il y a de quoi se poser des questions avec la chasse aux kasserinois de la part d'Abbou et ses semblables qui favorisent l'instauration d'un régime ploutocratique au détriment des intérêts du peuple tunisien et des objectifs de la révolution.

Parce qu'il sous-estime les régions marginalisées, et pour des fins personnelles aussi, Abbou tente sans répit à stigmatiser M. Najem GHARSALLI, proposé Ministre de l'Intérieur, rien que parce qu'il est originaire de Kasserine.
C'est le sentiment de tous les kasserinois envers ce comportement immature.

Je suis certain qu'Abbou n'a pas l'intention de briguer le poste de Ministre de l'Intérieur puisqu'il est convaincu qu'il n'en a pas l'étoffe, mais il le fait pour son lobby et ses relations mondaines.
Ce caractère ignoble qui déshonore le peuple tunisien et sa révolution me rappelle la cooptation des Franc-maçons, négligeant ainsi la précarité de la situation et la vulnérabilité du pays en matière de sécurité.

Pour Abbou, ce petit élucubrateur, les kasserinois sont une horde de misérables ; ils ont le droit de boire et de manger juste pour ne pas crever, mais les postes ministériels sont le patrimoine de la plus haute catégorie de la société dont Abbou fait partie bien qu'il n'en ait pas l'air.

Ses propos immondes contre les héros de la révolution, marginalisés depuis 60 ans, ne sont que des élucubrations et des mensonges dénués de tout fondement et réalité.
« Si vite que coure un mensonge, la vérité un jour le rejoint ».

Je suis vraiment sidéré par ton comportement hérétique en disant que la nomination de M. Med Najem GHARSALLI à la tête du Ministère de l'Intérieure est une insulte à la révolution.

Ça fait beaucoup rire et pleurer à la fois les héros de la révolution et les familles des martyres de Kasserine et de Thala ainsi que celles de nos soldats qui ont péri au Chambi.

Il faut que tu saches petit élucubrateur que M. GHARSALLI est un habitant de la Cité Ezzouhour et c'est lui qui a vécu toute la révolution de Kasserine, alors que toi, tu l'as vécue bien planqué devant ton petit écran, sinon dans un recoin des hôtels de luxe de Tunis.

Tes propos sont une atteinte à la révolution, à Kasserine et plus particulièrement aux habitants de la cité Ezzouhour là où la révolution tunisienne s'est cristallisée et où ses citoyens ont péri sous les balles de Ben Ali.

Autrefois, tu n'as pas cessé d'adresser des lettres d'excuse à Ben Ali, autrement dit « des lettres de faiblesse ».
De surcroit, tu as accepté de négocier avec le régime de Ben Ali contre ta libération de prison.
Maintenant tu te targues d'être au dessus des héros de la révolution de Kasserine.

Tes propos immondes témoignent bien de la haine qui t'anime pour gagner du terrain au détriment de la dignité des autres, alors que celui qui jette de la saleté toujours perd du terrain.

Platon disait : « Les sages parlent parce qu'ils ont quelque chose à dire; les imbéciles parlent parce qu'ils ont à dire quelque chose. »

Durant toute sa carrière M. GHARSALLI n'a fait que son devoir, il est bien connu et vénéré à Kasserine à Gafsa et à Mahdia pour sa compétence, son intégrité, sa loyauté et sa modestie. Tu peux le vérifier avec les citoyens de ces régions mais pas dans les recoins des comploteurs et des combinards.

Ce plaisir ignoble que tu délectes à travers l'atteinte à l'honneur des gens intègres, traduit indéniablement le niveau bas et vil d'un pseudo-politique qui prétend s'exprimer au nom de la liberté d'expression.

La liberté d'expression est d'abord un comportement civique et une éthique que nous devons tous développer avec respect et intelligence afin de hisser notre Tunisie au standard des pays développés.

Cette aversion haineuse envers les régions marginalisées de la société tunisienne traduit sans équivoque un malaise et un désespoir d'un hypocrite raté qui se cherche mais vainement.

Vous avez toi et tes semblables accusé M. Béji Caïd Essebsi de pas mal de crimes, même de l'assassinat du martyre Chokri Belaid, mais malheureusement pour toi et pour ta fieffée verbeuse, l'inoxydable Béji Caïd Essebsi est déjà le Président de la République.

