« L’imam d’une mosquée qui profite de sa position pour appeler à la violence contre autrui ne peut être imam » a écrit ce jeudi 14 juin 2018, le secrétaire général adjoint chargé de l’information de la communication et de l’édition à l’UGTT (Union générale des travailleurs tunisiens), Ghassen Ksibi, sur sa page Facebook en réaction à la suspension de l’imam d’une mosquée de Jendouba.
Ghassen Ksibi a tenu à remercier le ministre des Affaires religieuses, tout en soulignant qu’un imam qui appelle à la haine et à la violence n’a pas sa place dans les mosquées du pays.
La suspension de l’imam en question est intervenue à la suite de prêches incendiaires appelant à la violence contre des personnalités politiques telles que : Mongi Rahoui, Saloua Charfi, Raja Ben Slama, Mohamed Boughaleb et bien d’autres partis et associations.
S.A
Commentaires (6)
CommenterCe même imam ,je lui demande ,de lancer un défit ,par le biais ,d'un verset qui remet l'entière intervention à ...
ON AURAIT BIEN VOULU ENTENDRE LA MEME SENTENCE
Cet individu doit rendre des comptes à la justice
Il n'y a pas de place dans notre pays pour des semeurs de zizanie et des farfelus embrigadés. En tout cas pas dans les lieux de prière.
Appel à la violence
Il faut l'enfermer
Hop hop hop
Blague à part, vous remarquerez il est juste suspendu..hein! Pas emprisonné...
Hannibal