Le ministre de l’Intérieur Lotfi Brahem, s’est exprimé le 10 novembre 2017, dans une déclaratin relayée par Jawhara FM, pour parler des « nombreuses difficultés » auxquelles le ministère fait face depuis 2012.
Il a en effet dit : « Dans le passé le ministère a pris une série de mesures. Certaines, ont eu des répercussions positives et d’autres négatives. Ces dernières prises en 2012, sont liées à la politique de rapprochement des agents de police et des gardes municipaux de leurs lieux de naissance ».
M. Brahem a en outre évoqué leurs difficultés à bien faire leur travail et à appliquer des décisions prises pour contrer les étalages illégaux de marchandises et d’agir avec sérieux dans certains cas.
S.A
Lotfi Brahem : Le ministère de l'Intérieur fait face à de nombreuses difficultés depuis 2012
Le ministre de l’Intérieur Lotfi Brahem, s’est exprimé le 10 novembre 2017, dans une déclaratin relayée par Jawhara FM, pour parler des « nombreuses difficultés » auxquelles le ministère fait face depuis 2012.
Il a en effet dit : « Dans le passé le ministère a pris une série de mesures. Certaines, ont eu des répercussions positives et d’autres négatives. Ces dernières prises en 2012, sont liées à la politique de rapprochement des agents de police et des gardes municipaux de leurs lieux de naissance ».
M. Brahem a en outre évoqué leurs difficultés à bien faire leur travail et à appliquer des décisions prises pour contrer les étalages illégaux de marchandises et d’agir avec sérieux dans certains cas.
Vous êtes ministre de l'intérieur et c'est une chance de la nuit du destin sans vous dire comment.
Ne ratez pas cette occasion. Prenez les grandes décisions et n'ayez pas peur.....(auto censuré) avant que ça ne soit tard.
La chance ne se présente pas deux fois.
Le travail du M.I avant la révolution me fait penser aux chercheurs d'or en Alaska . Ils remuent des tonnes de terre pour récolter quelques pépites. Ils n'ont aucun compte à rendre à la terre ni à la roche ni à la flore déplacées et rejetées à l'eau.
La police brassait par dizaines, des personnes autour du suspect , interrogeait, brutalisait , retenait pendant des mois puis relâchait sans avoir de compte à rendre vis à vis des innocents auxquels on rappelait qu'ils n'avaient pas intérêt à se plaindre auprès des instances internationales ... et c'est pourquoi Zaba a réussi à assurer la sécurité que nous connaissons.
Depuis un certain 14 janvier 2011 et l'arrivée des différentes associations des droits de l'homme etc ... le travail de nos sécuritaires ressemble plus à celui du joallier qui manipule avec précaution des pierres précieuses , qu'à celui du chercheur d'or ...
J'éxagère un peu .... pas beaucoup !!!
Je me rappelle que des gouverneurs ont été mutés dans leurs régions. Exemple une certaine S.khiari mutée de l'Ariana à Nabeul( incluant delegation de Beni khiar) et il y avait un autre cas flagrant au moins...
dans tous les secteurs ou il y a des controles la police ou la garde nationale la politique d affecter des agents dans leurs regions est prejudiciable pour le pays et pour le secteur ecceptè l enseignement
L'etat a été anéanti depuis 2011 toutes les ministères ont été purgé de leur compétences pour que les infiltrés et les incultes à la solde des khwanjias prennent place ,les administrations sont un état de délabrement jamais enrengistré en tunisie même pendant la période coloniale .
La situation actuelle des ministères et des administrations tout court n'est pas la fait du hasard ça été planifier et organisé par la secte Du gourou et ils sont très content en privée du résultat .
Le calvaire de la tunisie et des tunisiens c'est L'antenne tunisienne de la confrérie des terroristes musulmans tant qu'ils opèrent encore tranquillement en tunisie il n'ya Aucun espoir pour le pays la solution est l'anéantissement pure et simple de la confrérie maudite .
Dire n'importe quoi est un point faible chez ces pseudo-ministres. La corruption est le plus important problème et elle est à l'origine de tous les dérapages : contrebande, étalages anarchiques, etc.
