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L'ITES organise un séminaire sur le thème « L'hôpital tunisien de demain »
22/10/2016 | 12:06
1 min
L'ITES organise un séminaire sur le thème « L'hôpital tunisien de demain »

 

Dans le cadre de son étude stratégique " Quelle Tunisie dans dix ans ? ", l'Institut tunisien des Études stratégiques (ITES) organise, en collaboration avec la fondation allemande Konrad Adenauer Stiftung, un séminaire stratégique portant sur le thème : " L’hôpital tunisien de demain ". Ce séminaire se tiendra le mardi 25 octobre 2016 à l’hôtel Golden Tulip - Gammarth à partir de 8h30. la ministre de la Santé, Samira Merai Friaa, en assurera l’ouverture.

 

Cette rencontre réunira les acteurs clés du système de santé à l’échelle nationale et internationale et constituera un forum d’échanges et de débat avec les décideurs du secteur. Elle comportera une série de conférences introductives et de workshops se focalisant sur 5 axes majeurs :

1-L’hôpital, un lieu de séjour;

2-L’hôpital, structure de soins intégrée dans un réseau de prestataires;

3-L’hôpital, un condensé de technologies en évolution rapide;

4-L’hôpital, entreprise économique;

5-L’hôpital, structure sociale.

 

Débattre de " L’hôpital tunisien de demain ", relève le communiqué de l’institut, permettra ainsi d’établir un état des lieux du milieu hospitalier en Tunisie, de dégager les priorités stratégiques à mettre en œuvre sur le court terme et d’alimenter la réflexion dans le cadre des travaux stratégiques et prospectifs pilotés par l'ITES, notamment l’étude globale, inclusive et participative "Quelle Tunisie dans dix ans ?".

 

D’après communiqué

22/10/2016 | 12:06
1 min
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Commentaires (9)

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Hippocrate
| 23-10-2016 18:11
Mon cher Adnen, vous avez entièrement raison.L'expertise canadienne avait mis à mal le projet chimérique de l'hôpital militaire inadapté à tout point de vue,ils avaient conseillé d'en faire n'importe quoi sauf un hôpital ,on ne construit plus de nos jours des mega-hopitaux,disproportionné par rapport aux besoins de l'armée ,implanté dans une zone urbaine dense,attenant au Jellaz comportant onze étages ...., sans zone de circulation logique et spacieuse à l'intérieur ni zones de parking . Allez faire un tour dedans et autour et vous serez édifié rien qu'en voyant où on entrepose en plein air et intra-muros les déchets de toutes sortes .Les experts canadiens avaient donc formellement déconseillé d'en faire un centre hospitalier ,mais plutôt de le convertir en ministère ou autres locaux administratifs . Mais des responsables idiots et incompétents , piqués au vif ont passé outre et engagé la santé militaire et l'armée dans l'aventure. ZABA n'y est pour rien , ce sont les sous fifres qui l'ont induit en erreur.

DHEJ
| 23-10-2016 14:01
Ou dans un hôpital ... Tout court!

el manchou
| 23-10-2016 10:34
Encore une conférence boudourou qui a coûté une fortune alors que tout le monde sait en Tunisie que seules les cliniques privés ont le niveau, l'hôpital public est juste un mouroir pour les zwèwla.

Letranger
| 23-10-2016 08:55
" Quelle Tunisie dans dix ans ? ": bien malin celui qui pourra y répondre.
Je ne peux cependant m'empêcher de ressentir quelque inquiétude,même s'il est probable que je ne sois plus tellement concerné en ces temps futurs.

A lire par tout le personnel concerné par la médecine et chirurgie en général en milieu hospitalier ou clinique :Tu enfanteras dans la souffrance de Morton Thompson

Adnène
| 23-10-2016 06:20
Durant les années 1990 le gouvernement canadien a offert à la Tunisie de prendre à sa charge une étude approfondie du système de santé et de formuler une proposition de restructuration du secteur de la santé en Tunisie. Ils ont mis le paquet les canadiens, des dizaines d'experts canadiens de très haut niveau sont venu à Tunis plusieurs fois pour des séjours plus ou moins longs, ils ont tout visité à commencer par les salles d'opération puis finissant dans les loges des gardiens. Il en a résulté un audit en plusieurs plusieurs volumes, des manuels d'organisation et de comment faire pour aboutir à un système de santé fonctionnel.Et avec même un bonus consistant à faire venir au Canada quelques dizaines de cadres tunisiens pour mettre en 'uvre cette réforme.

La Tunisie était prise par la main pour faire ces premiers pas vers "un hôpital public décent". Il fut question en particulier d'implanter des hôpitaux des "Établissements Publics de santé" en y intégrant les fonctions de formation "Centre hospitalo- universitaire", d'établir un maillage hospitalier du territoire ....et même de créer une "Caisse d'Assurance Maladie" pour couvrir les dépenses....bref une vrai horloge. La réforme est adoptée et mise en application du moins à ce qui apparait de l'extérieur. Qu'en reste t il de ce schéma fonctionnel en 2016, des intitulés des appellations! La majeure partie des hôpitaux sont dans un état lamentable les citoyens majoritairement mécontents .....Et le plus triste c'est cette Caisse qui se trouve au bord de la faillite alors qu'elle n'a jamais totalement réglé ce qu'elle devait aux hôpitaux, ni à ses affiliés; ceci malgré le fait que les montants à régler ont été fixés par la caisse.

Il est devenu nécessaire que toute réflexion sur l'avenir de la santé en Tunisie doit être précédée par une analyse approfondie des anomalies de fonctionnements actuelle et leur cause, sans quoi il est inconcevable de pouvoir avancer. Les dysfonctionnements qui atteignent tous les niveaux sont tels qu'ils rendent l'effondrement du système public de santé une réalité envisageable.

DHEJ
| 22-10-2016 19:32
Tout flux confondu!

zohra
| 22-10-2016 14:21
Bonjour ya Manel merci pour la correction c'est une faute frappe désolée

Manel
| 22-10-2016 13:27
on appelle ça un "virus" et non un "verus"

zohra
| 22-10-2016 12:24
la 1ère chose à faire primordiale avant toute chose c'est surtout l'hygiène, si on arrive à respecter l'hygiène dans les hôpitaux on a gagné 50% de soins en moins. Un endroit qui prolifèrent de bactéries et de microbes et verus n'est pas un endroit digne pour se soigner, c'est plutôt dangereux pour la santé