Il faut que tu réalises dans ton esprit que la sécurité de la Tunisie est tributaire de la sécurité du Chambi, c.a.d de Kasserine.

A ce titre, il faut mettre l'homme qu'il faut à la place qu'il faut.

Moi je trouve qu'Ennahdha joue extrêmement bien son jeu.
Ses ministre intègreront un gouvernement des que els difficultés seront trop fortes, et on les y invitera !

Abbou soit honnete une seule fois dans votre vie et publier la lettre d'excuse que vous avez adressée en accord avec votre zinzin femme samia à ZABA.

Rien que pour ca, vous devrez vous aussi passer devant la justice transitionnelle. Et ne parlez plus au nom du peuple tunisien ya zero virgule, vs etes un blessé des élections et on ne veut plus entendre ni voir vos gueles.

De quel droit Abbou demande à Ennahdha d'expliquer son choix, il n'est pas membre ou dirigeant de ce parti pour lui demander de rendre des comptes. D'autre part je trouve que c'est normal si Ennahdha veut faire de l'opposition constructive donne en premier lieu sa confiance au gouvernement et puis s'opposer en cas d'écart de conduite. Mais pour Abbou l'Intérêt général réside au blocage du gouvernement et des institutions de la république sans penser au peuple et au temps perdu depuis déjà 4 ans.

Ce has-been est tout juste autorisé à s'éclipser pour tenter de se faire oublier.
Il n'apporte aucune valeur ajoutée au débat.
Au contraire, il contribue à semer la zizanie et la division.

il ne faut pas s'étonner de voir ces commentaires anti abbou car le journal NB dans son ensemble est animé par les sympathisants de l'ancien régime. c'est un journal qui a fait la publicité anti marzouki. donc c'est une fenêtre de propagande pour le nouveau régime. au temps de ben ali ce journal a refusé de publier, à maintes reprises , mes articles. donc ce n'est pas étonnant. la politique pour certains marche sur un seul pied c'est à dire ils ne cherchent que les résultats immédiats. es

C'est possible mais vous aussi Abbou vous devez être jugé...

Depuis la nomination de ce juge à la tête du Ministère de l'Intérieur que la peur s'est fait sentir chez les ABBOU, sont-ils entrain de prendre les devants ? Craignent-ils quelques choses que, seuls eux, savent ?
Toujours est-il, je voudrais m'adresser à M ABBOU pour lui rafraichir la mémoire et lui dire que sa femme aussi devrait passer devant le tribunal pour avoir accusé BCE du meurtre de feu Chokri Belaïd, sauf que vous et votre ANC avez omis de lever l'immunité sur votre chère épouse, « Et ce sans user du langage stéréotypé de l'intérêt national, sauf si s'était un intérêt familial », alors M Abbou, commencez par balayer devant chez-vous avant de nous donner vos leçons.
A moins que ça soit un nouveau type d'Alzheimer, comment se fait-il que vous, vous rappelez de ce
qui s'était passé il y'a des dizaines d'années et vous oubliez les déclarations d'à peine deux années ?

UN POLITICARD SEMEUR DE DISCORDE QUI SE NOURRIT DE LA SUEUR DU PEUPLE
Depuis janvier 2011 Abbou et son épouse ont été des compagnons des islamo-yousséfistes. Les deux avaient qualifié les opposants aux islamistes des fascistes. Honte à Abbou d'avoir soutenu et de soutenir les islamistes. Honte à vous de vendre votre âme pour une poignée d'argent et pour le prestige que vous offrent les islamistes. Honte à vous qui prétendez appartenir au soi-disant « courant démocratique » qui n'est rien d'autre qu'une officine de politicard pour se faire de l'argent. Honte à vous et à votre épouse d'être les compagnons de route des islamistes : vous finirez dans la honte et le déshonneur comme ce fut le cas de tous les compagnons de route des régimes fascistes. Vous avez été désavoué par le peuple et vous cherchez à semer la discorde pour en tirer des bénéfices. Vous êtes la caricature du politicard qui se nourrit du sang et de la sueur du peuple.