Des agents de police qui travaillent dans la périphérie de leurs lieux de naissance, ouvrent des restaurants, des cafés, des épiceries et même des kiosques (Hammas) et ne sont occupés quasi, que de leur profit personnel. Leur travail chez la police se transforme en un moyen d'immunité pour leurs commerces, souvent au nom de l'une ou de l'un de leurs proches, loin de toutes les normes légales requises par la loi.
Quand on parle d'agents de police ou de gendarmerie, qui ne leur reste qu'une décennie pour leur fin de carrière, ayant déjà atteint la maturité et l'expérience de l'âge, qui veulent rentrer au bercail de leur naissance, dans le cadre de la possibilité administrative du ministère de l'Intérieur et des circonstances de l'époque et des évènements, là on pourrait avoir de la compréhension. Mais que tout policier ou tout gendarme ayant des «pistons», s'implante chez lui jusqu'à rouiller et transformer la police ou la gendarmerie en son propre fonds de commerce, ça ne fera que léser à l'ensemble du ministère de l'Intérieur et du peuple tunisien lui-même.
D'ailleurs, c'est pour cela que le parlement doit léguer aux agents de nos Forces de l'ordre, une prime de logement en adéquation avec la distance de leurs lieux d'habitation principale. Quant à ces coqs qui incitent nos forces de l'ordre au port permanent d'armes, essayant de les classer dans un alignement hostile à leur propre peuple tunisien, comme c'est le cas en Egypte et en Syrie, ils ne savent pas combien ils font mal à nos forces de l'ordre eux-mêmes. Il suffit d'imaginer la joie des bandits, des malfaiteurs, des criminels et des terroristes qui sauront avec certitude, que tout agent de nos forces de l'ordre porte une arme chez lui. Une arme qu'ils pourront lui enlever par n'importe quel braquage de guet-apens. Qui pourrait donc protéger cet agent sans la moindre chance contre une poignée de criminels décidés?
Les armes à feu de nos agents de l'ordre changeraient des mains de nos policiers, aux mains de nos criminels et de nos bandits. Tout le pays plongerait dans une insécurité prévue et calculée d'avance.
Ou est-ce que les agents de police et de gendarmerie, vont marcher dans la rue dos-à-dos, chacun son arme braquée brandie vers une direction, afin qu'ils ne soient pas attaquées par une bande de malfaiteurs qui voudraient leur dérober leurs armes?
Allons s'il vous plaît ! Cessons de déraisonner et protégeons nos forces de l'ordre par une mentalité d'approche amicale et aimable avec leur propre peuple et leurs propres concitoyens, seuls garants d'une vraie protection et seule garantie pour le bienêtre de toutes nos Institutions républicaines. Garantissons-leur une assurance pour tout sinistre pouvant les toucher ou toucher leurs familles, dans l'équité et la transparence devant l'humain et le Divin. N'abusez pas de nos forces de l'ordre comme le firent les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Le résultat catastrophique de la colère populaire contre ces forces de l'ordre, nous l'avions bien constaté lors de la Révolution du 14 janvier 2011. La différence entre l'approche du peuple tunisien avec son armée républicaine et son refus des forces de l'ordre, fut plus que visiblement regrettable à ne plus souhaiter la revivre un autre jour.
Apprenons de notre passé. Apprenons de nos fautes. Apprenons des pays avancés où le policier n'est que l'ami protecteur du citoyen, non pas son ennemi, ni son bourreau ou son génocidaire. Il y va de toute une mentalité à changer. Une mentalité qui ne change que par des générations. Notre rôle actuel, n'est que tenir bon contre l'ancienne garde despotique de policiers bergers de moutons, non pas de policiers protecteurs de la patrie. Le bâton et la torture ne procréent que la haine et les ennemis. Nous l'avons essayé six décennies durant. Ça n'a engendré que la faillite et l'échec. Nos jeunes se sauvent du pays et nos plus âgés vivent dans l'incertitude. On n'éduque pas une nation par le bâton et la torture. Même les enfants de l'école primaire l'ont compris depuis longtemps.
Vive la Tunisie arabe et musulmane de régime parlementaire, seule garantie pour la continuité de notre transition démocratique.
Monsieur,nous attendons de vous un nettoyage à l'eau de javel dans tous les personnels de l'intérieur qui étaient installés en 2011,2012 et 2013,si non à quoi sert de changer de ministre,nous avons l'attention qu'il n'y a pas une grande amélioration dans l'intérieur de l'intérieur !
