La mise est grosse, les forces en jeu sont internationales. Des fortes pressions sont exercées pour abattre l'équilibre démocratique en Tunisie et y imposer la république islamique, dont Rached Ghannouchi, entre khomeinisme et Frères musulmans, a fait propagande depuis 1981 au moins.
Je tiens à montrer la possibilité d'un LIENS DIRECT entre la course en avant terroriste en Europe et l'ultimatum signifié à l'Union Européenne, qui suit le processus tunisien et appuie le maintien d'un statu-quo (pour des raisons sécuritaires entre autre), par des attentats en crescendo, à lâcher complètement le pouvoir en Tunisie dans les mains de Rached Ghannouchi, donc de la Confrérie, en vue d'y établir la République islamique et la Char'îa.
En substance, les deux attentats de Nice et de Munich forment un couplet qui renoue avec le réseau khomeiniste transnational (opérant à l'époque du MTI, entre France et Allemagne) en 1986, lié à au franco-tunisien Fouedh Saleh en France, et à ses collabos iraniens en Allemagne, mais repris en suite par Rached Ghannouchi en Tunisie. Ce schéma est donc classique pour la Confrérie, qui en suite "pose l'étiquette" de Daêsh pour se dédouaner de ses opérations de chantage terroriste. La relation entre Daësh et Confrérie est aussi claire et prouvée par des détails techniques.
Pour ceux qui veulent approfondir, et naturellement l'invitation en premier lieu à l'intervenant "John Wayne" est de récupérer (par simple recherche) ce document détaillé (étude) déjà mis en ligne (PDF) :
Didier BIGO, « Les attentats de 1986 en France : un cas de violence transnationale et ses implications (Partie 1) », Éditeur : Centre d'études sur les conflits.
La CONFRÉRIE EST A L'ASSAUT, appuyés comme toujours par la CIA de John Brennan et Obama dans son dernier délais avant son départ, ils ont renforcé leur emprise en Turquie, par un camouflet de "coup d'Etat militaire", où Erdogan va vers la réalisation d'une République islamique à coup de répressions de libertés et de purges.... Tandis que le projet (bien ancien, nous le savons) de république islamique est repris en Tunisie par Rached khriji dit al-Ghannouchi, à travers une stratégie de lobby médiatique et de chaos pour collapser le gouvernement à travers des sabotages internes et l'usage de la "dissuasion" en Europe...