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L'UGTT demande à la France d'ouvrir une enquête sur la mort d'Ahmed Tlili
25/06/2016 | 12:28
1 min
L'UGTT demande à la France d'ouvrir une enquête sur la mort d'Ahmed Tlili

 

Le secrétaire général de l’UGTT, Houcine Abassi, a indiqué ce samedi 25 juin 2016, sur Mosaïque Fm, que la centrale syndicale a appelé les autorités françaises à ouvrir une enquête sur les circonstances de la mort du leader syndicaliste Ahmed Tlili décédé en 1967.

 

Il a affirmé en marge de la commémoration de l'anniversaire du décès d'Ahmed Tlili au cimetière Al Jallaz, que la mort du leader syndicaliste exilé est suspecte. M. Abassi a ajouté, dans un autre contexte, que l'UGTT demeure une force d'équilibre dans le pays, rappelant les sacrifices et les efforts de la centrale pendant l’occupation et après l’Indépendance.

 

M.B.Z


25/06/2016 | 12:28
1 min
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Commentaires (11)

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SAZ
| 27-06-2016 00:01
Je ne comprends pas cette initiative de l'UGTT auprès des autorités françaises pour diligenter une enquête sur le supposé décès suspect de feu Ahmed Tlili. Une initiative plus simple aurait consisté en une demande par la famille d'accéder au dossier médical, si ce n'est déjà fait depuis 1967.C'est le droit des famille pas celui de l'UGTT, l'administration de l'Hôpital étant tenu au secret professionnel. En 1967 les services secrets tunisiens n'avaient pas les moyens de la CIA, du KGB ou du MI16 pour éliminer médicalement ses opposants politiques. Regarder comment on s'y est pris pour se débarasser de Ben Youssef.Une enquête de ce genre ne peut qu'aboutir à l'exhumation du corps pour autopsie. La famille et non l'UGTT est elle prête à l'accepter. Je ne vois dans cette initiative que de la simple agitation à l'occasion d'une commémoration
Pour info, l'Hôpital Saint Antoine était réputé à l'époque pour son service de chirurgie générale.
RIP Si Ahmed et Allah yerhamek.

ABDOU
| 26-06-2016 17:15
Les dirigeants actuels font de l'histoire militante un fonds de commerce. Ils n'ont plus a faire prevaloir d'autres arguments a part leur cupidite. Les vrais militants sont ceux qui donnent tout y compris leur vie, sans calcul. C'etait le cas de Hammi, de Farhet Hached, de Ahmed Ben Salah. Je me suis toujours pose la question pourquoi, ils ont tendance a l'oublier alors qu'il est le leader qui a donne le plus a cette organisation et ala Tunisie: sante, education, tourisme,industrie, agriculture... Venir aujourd'hui demander des comptes a l'Etat tunisien, prouve l'irresponsabilite de ces "dirigeants" et le degre de leur nationalisme. L'instance de verite ne leur suffit pas pour retablir l'histoire. A moins que ce ne soit pour couvrir leur culpabilite envers notre nation et detourner l'attention de l'opinion publique qui leur devenue hostile apres avoir lamine la dignite des tunisiens.

kaaboura
| 25-06-2016 23:25
abassi et l ugtt ont fait des choses positives pour le pays .
il est temps qu il s arrete car a cause de lui en partie la Tunisie est a genou ravage par le desatre Economique a cause des milliers de grèves rarement nécessaire .

Fehri
| 25-06-2016 22:44
Mort a 51 ans. Il est rentre en Tunisie en Mars 1967 et décédé a Paris en Juin. On parle de son opposition a Bourguiba et de sa subite dégradation de sante sans aucune explication. Mort mystérieuse qui ressemble a celle de Arafat.

Citoyen_H
| 25-06-2016 19:24

"Qu'ils n'oublient pas que personne de cette bande n'est de la trempe de Hached ni de Tlili... "


Y a pas photo.
Il en est de même pour la majorité des membres des gouvernements successifs, profiteurs et bras cassés par excellence.

Je crois que le temps de l'excellence est révolu.

Voici venu le temps (la trika a ouvert le bal) de la mocheté, de la haine, de la traitrise, de l'imposture, de la médiocrité et de la rancoeur, pour tous les affamés et les complexés que compte notre nation.

Seule le bâton purificateur pourrait les remettre dans leurs rangs respectifs.
Salutations.



saz
| 25-06-2016 14:58
Feu Ahmed Tlili n'était pas éxilé au moment de son hospitalisation à l'Hopital Saint Antoine en juillet 1967 à Paris je crois. Il s'était éxilé en 1966 et était rentré normalement en Tunisie au moment du problème cardiaque du Président Bourguiba en mars 1967. Il s'était même rendu au Palais de Carthage pour signer le registre de prompt rétablissement au Président.

stouramed
| 25-06-2016 14:48
L'élite de l'ugtt a toujours man'uvré pour garder ses avantages pendant l'ère bourguibienne et l'ère de Ben Ali. Aujourd'hui, les généraux veulent garder la haute main sur l'état qui a volé en éclats en poussant son manichéisme à l'extrême.Quand ils se réveilleront ça sera trop tard... Qu'ils n'oublient pas que personne de cette bande n'est de la trempe de Hached ni de Tlili...

Najib
| 25-06-2016 14:42
C'est à l'Etat tunisien d'ouvrir ce dossier et de le discuter avec l'Etat français . A moins que , ne reconnaissant pas l'Etat de son pays , Abassi veut le discuter directement avec la France , puisque l'UGTT est la force dominante , et Tlili est sa " propriété privée ".
L'arrogance et l'opportunisme de ce gourou sont vraiment sans limite !

A4
| 25-06-2016 14:13
Rien à faire. Nos "pseudo" hommes politiques vivent dans le passé. TOUS !!!
Il faut dire que devant il y a un mur ... ainsi ils ne vont pas se casser la figure mais se fracasser le crâne !!!

Lilou
| 25-06-2016 13:50
Le pays est dans une crise politique sans précédent et ce *** de Abassi demande l'ouverture d'une enquête sur la mort d'´ahmed Tlili...Demandez plutôt à la France de vous aider à retrouver les assassins de Brahmi et Belaïd.