Tes gros poissons ont été arrêté et relâché c'est bien cela ???? Manque de preuve ???
Les Tunisiens veulent du concret pas du secret .... on veut de la TRANSPARENCE MONSIEUR ...
Tu captes le coup .... Chahed a tout compris ... toi tu rames ... HC
Invité de Jawhara Fm ce jeudi 25 mai 2017, l’ancien chef du gouvernement et président du parti Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, a salué la campagne de lutte contre la corruption menée par le chef du gouvernement, Youssef Chahed. Il a également présenté ses hommages « au dispositif sécuritaire qui œuvre en faveur de cette lutte et à toutes les personnes qui y participent de près ou de loin ».
Revenant sur la période où il était chef du gouvernement, le président du parti Al Badil a avancé qu’en 2014, à la veille de l’Aïd, une campagne de lutte contre la corruption identique avait été menée « durant deux mois et demi dans le plus grand secret » et avait abouti à l’interpellation de « six gros poissons » de la corruption. Cette lutte anti-corruption « réussie » n’avait pas été médiatisée pour « ne pas perturber la période électorale de 2014». Mehdi Jomâa a poursuivi en précisant que son gouvernement a été le premier à lancer la guerre contre la corruption.
« L’interpellation des six gros poissons entrait dans le cadre des dispositions du code des douanes qui ne prévoient pas de peine d’emprisonnement » a déploré Mehdi Jomâa ajoutant que suite à ces arrestations une législation d’initiative gouvernementale a été adoptée pour « donner de plus grandes prérogatives au pouvoir exécutif dans les affaires de corruption ». Le président du parti Al Badil a ajouté que « Malheureusement, deux ans et demi après, cette loi n’a jamais été réactivée ».
K.H
Invité de Jawhara Fm ce jeudi 25 mai 2017, l’ancien chef du gouvernement et président du parti Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, a salué la campagne de lutte contre la corruption menée par le chef du gouvernement, Youssef Chahed. Il a également présenté ses hommages « au dispositif sécuritaire qui œuvre en faveur de cette lutte et à toutes les personnes qui y participent de près ou de loin ».
Revenant sur la période où il était chef du gouvernement, le président du parti Al Badil a avancé qu’en 2014, à la veille de l’Aïd, une campagne de lutte contre la corruption identique avait été menée « durant deux mois et demi dans le plus grand secret » et avait abouti à l’interpellation de « six gros poissons » de la corruption. Cette lutte anti-corruption « réussie » n’avait pas été médiatisée pour « ne pas perturber la période électorale de 2014». Mehdi Jomâa a poursuivi en précisant que son gouvernement a été le premier à lancer la guerre contre la corruption.
« L’interpellation des six gros poissons entrait dans le cadre des dispositions du code des douanes qui ne prévoient pas de peine d’emprisonnement » a déploré Mehdi Jomâa ajoutant que suite à ces arrestations une législation d’initiative gouvernementale a été adoptée pour « donner de plus grandes prérogatives au pouvoir exécutif dans les affaires de corruption ». Le président du parti Al Badil a ajouté que « Malheureusement, deux ans et demi après, cette loi n’a jamais été réactivée ».
K.H