"Tant que nahdha est là rien n'y va ! "
Perte de temps sèche.
Le secrétaire général du parti Machrouû Tounes, Mohsen Marzouk a annoncé ce jeudi 18 janvier 2018 dans une conférence de presse tenue dans un hôtel à Tunis que son parti se retirait du processus de l'Accord de Carthage.
Le parti a, en outre, appelé à la constitution d’un gouvernement de compétences « non concernées par les prochaines élections municipales », ajoutant qu’il retire son soutien politique au gouvernement Chahed. « Ce gouvernement est sous l’emprise totale de Nidaa Tounes et Ennahdha et non un gouvernement d’union nationale, nous ne pouvons plus tolérer cela », s’est justifié Marzouk avant d’ajouter que son parti « pourrait soutenir une nouvelle équipe gouvernementale dirigée par Youssef Chahed mais qui ne contiendrait pas de ministres concernés par les prochaines échéances électorales ».
Mohsen Marzouk a souligné que son parti appelle également à la tenue d’un congrès national pour rectifier les politiques économiques et sociales et à l’adoption d’une Loi de finances complémentaire. Ladite loi s’articulerait autour de principes tels que « la privatisation partielle ou totale de certaines entreprises publiques, l’élargissement de l’assiette de l’impôt et l’intensification des efforts pour le recouvrement de l’impôt » selon les propositions du parti.
Enfin, le secrétaire général du parti Machrouu Tounes a fustigé l’utilisation des moyens de l’Etat à des fins politiques et électorales, en rapport à la désignation de ministres et de conseillers de Nidaa Tounes en tant que coordinateurs du parti pour les prochaines élections municipales.
Ces décisions, a précisé le secrétaire général du parti Machrouû Tounes, sont issues de la réunion du bureau politique du 13 janvier 2018.
Le parti se démarque ainsi du processus, mais pas du document en lui-même… Une nuance que Mohsen Marzouk devra vite éclaircir pour ne pas troubler ses électeurs et l’opinion publique…
Le secrétaire général du parti Machrouû Tounes, Mohsen Marzouk a annoncé ce jeudi 18 janvier 2018 dans une conférence de presse tenue dans un hôtel à Tunis que son parti se retirait du processus de l'Accord de Carthage.
Le parti a, en outre, appelé à la constitution d’un gouvernement de compétences « non concernées par les prochaines élections municipales », ajoutant qu’il retire son soutien politique au gouvernement Chahed. « Ce gouvernement est sous l’emprise totale de Nidaa Tounes et Ennahdha et non un gouvernement d’union nationale, nous ne pouvons plus tolérer cela », s’est justifié Marzouk avant d’ajouter que son parti « pourrait soutenir une nouvelle équipe gouvernementale dirigée par Youssef Chahed mais qui ne contiendrait pas de ministres concernés par les prochaines échéances électorales ».
Mohsen Marzouk a souligné que son parti appelle également à la tenue d’un congrès national pour rectifier les politiques économiques et sociales et à l’adoption d’une Loi de finances complémentaire. Ladite loi s’articulerait autour de principes tels que « la privatisation partielle ou totale de certaines entreprises publiques, l’élargissement de l’assiette de l’impôt et l’intensification des efforts pour le recouvrement de l’impôt » selon les propositions du parti.
Enfin, le secrétaire général du parti Machrouu Tounes a fustigé l’utilisation des moyens de l’Etat à des fins politiques et électorales, en rapport à la désignation de ministres et de conseillers de Nidaa Tounes en tant que coordinateurs du parti pour les prochaines élections municipales.
Ces décisions, a précisé le secrétaire général du parti Machrouû Tounes, sont issues de la réunion du bureau politique du 13 janvier 2018.
Le parti se démarque ainsi du processus, mais pas du document en lui-même… Une nuance que Mohsen Marzouk devra vite éclaircir pour ne pas troubler ses électeurs et l’opinion publique…