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Les étudiants en médecine à l'étranger ne pourront plus poursuivre leur cursus en Tunisie
05/07/2016 | 21:00
1 min
Les étudiants en médecine à l'étranger ne pourront plus poursuivre leur cursus en Tunisie

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a indiqué, dans un communiqué publié le lundi 4 juillet 2016 que les étudiants en médecine, médecine dentaire et pharmacie, qui poursuivent leurs études à l’étranger ne pourront plus désormais intégrer les facultés tunisiennes.

 

Les étudiants qui poursuivent leurs études dans ces spécialités en Tunisie ne pourront, eux aussi, plus être mutés d’une faculté à une autre. Cette nouvelle loi sera mise en vigueur à partir de cette année universitaire 2016-2017, précise le communiqué qui souligne que cette décision vise à poursuivre le processus d’accréditation exigé par l’OMS, à garantir l’égalité des chances et à respecter la capacité d’accueil des facultés ainsi que la capacité de formation et d’encadrement.

05/07/2016 | 21:00
1 min
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Commentaires (55)

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Alyssa
| 30-07-2016 12:44
Une mesure qui aurait du etre prise depuis longtemps...Ces etudiants a l'etranger sont en general des etudiants qui n'ont pas pu integrer la medecine en Tunisie apres leur bac (n'ont pas pu avoir les requis). Ils ont donc contourne le system en commenceant leurs etudes a l'etranger (Maroc et Algerie en particulier) ou les standards sont moins eleves...Ils reviennent en Tunisie apres 2 ou 3 ans.
Il etait grand temps d'arreter cette manipulation du system!

koukou
| 09-07-2016 02:23
cette decision serait contraire a la constitution qui garantie le droit a l enseignement elle serait contre les imperatifs actuels de l economie de notre pays elle confirme l emoragie de sortie de devises sachant que chaque etudiant necesste un mim de 15000EUR par an la con joncture actuelle nous impose d investire dans le tourisme durable dont le tourisme estudiantain qui pourrait rapporter bq de devises pour le pays on ne comprend plus comment foctionnent les tetes de nos ministres

Amel
| 09-07-2016 00:41
Heureusement il etait temps de regulariser ce probleme dont on a tant souffert

Youssef
| 08-07-2016 21:47
Cette décision est simplement anti constitutionnelle. Le protectionnisme est la stratégie des médiocres, malheureusement.

syndicat des assistants conteactiels de l enseignement supetieur
| 08-07-2016 17:15
Notre ami docteur se l institut des sciences en france et ex enseignant contractuel et père de 3 enfants ,s est immolé aujourd hui par le feu car il a été giflé par un policier et marmdouh filmarkaz kima marmdouna avant devant lwzara. apres 7 ans ,les 2500 contractuels ont manifestent contre notre licenciement abusif .mais Bouden veut Faire le héros et conduire un changement dans le ministère et peut être devenir un jour président ,il a refusé toute négociation , n a ouvert aucun poste d assistant et l argent est partagé entre les permanents et les professeurs comme heure sup.Allah yar7mou .

rzouga
| 08-07-2016 15:16
On n'arrête pas d'enquiquiner l'ensemble de la profession médicale: un mumérus clausus par ci, une grosse moyenne par là, une loi d'exclusion de l'autre côté (Loi 73 des professions pharmaceutiques qui bloque pour toute la vie, un diplômé de Pharmacie après avoir franchi tant d'embûches et d'effort).
Il faut les laisser la crème de nos jeunes tranquille et les aider dans leur projet car ils sont avec les TIC, une source d'entrée d'argents et de devises surtout après le fiasco du tourisme qui n'a pas évolué depuis les années 60.

lecteur
| 08-07-2016 14:00
Un bon medecin n'est pas forcément très bon en math et physique, Egalement, un élève très bon en math et physique ne va pas forcément donner un bon medecin.
Les hauts scores requis pour entrer en fac de medecine s'expliquent par le grand nombre de demandes. Cet engouement s'explique en grande partie par les revenus intéressants des medecins.

Pourquoi refuser d'intégrer nos enfants qui viennet de l'étranger?
Pouquoi refuser la concurrence qui ne peut être que bénéfique et à l'avantage des patients tunisiens?
Et pourquoi cette reforme ne concerne que la médecine?
On accepte la concurrence pour les ingénieurs par exemple même avec le privé, et on la refuse pour la médecine.

'Amino89
| 08-07-2016 12:45
Les étudiants qui sont étudiés a la tunisie sont pratiquement nule par contre les etudiants a l'etranger sont etudies avec des corps reelle et des organismes reelle.

DOCTEUR1964
| 08-07-2016 12:12
c'est de la devise perdue en moyenne 15000 EURO par étudiant et par an . des politiciens de *** des décisions hâtives qui ne tiennent pas compte de la situation du pays ni des parents en tous c'est toujours la Tunisie qui est perdante dommage

titou
| 08-07-2016 09:35
Cette Décision a été annoncée aux étudiants l'année dernière pour prendre effet à partir de l'année Univ. 2018-2019
Pourquoi l'avancer ainsi de deux années.
Les étudiants qui étaient partis pour des études de Médecine l'année dernière étaient au courant de cette décision mais ceux qui sont partis l'année d'avant n'étaient pas concernés
Pourquoi cette confusion
et que représentent en nombre ces étudiants ( qui sont en deuxième année Médecine au Maroc et au Sénégal, Algérie pas de coopération, les autres pays Roumanie, Russie etc .. non plus ) combien sont ils trois au quatre dizaines ???
Pourquoi Cette Décision en plein période de leurs examens ???
Je penses que les Doyens des fac. de Médecine de Tunisie doivent revoir leur Décision en la décalant à l'année Univ. 2018-2019 comme annoncée l'année dernière.