au pouvoir (comprendre Ennahdha) sur la base de calculs purement électoraux en lien direct avec les échéances présidentielles. Ils dénoncent le refus d’autocritique, notamment en ce qui concerne la période de la Troïka et estiment que des efforts sont déployés par la direction afin de reproduire des alliances qui y ressemblent. Les démissionnaires relèvent qu’Al Harak est devenu une simple administration rattachée au bureau du président du parti qui fait primer ses intérêts personnels en toute hégémonie. D’ailleurs, ils n’en démordent pas en évoquant le dernier revirement de Moncef Marzouki qui a proposé d’amender la constitution de 2014, de sorte à instaurer un régime présidentiel. Une proposition qui en plus d’être aux antipodes des positions des structures du parti, s’est faite sans les consulter…

Les signataires considèrent ainsi qu’ils n’ont ménagé aucun effort pour réformer le parti et consolider le respect des règlements et les sacrifices de ses militants. Sauf qu’ils reconnaissent aujourd’hui que ces réformes sont rejetées, notamment sur la base des calculs électoraux. Ils accusent certains membres d’avoir donné Al Harak en cadeau à l’une des parties au pouvoir, menant les batailles et prenant les coups à sa place.

 

En plus de ces critiques, les désormais anciens compagnons de Marzouki, profèrent à son encontre de gravissimes accusations, expliquant que son positionnement politique a conduit à des alignements géostratégiques et l’accointance systématique avec des Etats, des organismes et des dirigeants en particulier, « tout cela au détriment des intérêts supérieurs de la Tunisie et de sa souveraineté nationale, mais aussi de la défense de la démocratie et des valeurs de la liberté ».

De quels Etats parlent-ils ? Sachant qu’il s’agit d’un secret de Polichinelle, personne n’ignore les positions de l’ancien chef de l’Etat en faveur de la Turquie d’Erdogan et du petit Etat du Golfe, le Qatar.

C’est un Tarek Kahlaoui décidé à descendre en bonne et due forme son ex-président qui est venu le dire haut et fort au micro de nos confrères de Shems Fm. Il ne mâche pas ses mots, assurant que Marzouki s’aligne quelle que soit la situation sur les directives de la Turquie ou du Qatar, même si celles-ci sont en totale contradiction avec les intérêts de son pays…

 

 

Son propre camp a fini par l’avouer. Calculateur, tyrannique, agissant contre la souveraineté nationale, à la limite de la traitrise, faisant primer son ambition dévorante pour reconquérir le palais de Carthage risquant même de détruire son propre parti pour l’assouvir, Marzouki n’est pas dépeint sous son meilleur jour.

Les anciens amis de Marzouki qui, semblent-t-ils, étaient aveuglés pendant de longues années, y verraient apparemment plus clair aujourd’hui…

 

 

Ikhlas Latif

19/09/2018 | 20:59
5 min
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Commentaires (27)

