Invité à l’émission 5/10 du lundi 25 mai 2015 sur Mosaïque Fm, le conseiller sortant auprès du président de la République, Mohsen Marzouk, est revenu sur la polémique de sa signature d’un mémorandum d’entente aux États-Unis.
« Un malentendu est, vraisemblablement, à l’origine de cette polémique » dit-il d’emblée, poursuivant que ces détracteurs « n’avaient pas à disposition suffisamment d’informations sur le sujet ». M. Marzouk a ajouté, à ce propos, que quelqu’un d’autre aurait pu signer à sa place : « Ca aurait pu être Taieb Baccouche ou un autre ministre s’ils étaient avec nous ».
A la question de savoir en quoi le statut d'allié majeur non membre de l'OTAN pourrait être utile aux Etats-Unis, M. Marzouk a répondu « Je ne suis pas le conseiller d’Obama pour vous dire quel est l’intérêt des Américains », indiquant, toutefois, que ce statut rentre dans le cadre de la guerre contre le terrorisme, comme il traduit également les intérêts géostratégiques communs entre les deux pays. « Sans oublier que la Tunisie, seule démocratie arabe, partage avec les USA presque les mêmes valeurs » a-t-il ajouté.
Le nouveau secrétaire général de Nidaa Tounes a précisé, dans le même ordre d’idées, que ce nouveau statut n’accorde aucun droit aux Américains pour avoir une présence militaire sur notre sol. « D’ailleurs, ils n’ont besoin de personne pour être présents dans la région » a-t-il conclu.
E.Z.
Washington, c'est loin...
L'Algérie, c'est le voisin qui empêchait les sportifs du chaambi de faire trop de zèle.
Poutine était plus rassurant pour eux et plus digne de confiance pour nous. Mauvaise politique.
D'après la constitution, seul le PRESIDENT DU GOUVERNEMENT (P.G) est constitutionnellement habilité de nommer un ministre pour qu'il soit sous sa présidence;
Ceux de la présidence de la république sont constitutionnellement des HAUTS FONCTIONNAIRES de la présidence!
Alors de grace, à ne plus voler le temps de ceux qui courent derrière le malentendu en donnant le support juridique de ta nomination!
A défaut, la terre tunisienne n'aime point les traîtres!
Fala acha fi tounse man khanaha...
Amen!
Aujourd'hui constitue un tournant dans l'histoire de la Tunisie.
Cet attentat confirme la théorie des taupes islamistes ayant infiltré l'armée que je ressasse depuis des années.
Mais surtout cet attentat évoque en moi de tristes souvenirs liés à mes voyages en Algérie du temps du général Giap Tunisien, Zine el Abidine Ben Ali.
En novembre 1991, une caserne de l'Armée nationale populaire Algérienne à Guemar, dans la wilaya d'El Oued fut attaquée par des djihadistes.
Elle se solda par la mort de 3 soldats algériens.
Cette attaque comme l'attaque de la caserne de Bouchouchou, signifia un tournant dans la guerre civile algérienne qui devait faire 250000 morts civils.
Vous devriez lire plus souvent mes articles.
Quant au gouvernement de traitres actuels, au lieu de se pavaner à Washington et de signer des accords dont le but est de faire tomber l'Algérie, après les accords de Doha qui ont trahi la Libye de Kadhafi, il doit céder sa place à l'armée avec dignité.
Mais se la pose la question suivante :
Peut-t-on parler de dignité avec le gouvernement actuel et avec un peuple Tunisien qui a détruit le monde Arabe ?
Quant à l'attaque de la caserne de Guemar, il s'agissait d'une époque ou la Libye de Kadhafi et la Tunisie de Ben Ali étaient des remparts forts contre l'islamisme.
Les islamistes algériens étaient isolés.
Aujourd'hui et avec la Libye devenue une base de DAECH, les jours de la Tunisie sont comptés.
Bientôt le drapeau de DEACH au palais de Carthage sous les yeux de Washington qui s'en réjouira, politique de destruction du monde Arabe pour Israël oblige.
Quant à Mohsen Marzouk, son interview m'a donné la nausée.
Je supporte mal les traitres à l'heure du déjeuner.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
De ce fait, être une base arrière de l'OTAN n'augure rien de bon pour notre souveraineté, il aurait fallu diversifier nos relations avec les grands pays du BRICS composé du Brésil, de la Russie, de l'Inde, ou encore de la Chine..comme sous Bourguiba et Ben Ali où certes, on a toujours eu des relations avec l'Oncel Sam (US) néanmoins, notre politique extérieur était beaucoup moins atlantiste et surtout moins soumise.