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Mehdi Jomâa : Nous ne resterons pas les bras croisés !
21/01/2018 | 14:00
1 min
Mehdi Jomâa : Nous ne resterons pas les bras croisés !

Le parti Al Badil Ettounsi a tenu, aujourd’hui, dimanche 21 janvier 2018, un meeting populaire dans la ville de Sfax pour présenter sa vision politique et économique.

A cette occasion, l’ancien chef du gouvernement et président d’Al Badil, Mehdi Jomâa, a affirmé que depuis la colonisation, les Tunisiens étaient là pour la Tunisie. « aujourd’hui, on nous demande de nous lever pour la Tunisie, ça a toujours été le cas. Les Tunisiens étaient là devant la chevrotine, lors des élections, debout devant la cherté de la vie… Ils sont debout patiemment, en observant les responsables en train de se bagarrer… », a-t-il dit. Et d’ajouter : « après avoir vécu ensemble le grand rêve de la démocratie, nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Nous devons œuvrer ensemble pour sortir de cette situation misérable et nous devons compter sur nos propres moyens avant de compter sur le soutien étranger [...] Nous devons résoudre nos problèmes sociaux, pour que la Tunisie devienne un pays favorable à l’activité économique, et rapporteur d’investissement ».



« Nous savons où nous allons, quelle direction prendre et comment nous réaliserons nos objectifs. Nous serons un exemple de labeur et de persévérance. Cependant, nous refusons d’attendre et perdre un temps précieux. Nous ne resterons pas les bras croisés face à la marginalisation et l’exclusion que vivent beaucoup de nos enfants » assure M. Jomâa durant son discours.

 

S.H


21/01/2018 | 14:00
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Commentaires (20)

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azertyfr
| 22-01-2018 22:32
Encore un opportuniste financé par des aides de l'union européenne. J'ai croisé ce monsieur sur les champs élysés, devant une adresse bien chic de la capitale française. La machine médiatique est bien lancée!

Citoyen_H
| 22-01-2018 19:55



"Il n'y a pas plus dictateur, arnaqueur et inculte que le minable escroc Ghanouchi"

On a voulu défier l'adage des sages qui dit; "Chidd mchoumik wouala ijik ma achwouame".

On est tombé en plein dedans, mains et pieds liés.
Salutations

amine
| 22-01-2018 16:37
il a goute a la drogue du pouvoir... maintenant il est pret a tout dont le ridicule pour un simple espoir d y regouter!

Abel Chater
| 22-01-2018 16:33
@Pino
Va lire un roman que ses auteurs font passer par plusieurs correcteurs. Une obligation calculée dans son prix de vente. Mais ici, c'est un forum où on écrit spontanément et gratuitement pour faire passer des idées destinées aux Francophones, depuis les analphabètes parmi les Français, jusqu'aux universitaires parmi les Tunisiens. Un effort qu'on essaie de faire au détriment de notre langue maternelle l'arabe.
Comme le moteur électronique de BN est exclusivement latinophone, qu'on utilise pour écrire en français, il n'y a point d'obligation pour nous, même de relire ce qu'on poste en une langue totalement étrangère à nos us et coutumes. Contrairement aux Français, nous maîtrisons souvent 5 langues. Notre iPhone nous complique la tâche en omettant de reconnaître la langue qu'on écrit. Il change et double les mots et les signes de lui-même. Il nous faut plus de temps pour la& correction que pour la rédaction. Nous sommes toutefois à 97%, des Arabes musulmans en Tunisie, qui jouissons de notre propre langue maternelle arabe depuis 14 siècles. Par contre, la langue française dont tu lui tambourines le génie, ne put être préparée pour les écoles françaises, qu'à partir de 1930. Tellement cette langue française ne trouve de repaires, que par le biais de textes controversés palabrés par le comédien Molière et repris souvent différemment, par Montesquieu pour ses discours politiques simplifiés.
Tandis que notre langue arabe, trouve l'ensemble de ses repaires linguistiques, grammaticaux et syntaxiques dans les textes coraniques depuis 1439 ans, les Français souffrent encore par la différence entre le futur et le conditionnel. N'en parlons pas du subjonctif et de la terminaison de l'impératif.
De quoi parles-tu donc et qu'est-ce que tu attends de nous les Arabes tunisiens, de superlatif, en plus d'avoir réussi à maîtriser cette langue étrangère française, de loin plus et mieux qu'au moins les ¾ des Français eux-mêmes?
Sur quoi devrais-je te jurer, qu'au moins ¾ des Français sont aujourd'hui analphabètes?
Et tu attends de nous d'être méticuleux avec cette langue française, au lieu de ne l'utiliser qu'à fifty-fifty avec notre langue maternelle l'arabe?
Allons, bon sang !!!

Monia
| 22-01-2018 15:52
nous sommes toutes ouïes!

Essence
| 22-01-2018 13:12
"The spy mehdi Jomaa" d'après des rapports US ...

MZIDI
| 22-01-2018 12:07
Il est temps que les leaders cessent de se mettre en " valeurs " ! Nous attendons des propositions concrètes , concises, chiffrées et argumentées ! Assez de bla bla et de promesses .

kameleon78
| 22-01-2018 11:39
Ce Mehdi Jomaâ n'a aucune carrure d'homme d'état, il peut à la rigueur être nommé ministre ou premier ministre (pour des raisons politiques) mais en aucun cas, il n'a les capacités intellectuelles pour la fonction ultime. Ce n'est pas parce qu'on a été directeur commercial chez Total pour qu'on ait toutes les capacités pour diriger un pays, cela demande d'autres qualités, moi je le vois bien ministre de l'industrie, il n'est pas meilleur que ses confrères Imed Hammami ou Zied Laâdhari, des ministres médiocres qui sont promus que pour respecter l'accord Nidaa-Nahda. En revanche Ghannouchi, vu l'absence d'une carrure politique dans ses rangs, pourrait le choisir comme candidat de la Nahda à la présidentielle s'il renonce à Jbéli l'"indépendant".(ironique).

takilas
| 22-01-2018 05:36
Si l'on presse tous les nahdha ensemble, on n'en sort même pas un vieux bonhomme gardien d'un parking non autorisé, tellement ils sont arnaqueurs, médiocres et sans aucun niveau d'instruction à part les fausses attestations ramenées lors de leur séjour (par connivence de Ben Ali de 2006 à 2011) de traîtrise à Londres et à Paris lorsqu'ils étaient désignés pour le motif de baliser la route vers le pétrole libyen, en contrepartie de devenir riche et de mettre main basse sur la Tunisie et surtout de sa capitale Tunis et de ramener les sudistes boucs émissaires et autres soudoyés et favorisés vers Tunis, car habiter Tunis est pour eux (sous développés et incultes) une obsession et un objectif dépassant tout autre objectif social ou culturel

Pino
| 21-01-2018 22:44
le modérateur qui lit un commentaire avant de le puplier, n'est-il pas autorisé à corriger les fautes commises ?