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Léon
| 23-09-2018 10:32
Ils ont enfin compris qui c'était. Une fois le pays foutu en l'air. Ils ont compris qu'ils avaient préféré au Patriote Ben Ali, un déséquilibré à qui la Tunisie a offert un statut de haut fonctionnaire et même temps un statut d'opposant "fréquentable", n'eut été son manque d'amour pour son pays et d'égard pour son peuple.
Comme tous les CPR-istes qui ont cru que la haine envers certaines personnes, envers certaines régions, envers une certaine histoire de leur pays, était un gage de patriotisme. Bonté Divine! C'est tout le contraire!
La Tunisie lui a tout donné. Les atlantistes (je parle de personnes et non de pays, car il s'agit avant tout d'une nébuleuse destructrice d'états arabes), lui ont donné la possibilité de nuire à son pays. Un peu comme Ghannouchi et consorts. Ces derniers c'est par armée entière qu'ils ont été "lancés" dans l'arène politique par les Mc Cain et compagnie. Sans se poser de questions. Aucune question. Ils ont nuit, détruit, réduit en poussière, l'héritage extraordinaire de la Tunisie post-coloniale; Tunisie qu'ils ont ramené au stade initial de 1956, avec l'enthousiasme en moins, et la misère mentale en plus.
Si du temps de la colonisation, nos parents avaient combattu le Takrouri jusqu'à en débarrasser la Tunisie afin que les sujets du Bey ne s'occupent que du problème colonial et non de futilités, aujourd'hui on voit exploser le phénomène de la Zatla à tous les niveaux, ce drame National qui détruit, appauvri, réduit à la misère, des familles entières qui voient leurs enfants partir dans la fumée de leurs joints.
Il aura fallu attendre les frérots et les CPR-istes (sans oublier le ramassis de petits partis appuyés à partir de l'étranger) pour voir la Tunisie en arriver là. Ce pays arabe et musulman, garant des valeurs qui en sont issus ainsi que des valeurs de tolérance envers les autres.
La Tunisie avait-elle besoin de cela. Les drogues que l'ont qualifie faussement de douces sont des phénomènes assez contrôlables quand elles touchent les gens très aisés et catastrophiques quand elles touchent le bas-clergé et le petit peuple.
Haines, régionalisme, jalousies, envies, prétentions, ingratitude, lâcheté, trahison...c'est tout ce que j'avais jadis vu en votre sacro-sainte révolution depuis ses débuts, car apparemment Dieu m'a doté d'une autre vue que la votre.
Tout ceci se confirme aujourd'hui et aucun d'entre-vous ne daigne s'excuser pour avoir mal estimé les enjeux et la situation. 99% du peuple avait tort on continue à pavoiser. Il faut dire que le propre d'un con est bien de ne pas se rendre compte de ses erreurs et de ne pas retenir les leçons de celles des autres.
Aujourd'hui que le dinar vaut 30 cts d'euros (chose que j'avais prédit dans BN en 2012, estimant que cela irait jusqu'à 25 cts d'euros tout en récoltant vos insultes de gueux-à-diplômes), je vois s'évanouir dans la nature certains célèbres intervenants sur BN, irréductibles de la merdolution dont le discours commençait à "évoluer" depuis 2016 environ et qui ne publient plus rien aujourd'hui.
Comment leur Grandeur peut-elle se tromper? Leur pays? Ils s'en branlent! L'essentiel, c'est eux! Alors, ils s'évanouissent et font mine de rien. Des chiens n'auraient pas un tel comportement.

Je ne sais comment Dieu inversera la courbe de descente aux enfers. Mais je sais quelque chose: C'est que si un jour un vrai Patriote, Juste, qui aime son pays, et qui réhabilite la période Ben Ali et lui donne sa juste place dans l'Histoire de la Tunisie, prend en charge la gouvernance de notre pays, ce jour-là, la Tunisie ira mieux, et ce jour-là, les traitres se terreront à jamais!

VIVE LA TUNISIE, VIVE BEN ALI, A BAS LES TRAITRES,

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant,

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Borhan
| 22-09-2018 09:29
C'est vraiment dommage que Moncef Marzouki perde son temps à changer le nom de son parti
tous les 2 ou 3 ans ( CPR, parti du peuple ?,el Irada...).Son objectif politique majeur pour la Tunisie est ,depuis qu'il est né, de devenir Président à vie dans l'intérêt de tous les Tunisiens. J'ai sincèrement un très bon conseil à lui donner : Il faut qu'il adhère dès aujourd'hui au parti Ennahdha et bien sûr au majles Echoura. Ainsi , il sera président de la Tunisie en 2019 et 2024...

DHEJ
| 20-09-2018 19:27
Après le comic et son fils...

Mohamed Obey
| 20-09-2018 19:22
Ces ***et membres de l'ex CPR renommé, après leur débandade de 2014, Al-Harak seront dans les anales de Tunisie associés aux pages les plus sombres de notre histoire. C'est eux qui ont déroulé le tapis rouge aux plus sales réactionnaires et ennemis de la Tunisie (Wajdi Ghnim, Hassan AmAwadhi, etc...). CD'est eux qui arboraient des slogans appelant au régionalisme et la guerre civile entre le sud et le nord... Mais le crime le plus odieux reste leur alignement politique et idéologique sur les agendas impérialistes sionistes dans le dossier syrien exprimé par le terme mystificateur de 'Amis de la Syrie', terme qui aussi était très usagé dans le discours affabulateur des membres d'Ennahdha...Ils ont tous le sang des syriens sur les mains et l'histoire ne tardera pas de les rattraper...

