Le contentieux de l’Etat se trouve accusé par l’Instance Vérité et Dignité d’être responsables des retards successifs de son travail en demandant le report de près de 1.000 audiences d’arbitrage. Est-ce vraiment la raison ? Les séances d’arbitrage sont-elles réellement neutres comme veut bien le dire Sihem Ben Sedrine ? Un enregistrement fuité d’une de ces séances d’arbitrage montre que la vérité est loin de celle prétendue par la présidente controversée.
Comme à l’accoutumée, les problèmes dans le secteur de l’Enseignement alimentent le débat. Rassemblements de colère, grève générale, les syndicats de l’Enseignement restent fidèles à leurs méthodes. Ils vont même jusqu’à bloquer les notes des examens en refusant de les communiquer aux administrations.
La Loi de Finances 2018 n’a épargné personne. En augmentant la taxation des équipements Telecom (NGP 8517), non fabriqués en Tunisie, l’Etat choisit de pénaliser tout un secteur, celui des TIC (Technologies de l'information et de la communication).
De l’épineuse affaire BFT est née une nouvelle affaire dans l’affaire, celle de l’implication de l’ancien ministre Salim Ben Hamidane. Un détail qui n’intéresse personne ? Ce serait sans compter la politisation de cet aspect insignifiant par l’ancien ministre et son compère le député Imed Daïmi qui accusent indirectement les magistrats d’être des marionnettes entre les mains du pouvoir et injurient à répétition les médias et les journalistes qui ont « osé » évoquer ce détail.
Lundi dernier, cinq policiers comparaissaient devant le tribunal de première instance de Ben Arous, accusés d’actes de tortures par un détenu. Théoriquement, le juge se doit de trancher ce litige qui oppose les deux parties. Sauf que les syndicats policiers ont décidé de faire de cette audience une démonstration de force, ravivant par la même occasion une page sombre de l’histoire de la Tunisie, marquée par l’hégémonie de la police et le sentiment d’impunité des policiers…
L'inscription de la Tunisie dans les deux récentes listes noires européennes serait, selon l’eurodéputée Marie-Christine Vergiat une « manœuvre pour faire pression sur la Tunisie afin qu’elle accepte certains dictats ».
L’interview surprise du chef du gouvernement a très peu convaincu. Diffusée à une heure de grande audience, elle a plutôt été le non-événement du dimanche soir. Youssef Chahed devait y répondre aux critiques dirigées contre son gouvernement mais les réponses qu’il a données n’ont pas étanché la soif de ses détracteurs.
Curieux et déterminé, Houssem Gharbi, jeune homme d’à peine 25 ans, s’est lancé dans le monde exaltant de la parfumerie. Avec sa marque HFragrances, il a choisi la création de se spécialiser dans le sur-mesure. Que ce soit pour le contenant ou le contenu, les parfums sont personnalisés à la demande de ses clients. Retour sur le parcours atypique d’un jeune talentueux.
Avec l’apparition du « diamant de synthèse » il y a quelques années, le marché de la pierre précieuse est actuellement en crise. Fabriqués en Asie à partir de simples morceaux de charbon et au moyen d’un procédé à haute températures
Il est loin le temps où l’UGTT tempérait les débats autour du gouvernement et de ses performances. Fini les discours rassembleurs en dépit des retraits de plusieurs partis du document de Carthage, à l’origine de la nomination de Youssef Chahed à la Kasbah. Par la voix de son secrétaire général, la centrale syndicale a émis des réserves sur l’efficacité de l’actuel gouvernement en appelant à un remaniement. Le dernier et le plus solide des soutiens du gouvernement semble se retirer. Lecture.
L’ensemble des 100 000 collaborateurs de TotalEnergies, dans 120 pays dans le monde, sont heureux et fiers de célébrer aujourd’hui le centenaire de la naissance de TotalEnergies.