Ajmi Lourimi, membre du bureau exécutif du parti Ennahdha, a déclaré, le 27 juin 2016 à la TAP, que la présidence de la République et Nidaa Tounes sont les premiers concernés par la désignation d’un nouveau chef du gouvernement.
M. Lourimi a précisé que la personnalité désignée devra avoir une dimension politique et être issue d’un consensus. Ceci est nécessaire pour garantir la réalisation des réformes, fournir une stabilité sociale et économique et pour matérialiser les priorités objet du dialogue entre les partis.
Ajmi Lourimi a précisé que le parti était attaché à la constitution d’un nouveau gouvernement sur la base des résultats des élections de 2014 et non sur la base des évolutions connues par certains partis durant la période qui a suivi. Il a ajouté que le président du parti, Rached Ghannouchi, souhaitait que les consultations autour du nouveau gouvernement ne durent pas au-delà du mois de ramadan même si cela parait difficile.
M.A
Commentaires (9)
Commenter@kameleon
@Ek
il a bien raison
@bourguibiste
Et pourquoi pas Essid?
Tires toi
@Ek DEGAGEZ AU QATAR CHEZ VOS MAÎTRES
Nul
Votre temps est passé, Mr vous parlez encore de BOURGUIBISME en 2016..Pathétique...le monde tourne change avance et vous, vous vivez encore un demi siècle derrière..votre dictateur est mort ya longtemps, ne nous en parlez plus, il était tout sauf un leader. Au fait, nahdha c'est l'avenir, si vous n'êtes pas content, dégagez de la Tunisie, de toute les façons, vous êtes des vendus comme votre bourguiba.allez en Europe, même si ils ne veulent pas de vous.
APPEL A LA RESISTANCE CONTRE L'ISLAMISATION DE LA TUNISIE
Après le voyage du chef des islamistes en France, les choses sont claires : la Tunisie aura d'ici la fin du ramadan un gouvernement islamo gauchistes où figureront des islamistes et des gauchistes comme Chebbi, Jendoubi et, pire encore, Mustapha Ben Jafaar comme ministre des affaires étrangères. Dans ces conditions, ce prochain gouvernement islamo gauchiste accélérera la mise sous tutelle qatarie de la Tunisie et l'islamisation du pays. Dans ces conditions, Nidaa devenant un faire-valoir des islamistes, pour ne pas dire une courroie de transmission de l'islamisme, il ne reste plus alors qu'entrer en RESISTANCE CONTRE L'ISLAMISATION DE LA TUNISIE. C'est désormais la seule position courageuse, celle de combattre l'islamisme sous toutes ses formes. C'est la seule bataille qui vaille y compris contre Nidaa et BCE qui a perdu toute capacité de sortir la Tunisie de la crise.