Mourad Lotfi
| 20-09-2018 18:31
« El adjouza hazha el oued ou hia etkoul el am saba » ce qui se traduit par : « emportée par les eaux de l'oued en crue, la vieille crie à tue-tête : les récoltes seront bonnes cette année ». Tout le monde parle des élections présidentielles de 2019 et on oublie qu'ils seront précédés par les élections législatives. Oui la Nahda ne récolterait qu'un demi-million de voix sur 5 millions d'électeurs inscrits et 7,5 millions d'électeurs potentiels. Mais avec ce demi-million de voix elle aurait plus de 62 députés et serait le premier parti et de plein droit elle formerait un gouvernement stable pour 5 ans et je vous garantis qu'aucun de ses élus ne quitterait le navire au contraire des opportunistes quitteraient leur groupe parlementaire pour un groupe parlementaire allié de la Nahda. Et les exemples sont là : Les maires de Tunis, Sfax et Bizerte sont issus de la Nahda alors que celle-ci n'a que 21 élus sur 60 à Tunis, 14 élus sur 42 à Sfax et 13 élus sur 36 à Bizerte. Et le président de la république en 2019 serait Ghannouchi ou sera un pantin. Vous donnez une grande importance au président de la république, alors que d'après la Constitution ses pouvoirs sont négligeables par rapport à ceux du chef du gouvernement. Oubliez les pouvoirs que BCE s'est auto-attribué en tant que chef de parti vainqueur des législatives et non en tant que président de la république. Savez vous que le président de la république ne peut pas dissoudre directement le parlement. Il ne peut que déposer une motion de censure contre le gouvernement. Si la motion de censure est acceptée il peut dissoudre le parlement. Donc on est en présence d'une autodissolution et non d'une dissolution. Par contre si la motion de censure est rejetée 2 fois le président de la république est considéré comme démissionnaire.Vu que les législatives précédent les présidentielles, c'est la Nahda qui gouvernera la Tunisie pour les cinq années à venir soit à partir de la Kasbah soit à partir de Carthage. Et aux mathématiciens qui affirment que la Nahda ne gagnerait jamais une élection à tours, je dis il ne faut jurer de rien. Et le proverbe tunisien dit : « Koul had chitanou fi jibou » ce qui signifie « chacun de nous a un diable dans la poche ».

Mansour Lahyani
| 20-09-2018 18:30
Depuis ce matin, je suffoque sous les hoquets de fou rire que m'a valus cette nouvelle, un prodige de fake fake news, qui y ressemblait pourtant tout à fait !! L'ex-très très provisoire lâché par ses plus fidèles soutiens, Mansar la pleureuse en chef, Kahlaoui qui se démenait comme un incontrôlable élastique sur le podium de l'Avenue Bourguiba, et j'en passe, et des moins remarquables encore ! L'ex-très très... doit se sentir bien seul, tout-à-coup ! Heureusement qu'il lui reste son âme damnée, Dghij et Recoba, l'âme damnée de ce damné Dghij !

Nephentes
| 20-09-2018 18:07
l'avidité de pouvoir défigure un être humain dans sa psychologie la plus profonde

Il est en ainsi pour le bon Docteur Marzouki autrefois icone de la lutte contre l'ignominie, aujourd'hui Gollum réincarné et pathétique

"Sous l'influence de l'anneau, Sméagol se métamorphose à la fois physiquement et psychologiquement pour devenir la créature Gollum

Tolkien décrit Gollum comme étant diforme et désarticulé, impulsif et lunatique. Tolkien explique que Gollum a la peau pâle, mais porte des vêtements sombres et a souvent été vu dans la pénombre.

Dans Le Hobbit, on apprend qu'il a des poches dans lesquelles il garde « des arêtes de poisson, des dents de gobelins, des coquilles mouillées, un morceau d'aile de chauve-souris, une pierre effilée pour aiguiser ses crocs, et d'autres vilaines choses »

Malgré son aspect maigre et décharné, Gollum possède une force hors du commun : " Sa malice est grande et lui confère une force qu'on ne soupçonnerait guère chez un être aussi maigre et décharné ».

