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Mehdi Jomâa appelle à l’apaisement politique et social
28/11/2018 | 13:10
1 min
Mehdi Jomâa appelle à l’apaisement politique et social

 

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi a reçu, ce mercredi 28 novembre 2018, l’ancien chef du gouvernement et fondateur du parti Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa au Palais de Carthage.

 

Une rencontre qui s’inscrit dans le cadre de l’échange des points de vue avec les différents acteurs politiques concernant la situation générale du pays et les enjeux politiques, économiques et sociaux.

 

M. Jomâa a souligné, lors de cette rencontre, la nécessité de renforcer l’unité nationale en vue de reconstruire et sauver la Tunisie. Un constat fait par Mehdi Jomâa vu la délicatesse de la conjoncture caractérisée par les tensions politiques ainsi que la détérioration de la situation économique.

 

Mehdi Jomâa a aussi ajouté qu'il fallait apaiser les situations politique et sociale, prioriser le dialogue et faire primer l’intérêt suprême de la Tunisie loin des appartenances et des tractations politiques. 

 

B.L

 

28/11/2018 | 13:10
1 min
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Commentaires (9)

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Ben hidden
| 01-12-2018 13:48
Vous devrez refuser le contact avec la tête de Carthage et ses dérivés. Mauvais signe.

Vengeance?
| 28-11-2018 19:27
Le vieux lion bajbouj semble être blessé dans son amour propre par ghannouchi et chahed! A 92 ans, il sait qu'il n'a plus rien à perdre! Depuis deja une semaine, il mène une guerre sans merci contre ennahdha et youssef chahed. Il a tenu à ce qu'il accueille le comité de défense des martyrs belaid et brahmi pour défier ghannouchi et il a ouvert le site de la présidence à ses conseillers pour dénigrer et accabler ennahdha tout en essayant de faire pression sur la justice, il a reçu Mohamed ben Salman à la grande pompe pour défier les ennemis politiques de l'Arabie saoudite avec laquelle ennahdha n'est pas en bon terme ces derniers temps, il a activé le conseil des ministres pour adopter le projet de loi sur l'égalité dans l'héritage, encore une façon de défier ennahdha et la ridiculiser devant ses partisans et ses électeurs et enfin, il a reçu mehdi jomaa pour enmerder youssef chahed et lui montrer qu'il y aurait toujours quelqu'un pour le remplacer à la kasba! Bref, bajbouj, à 92 ans, est encore capable de faire beaucoup de choses....!! Attention, quand le vieux lion est blessé, il est capable de brûler toute la forêt... !!!! A bon entendeur salut !!

DHEJ
| 28-11-2018 17:38
Il faut bien remarquer:

Debout, les boutons sont bien "boutonnés;

Assis alors, la veste est ouverte!

DHEJ
| 28-11-2018 17:37
Je présume qu'il n'était pas allé à pieds au palais!

Ou alors il est était assis convenablement sur le "FAUTEUIL" d'une voiture; ah non il est entré en voiture!

kameleon78
| 28-11-2018 17:08
Non DHEJ, on boutonne la veste en se levant soit d'un fauteuil, soit de table ou sortir de voiture. Révise ton code de bonne conduite.

kameleon78
| 28-11-2018 17:05
C'est l'un des moins mauvais hommes politiques tunisiens. Quand il était chef de gouvernement, il n'a jamais montré ses appartenances politique, au contraire, c'est un homme pragmatique et intègre, il n'est mu par aucune idéologie, je le verrai bien jouer un rôle en 2019 pour la mise en place d'un gouvernement de compétences, loin des querelles idéologiques.

AVERROES
| 28-11-2018 16:23
Mr JOMAA est un homme politique averti et nul doute que son expérience politique et son passage à la Casbah seraient utiles à la nation. En même temps je trouve que l'idée de cette démarche est inutile et contre productive. La pathologie qui gangrène et décompose le tissu sociale est connue par tous. Pour éradiquer ce virus à la racine, il faut administrer une thérapie adéquate et efficace. La proposition de l'ancien premier ministre de mettre la poussière sous le tapis jusqu'au prochain tour, elle n'est plus envisageable. Cette crise est profondément significative, elle nous alerte sur un séisme imminent qui va tout emporter et détruire, elle démontre aussi que le consensus national est une utopie à laquelle aucun acteur politique n'y croyait. Il faut attaquer les symptômes du mal à la racine Mr JOMAA, quitte à se faire mal c'est le prix à payer. Les frères musulmans sont empêtrés dans des affaires judiciaires et inéluctablement un jour ou l'autre ils seront amenés y répondre. Saisissez cette opportunité qui se présente à vous et unissez vous pour écarter les théocrates du pouvoir.

Wednesday
| 28-11-2018 14:23
Il a eu sa chance auparavant et l'a raté: il n'a rien voulu prendre comme décision lorsqu'il était premier Ministre, trop docile, "ma yét3amélch 3alih" donc.."èch tanfa3 éttabssima...ba3d él mahaba oufèt", la Tunisie a besoin de "Rajél morr, yanfa3 wéythor !".

Maintenant, il veut monter à cheval en tant que politicien après avoir goutté au charme du pouvoir, ... trop tard !

A bon entendeur !

DHEJ
| 28-11-2018 13:51
Il fallait boutonner sa veste!