Vous avez raison de lancer ce ballon d'essai pour tester, ou interpeller subtilement vos compatriotes dans ce forum.
Néanmoins cher Mr vous venez de soulever, le comportement de certains hommes politiques appelés hâtivement à combler la vacance du pouvoir suite aux précipitations des événements aux quels personne ne s'attendait, et par chance ce vide a été colmaté même provisoirement, (Comme vous aimez bien cet adjectif) et qui nous a rendu service.
par chance dois-dire ?
hé oui cher ami nul parmis nous en cette période ne pouvait prévoir ce que le l'an demain sera fait !cette fuite en avant est dangereuse, car il fallait s'assurer que l'État ne s'effondre pas,sauvegarder nos institutions, et assurer la continuité de l'État,c'est la tache la plus périlleuse au qu'elle un pays peut être confronter !
Oui ils l'ont assumée ! Oui avec des hauts et des bas et même je pourrais saluer la suite heureusement, que cette transition a eu lieu,oui elle a laissé des séquelles par manque d'expérience, ces gens là étaient apostrophés, marginalisés n'en connaissaient rien de ce qu'est la conduite des affaires d'un l'État ! Les deux
anciens régimes de Bourguiba, et de ZABA étaient hermétiquement cadenassés, il n'y avait pas d'autres partis d'oppositions.
Je me réjoui de la suite des événements mêmes imparfaites, et avec d'innombrables lacunes.
Je me réjoui que les Tunisiens ont eu la chance et d'intelligence de ne pas tomber dans l'irréparable, qu'est la guerre civile, cette intelligence nous la devons à Allah et à BOURGUIBA de nous avoir ouvert les portes pour le savoir,merci à vous cher Epicure de me lire car je n'ai pas eu la chance d'accéder aux grandes études fautes de moyens, mes parents étaient très pauvres,et comme on le disait le regretté paternel s'est sacrifié pour nous envoyer (deux soeures, et quatres frères) tous à l'école de BOURGUIBA, la dernière qui a eu le plus de chance,elle est Médecin.
Le d'espoir n'a nullement place ni chance d'altérer nos mémoires et notre devoir sacré pour hisser ce cher pays vers le haut au rang des nations civilisées, il faut y croire cher ami, ni provisoire, ni légitime ne peuvent nous en dévier de cette voie de la raison.
Cordialement à vous.(Manai)