Gollum parle d'une manière inhabituelle, s'adressant souvent à lui-même à la troisième personne, très rarement à la première et s'appelant lui-même ou son anneau de pouvoir « mon trésor » ou « mon précieux ».

" Il parlait avec moins de sifflements et de geignements et s'adressait directement à ses compagnons, non à sa propre personne, à son « trésor ». Il tressaillait et se dérobait à leur approche, ou au moindre mouvement brusque, et il évitait tout contact avec leurs capes elfiques ; mais il était amical, et plutôt pitoyable dans son désir de plaire. »



kameleon78
| 20-09-2018 15:44
Où trouverait-il ses électeurs Marzouki pour avoir une chance d'être élu. La nébuleuse CPR-Irada lui trouvera quelques 1,5% au premier tour, c'est insuffisant pour passer au second tour. Je ne pense pas que la Nahda lui donnera les clés au premier tour pour représenter le parti islamiste après sa traîtrise de 2014 (Marzouki voulait s'accaparer les électeurs nahdaouis après sa défaite), les islamistes auront leur propre candidat que ce soit à l'intérieur ou l'extérieur du parti. Vous avez remarqué que je ne parle que de premier tour car le second tour est impossible arithmétiquement pour lui. Donc avant de parler de parler de victoire de Marzouki en 2019, déjà il doit dépasser les 1,5% de son parti au premier tour. Donc on est déjà bien loin d'une participation au second tour. Comme dit le proverbe tunisien :" Elli Yéhseb wahdou, youfdhoulou".

goucha
| 20-09-2018 15:10
ne peut croire les dires de mancer Et kahlaoui qu'un fou.Vous croyez qu'ils sont contre Marzouki. Non et mille fois non .Ne sont 'ils pas eux qui ont toujours défendu leur chef et ses alliés la Turquie et le Qatar .A quoi jouent -ils aujourdh'ui? Faites attention Tunisiens et Tunisiennes, ils vont vous induire en erreur ces deux soit disons politiciens.Ils vont créer un autre parti ou rejoindre leur ancien parti le congrés pour la république et prétendre qu'ils sont contre marzouki. Une fois les élections s'approchent ils vont le soutenir après avoir gagné des bases et des alliés. Ils vont dire que seul Marzouki représente la révolution les autres candidats sont les contre révolution. En revenant sur vos archives et déclarations et surtout lorsque vous etiez au palais de carthage cela ne pourra jamais nous induire en erreur . Et si Marzouki est l'homme de Qatar et de la Turquie, vous deux vous etes les hommes de qui au juste? A quoi jouez vous? Attention Tunisiens ne les croyez pas.Ils sont les enfants de Marzouki et ils le resteront pour toujours.Ils ne peuvent pas vivre en dehors de son burnous. De meme pour les autres démissionaires.

HatemC
| 20-09-2018 12:24
Tous ces pseudos politichiens ont montré leur limite après 2011, ils ont montré leur vrai visage, en fait ils n'étaient pas des opposants à BenAli et des droits de l'hommiste mais voulaient sa place ... Ils ont abusés des droits de l'homme pour avancer leur carrière et profiter des largesses des ONG ...
En fait ils ont sali l'honneur de la Tunisie et continuent de le faire depuis 2011 ... on se rappelle toutes les humiliations avec leur bassesse devant les bédouins du Golfe et cela pour quelques billets vert ....

Marzouki était parmi ceux que je croyais sincère, mais en fait c'est un vendu comme tous les autres ... le parfait traitre qui se permets d'insulter les Tunisiens sur des chaines arabes .... JAMAIS UN DIRIGEANT ARABE N'EST VENU BAVER SUR SON PAYS DANS UNE TV TUNISIENNE ou ailleurs, ce merdeux s'est permis de le faire sans scrupule et continu d'encaisser un chèque des contribuables tunisiens ceux là même qu'il insulte ... la clochardisation du pays s'est accéléré à partir de 2011 ...

De plus ces 2 clochard qui ont démissionné me sont tj aussi antipathique et aussi vil ... et je ne crois pas un instant ces querelles ... c'est juste pour le buzzzz et revenir sur le devant de la scène pour en pas être oublier ... c'est une stratégie de combinard ... dans quelques jours ils vont de nouveau se mélanger les ADN en se roulant des pelles ... HC