Toute la scène politique en Tunisie vit, ces derniers jours, au rythme du remaniement ministériel qui devrait être annoncé incessamment. Entre partis politiques et organisations nationales, l’effervescence est à son comble, et chaque partie a son mot à dire. Des recommandations, des exigences et des aspirations, nul n’est indifférent, puisque l’enjeu est de taille.
La rentrée médiatique de 2017 promet d’être riche en nouveautés. Si certaines chaînes ou radios n’ont toujours pas communiqué leurs nouvelles grilles, d’autres ont annoncé la couleur et les spéculations vont bon train sur les visages ou les voix qui viendront, cette année, commenter l’actualité du pays et divertir les Tunisiens.
Après des études en informatique appliquée à l’ISG de Tunis (Institut Supérieur de Gestion), le jeune Omar Yaakoubi accède à la prestigieuse université Californienne, Stanford, où
A l’approche des échéances municipales, notre parti islamiste national ne chôme pas. S’appuyant sur la discipline qu’on lui connait, sur des structures solides et des bases impliquées dans l’action partisane, Ennahdha se prépare comme il se doit à entrer dans la course et à en ressortir gagnant.
Le secteur pétrolier connait une crise en Tunisie. Les chiffres annoncés au mois de mai par le ministère de l’Energie, des Mines et des Energies renouvelables au Forum PetroServ, sont édifiants. En l’espace de quatre années, les revenus du pétrole ont été divisés par trois, allant de 6.698 MDT en 2012 à 2.424 MDT en 2016. La production a, quant à elle, été de 16,7 millions de barils en 2016, contre 24,4 millions en 2012.
La corporation médicale, réputée pour son esprit de solidarité exemplaire, est en train de vivre une véritable crise suite aux déclarations du secrétaire général du Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), Dr Nazih Zghal critiquant la formule de l’Activité privée complémentaire (APC) et allant jusqu’à réclamer, carrément, sa suppression.
Directeur général et technique de la startup tunisienne, Datavora, spécialisée dans le Big Data du commerce électronique, Hedi Zaher, 39 ans fait partie de cette génération d’ingénieurs entrepreneurs ayant l’ambition de contribuer à la compétitivité économique de la Tunisie.
« Il est de mon devoir d’être franc avec le peuple et de lui dire toute la vérité […] Nous devons être debout pour la Tunisie » avait déclaré Youssef Chahed dans son discours d’investiture devant les députés de l’ARP le 26 août 2016.
Depuis l’avènement du « Printemps arabe », peu de pays ont été épargnés le fléau du terrorisme. La Tunisie n’en fait malheureusement pas partie. Dans un monde ultra-connecté, la psychose n’a pas mis beaucoup de temps à se répandre pour ravager un pan entier de l’économie du pays.