La fédération générale de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique relevant de l’UGTT, a vivement critiqué ce vendredi 8 juin 2018, l’accord annoncé entre le syndicat universitaire Ijaba et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Dans un communiqué rendu public, le syndicat a qualifié cet accord de « mascarade » estimant que le syndicat « parallèle » aurait pu être impliqué dans les négociations concernant les dernières réformes « comme si la porte n’était pas ouverte à tous les enseignants et parties prenantes dans les affaires universitaires ».
La fédération a précisé que Ijaba a accepté un maigre accord « toujours pas signé par le ministre de l’Enseignement supérieur », devant le refus de la plupart des enseignants de boycotter les examens faisant ainsi échouer le recours à une année blanche, « un échec avec lequel ont aussi échoué les négociations de dernière minute imposées par des agendas partisans ».
Un accord avait été annoncé hier, entre le syndicat universitaire Ijaba et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Le syndicat universitaire Ijaba avait fait part, en mai dernier, sa décision de ne pas fournir les sujets pour les examens du deuxième semestre de cette année universitaire.
Cette décision fait suite au refus du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique de satisfaire les revendications du syndicat. Le syndicat appelle, en effet, à l’application de la grille des rémunérations dans la fonction publique aux universitaires, détenteurs du plus haut diplôme à l’échelle académique.
Le ministère avait lancé un ultimatum aux enseignants universitaires grévistes pour qu’ils rendent leurs sujets d’examen avant la date d'aujourd'hui.
M.B.Z
Commentaires (8)
CommenterAu moins plusieurs livres de chair...
On a marre de cette mascarade.
Ugtt tous des vendus
Syndicat " parralléle"...plus fasciste que ça tu meurs !
Pas Besoin de cet Avis.
Pour un referudum interdisant les greves dans la fonction publique
Le peuple Tunisien s'il est vraiment intelligent comme il le croit doit absolument corriger le piège tendu dans la meilleure constitution au monde et écrite par le couple haineux et bâtard islamo-communiste qui a réussi à imposer le droit de la gréve comme un droit constitutionnel. Une première mondiale que les anarchistes communistes et les frérots du diable ont réussi à faire passer comme un suppositoire dans la constitution qui demeure au sommet de l' hiérarchies des sources de droit. Oui il s'agit bel et bien d'un suppositoire planque dans l'arriere train du peuple le plus intelligent du monde et qui regarde impuissant son pays sombrer par ce droit constitutionnel qui est la gréve .
Les parents doivent se mobiliser contre les professeurs criminels, quitte à mobiliser les juridictions internationales pour exiger des dédommagements et la punition de ces criminels comme il se doit.
Faire perdre une année à un étudiant, et mettre en cause la crédibilité des diplômes Tunisien est un crime que j'élève au niveau des crimes contre l'humanité initié par le couple bâtard Islamo-communiste de la bande de traîtres ramenées d'outre mer par Sorros et fréedomhouse. C'est le Daéch national mandaté pour détruire les fondement de la république Tunisienne.
POUR R'?SUMER :On doit se mobiliser pour :
1- Poursuivre pénalement les responsables syndicaux devant les juridictions internationales vu qu'en Tunisie le droit à la gréve est constitutionnel.
2- Signer une pétition pour demander unreferundum interdisant le droit à la gréve dans la fonction publique. UN ETAT NE DOIT JAMAIS FAIRE LA GR'?VE CONTRE LES CONTRIBUABLES QUI LE FINANCEMENT.
Ceux qui sont d'accord doivent casser le silence et se manifester pour l'avenir de la Tunisie et de nos enfants.
"LE 3ACHA FIHA MEN KHANAHA comme le disait notre hymne nationale"