L’ancien président de la République, Moncef Marzouki, a indiqué, lors d’une conférence qu’il a donnée à Rabat (Maroc), dans la soirée d’hier, lundi 3 août 2015, que « la révolution Tunisienne est en dents de scie mais le meilleur reste à venir ». Concernant la dernière élection présidentielle, Marzouki a avoué qu’il a accepté les résultats des urnes et que le peuple tunisien est libre de choisir qui préside à ses destinées.
Marzouki a également parlé de l’espoir placé en les jeunes qui, a-t-il ajouté, demeurent assoiffés de justice transitionnelle et ne permettront en aucun cas le retour à la dictature. Il a indiqué dans son intervention présentée, dans le cadre d’une invitation de la coalition marocaine des instances des droits de l’homme, dont le contenu a été repris par l’Agence de presse Reuters que « la période de destruction sera certainement suivie par une autre d’édification ». « La crise dans le monde arabe est une crise de principes et d’idées et non de concepts; aucune révolution politique ne peut réussir sans une révolution des valeurs », a-t-il relevé, précisant que l’attachement aux idéologies pendant plus de 50 ans comme le communisme, le nationalisme, l’islam politique et la démocratie a révélé son échec puisque la réalité demeure beaucoup plus compliquée et ses problèmes ne peuvent être résolus par ces concepts.
Commentaires (25)
CommenterMaroc + tunisie = frere maghrebins
Le Maroc doit se méfier de ce malade
pauvre Mec il clocharde là ou il va
Aaaaaaaaaaaa
avant de detruire ,il faut avoir un plan de construction
Pour une fois d'accord avec Marzouki
Revolution des valeurs,dis-tu?
Alors de grâce ne détruis pas cette belle image de symbiose entre nos deux peuples car ce ne sera sûrement pas toi,caméléon,qui arriverais à le faire
Alors attention ' aux retours de manivelles!
Marocains, méfiez-vous
PARADOXE DE BEDOUIN
Il a dit, d'une part:
" Concernant la dernière élection présidentielle, Marzouki a avoué qu'il a accepté les résultats des urnes ".
Dans un deuxième temps, il dit:
" Marzouki a également parlé de l'espoir placé en les jeunes qui, a-t-il ajouté, demeurent assoiffés de justice transitionnelle et ne permettront en aucun cas le retour à la dictature "
Là c'est clair. Il accuse le vainqueur (BCE) de dictateur, tout en refusant sa défaite cuisante.
Sa sortie par l'issue de secours lui taraude l'esprit. Il cauchemarde, depuis.
De plus, il exprime sa haine et sa rancoeur, en transposant le refus de sa défaite sur le dos de la ligue des repris de justice et de gangsters qu'est le lpr.
Ya marzougui, le lpr est une escroquerie montée de toute pièce ***
Le lpr ne représente même pas 0.000000001% des tunisiens.
Ya rajel, va te rhabiller et fait toi une cure "d'alka selzer". Çà t'aidera à digérer ce que la nature a imposé.
Lecteurs, est-ce que vous avez compris.....
Quelle sont les définitions des mots :
Principe.
Concept.
PRINCIPE :
d'après Wiki:
Un principe est, communément, une habitude (« par principe ») ou un raisonnement servant de point de départ.
Le principe est une notion de philosophie.
Un principe est une vérité générale et fondamentale : loi, doctrine ou hypothèse étendue et fondamentale sur laquelle d'autres reposent ou dont elles sont dérivées. À la différence d'une loi qui est précise et provisoire, un principe a une portée plus large voire intemporelle.
Donc, une principe, en philosophie, est une vérité évidente.
"Je pense, donc je suis", DESCARTES.
Voyons "CONCEPT":
Toujours, dans Wiki,
Un concept est une représentation générale et abstraite de la réalité d'un objet, d'une situation ou d'un phénomène; il n'est pas synonyme de notion car plus abstrait (par exemple, la notion de table, le concept de liberté). Concept vient du participe passé latin conceptus du verbe concipere, qui signifie « contenir entièrement », « former en soi ». Le concept se distingue donc aussi bien de la chose représentée par ce concept, que du mot, de la notion, ou de l'énoncé verbal, qui est le signifiant de ce concept.
Les différents philosophes ne sont pas nécessairement d'accord sur ce qu'est exactement un concept, au-delà de cette définition générale, bien que des lignes centrales puissent être dessinées. Ainsi, un concept est souvent une idée générale (le concept de chien rassemble tous les chiens existants et possibles), mais pas nécessairement (chez Leibniz, la notion complète exprime la substance individuelle et ne correspond qu'à elle ;
Par ailleurs, un nom propre peut être considéré, selon certaines théories philosophiques, comme exprimant le concept d'un individu.
Le docteur M. écrit textuellement :
« La crise dans le monde arabe est une crise de principes et d'idées et non de concepts; aucune révolution politique ne peut réussir sans une révolution des valeurs »
Ou est le distinguo entre concept et principe ?
Il s'en mêle les pinceaux, quand il pense que nationalisme, communisme, islam politique et démocratie, sont des principes.
Qu'est-ce que vient faire ici la démocratie?
Notre docteur, n'a certainement pas lu Tocqueville. La démocratie, notre docteur, n'en a qu'une maigre idée.
Le pauvre.....