Des partis politiques(sans e)
Une partie (de quelque chose) , cad une portion
une partie (à quelque chose) cad participant à quelque chose.
Le député d’Ennahdha, Mohamed Ben Salem, a affirmé, ce vendredi 20 janvier 2017, sur Shems Fm, que son parti n’a rien contre le principe de créer une commission d’enquête parlementaire dédiée à investiguer sur l’embrigadement des jeunes.
Il a toutefois souligné les craintes d’Ennahdha de voir cette commission instrumentalisée à des fins de surenchère politique, que des parties se liguent contre « l’accusé par défaut » sans se soucier de la vérité.
« Nous sommes accusés d’avoir participé au départ des jeunes vers les zones de conflit, or nous sommes pratiquement les seuls à dire qu’il faut que ces terroristes retournent au pays afin qu’ils y soient jugés selon une loi antiterroriste rigoureuse et impartiale pour laquelle la Tunisie a été saluée d’ailleurs. Ceci prouve déjà, que nous n’avons rien à nous reprocher » a souligné Mohamed Ben Salem.
« Il nous est parvenu que des parties cherchent tellement à accabler Ennahdha, qu’au cours de l’audition d’un terroriste, les sécuritaires lui ont carrément dit d’accuser ouvertement Noureddine Bhiri et Ali Lâarayedh, s’il voulait être vite relâché » a-t-il ajouté.
Mohamed Ben Salem a exprimé les craintes de son parti d’être pris pour cible de la part d’une « coalition » qui l’a déjà désigné coupable et n’a qu’un seul objectif, celui de l’incriminer coûte que coûte.
« Il n’y a qu’à voir les attaques du Front populaire par exemple, et plus particulièrement Al Watad, qui ne ratent aucune occasion, et les leurs sont plus que fréquentes dans les médias, pour nous attaquer. D’ailleurs, leur présence dans les médias est plus importante que leur poids dans la rue, dans le parlement et dans la vie politique… » A-t-il estimé.
Quant au vote d’Ennahdha, contre la création d’une commission d’enquête sur l’IVD, Mohamed Ben Salem a précisé que si une commission est mise en place aujourd’hui, elle ne trouverait rien à reprocher à la présidente de l’IVD.
« On l’accuse d’avoir acheté une Passat, certes, les secrétaires d’Etat ont des Audi 6 et elle ne l’a pas achetée plus chère que son prix sur le marché. Nous voulons que l’IVD réponde à un certain standard, après tout elle n’a pas acheté une Mercedes comme celle du président de la République » a-t-il déclaré.
« Nous avons voté contre, non que nous ayons des doutes à ce sujet, mais nous estimons qu’une commission composée de politiques ne peut être impartiale. Chacun doit faire son travail et nous estimons qu’il y a à craindre que l’objectif derrière la création de cette commission est simplement de discréditer le travail de l’IVD » a enfin affirmé M. Ben Salem.
M.B.Z
Le député d’Ennahdha, Mohamed Ben Salem, a affirmé, ce vendredi 20 janvier 2017, sur Shems Fm, que son parti n’a rien contre le principe de créer une commission d’enquête parlementaire dédiée à investiguer sur l’embrigadement des jeunes.
Il a toutefois souligné les craintes d’Ennahdha de voir cette commission instrumentalisée à des fins de surenchère politique, que des parties se liguent contre « l’accusé par défaut » sans se soucier de la vérité.
« Nous sommes accusés d’avoir participé au départ des jeunes vers les zones de conflit, or nous sommes pratiquement les seuls à dire qu’il faut que ces terroristes retournent au pays afin qu’ils y soient jugés selon une loi antiterroriste rigoureuse et impartiale pour laquelle la Tunisie a été saluée d’ailleurs. Ceci prouve déjà, que nous n’avons rien à nous reprocher » a souligné Mohamed Ben Salem.
« Il nous est parvenu que des parties cherchent tellement à accabler Ennahdha, qu’au cours de l’audition d’un terroriste, les sécuritaires lui ont carrément dit d’accuser ouvertement Noureddine Bhiri et Ali Lâarayedh, s’il voulait être vite relâché » a-t-il ajouté.
Mohamed Ben Salem a exprimé les craintes de son parti d’être pris pour cible de la part d’une « coalition » qui l’a déjà désigné coupable et n’a qu’un seul objectif, celui de l’incriminer coûte que coûte.
« Il n’y a qu’à voir les attaques du Front populaire par exemple, et plus particulièrement Al Watad, qui ne ratent aucune occasion, et les leurs sont plus que fréquentes dans les médias, pour nous attaquer. D’ailleurs, leur présence dans les médias est plus importante que leur poids dans la rue, dans le parlement et dans la vie politique… » A-t-il estimé.
Quant au vote d’Ennahdha, contre la création d’une commission d’enquête sur l’IVD, Mohamed Ben Salem a précisé que si une commission est mise en place aujourd’hui, elle ne trouverait rien à reprocher à la présidente de l’IVD.
« On l’accuse d’avoir acheté une Passat, certes, les secrétaires d’Etat ont des Audi 6 et elle ne l’a pas achetée plus chère que son prix sur le marché. Nous voulons que l’IVD réponde à un certain standard, après tout elle n’a pas acheté une Mercedes comme celle du président de la République » a-t-il déclaré.
« Nous avons voté contre, non que nous ayons des doutes à ce sujet, mais nous estimons qu’une commission composée de politiques ne peut être impartiale. Chacun doit faire son travail et nous estimons qu’il y a à craindre que l’objectif derrière la création de cette commission est simplement de discréditer le travail de l’IVD » a enfin affirmé M. Ben Salem.
M.B.Z