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Les députés de l'UPL refusent de rejoindre le bloc parlementaire de Nidaa
13/01/2016 | 13:46
1 min
Les députés de l'UPL refusent de rejoindre le bloc parlementaire de Nidaa

Le député de Nidaa Tounes, Tahar Battikh, a annoncé ce mercredi 13 janvier 2016, sur Express FM, que des tractations avancées entre Nidaa Tounes et l’UPL sont en cours afin de  fusionner les deux partis.

 

Il a précisé que cette initiative sera dévoilée dans les prochains jours, soulignant que les députés de l’UPL vont rejoindre le bloc parlementaire de Nidaa Tounes et créer ainsi un bloc commun.

 

Tahar Battikh a, par ailleurs, déclaré que certains députés indépendants ont annoncé leur volonté de rejoindre le bloc Nidaa, qui comptera au final plus de 86 députés, soit encore la majorité après le départ des démissionnaires.

 

Plus tard dans la journée, les députés de l’UPL ont rejeté la proposition de fusionner leur bloc avec celui de Nidaa. Il s’agissait d’une manœuvre pour que Nidaa Tounes garde la première place au sein de l’assemblée, alors que les démissions ont permis à Ennahdha d’y accéder avec 69 sièges.

 

M.B.Z


13/01/2016 | 13:46
1 min
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Commentaires (13)

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Hmiriti
| 13-01-2016 19:41
El Moubadra de Morjane a inflige une gifle a BCE en refusant la fusion et aujourd hui une deuxieme gifle de Slim Riahi a BCE en refusant la fusion.le sauve qui peut continue
a Nidaa,meme Elloumi va reprendre le siege

TeTeM
| 13-01-2016 17:18
Au delà du point très juste souligné par Gg, je note surtout N.T joue à sauve qui peut ! Ils sont en train de perdre leur courte majorité! Pire encore, si Ennahdha devient majoritaire le gouvernement Essid II est déjà menacé car théoriquement, c'est le partie majoritaire qui gouverne...

Bourguibiste nationaliste
| 13-01-2016 16:28
Cher Monsieur, pour vous vous aider, je vous suggère cette piste: le "jeu" parlementaire est une ruine pour la Tunisie.

kameleon78
| 13-01-2016 16:14
Méditez mon postulat fondamental : "Un parti n'a de sens que par ses électeurs sinon c'est une coquille vide."

Tunisienne
| 13-01-2016 16:10
Mais qu'est-ce que ce regroupement islamismo-mafio-médiocratique peut donner de bon en termes de maturité démocratique? Si maturité il y a, ce sera alors un pot-POURRI démocratique! Ou alors un concept "démocratique" nouveau : La CRASSOCRATIE. Après tout, les tunisiens n'ont-ils pas ce "génie" de pouvoir régulièrement "éblouir le monde" ?...
Bonne fin de journée cher ami!

watani
| 13-01-2016 15:15
il reste à Nidaa tounis que la fusion avec le bloc parlementaire de Ennahdha, ainsi il formeront tous les eux un seul bloc contre le bloc de l'opposition. Nidaa n' a plus d'avenir car leurs électeurs sont déçus. Ce parti n'est pas le parti de BCE, c'est le parti des tunisiens qui ont voté pour BCE Bientôt, Nidaa rejoint le sort de Ettakattol qui a aussi trahi ses électeurs. Nidaa est une coquille vide.

ElGaleg
| 13-01-2016 14:45
Donc si je comprends bien, il n'y aura plus d'alliance avec les islammistes..

hahhha je rigole..

mais en fait c'était prévisible. Nida a regroupé tous les déchets de la classe politique (ça tout le monde le sait, mais utilité a emporté).. donc fusion ou pas avec Slim Riahi, ça ne changera rien dans la ligne de conduite de ce pseudo-parti..

après les karoui, Chafik banana et Caied Sebsi junior, qui reste encore de la médiocrité politique (voire humaine) et n'a pas rejoint cette bande de mafieux..



Gg
| 13-01-2016 14:43
Mais avant 2011 il y avait 1 parti. Aux élections de 2011, 578 partis étaient en lice, si je me souviens bien.
Et 5 ans plus tard, les partis explosent, se recomposent... finalement cette étape de grand bazar est peut-être nécessaire pour arriver à la maturité démocratique.
Peut-être...

kameleon78
| 13-01-2016 14:42
Slim Riahi deviendrait alors le président des deux partis fusionnés? Pauvre Tunisie, pauvre Nidaa Tounès, pauvre BCE, ils sont vraiment tombés bien bas. Car une fusion est soumise aux conditions des deux partis fusionnés, le petit parti UPL va demander plus de ministres, plus de responsabilités. Encore un fois on peut dire bravo l'artiste à Ghannouchi qui a semé le trouble et la division parmi ses rivaux. On ne sait pas quand cette mascarade va finir. Quand on regarde bien ces deux partis fusionnés, ils ne cherchent pas l'intérêt de leurs électeurs, l'intérêt du pays, chaque député cherche son intérêt personnel, l'intérêt de son entourage et comment en tirer profit. Mais comment peut-on leur reprocher ces dérives puisque l'exemple est donné plus haut, BCE à Carthage qui cherche à introniser son fils. Quel spectacle lamentable, certains me reprochent mon pessimisme exagéré au sujet de l'avenir de la Tunisie, mais comment voulez-vous que je sois optimiste? Dans 10 ans on aura un état malade (je n'ai pas la vision de BCE), et surtout un état ingouvernable c'est pour cela que Ghannouchi a choisi le système parlementaire à la proportionnelle en 2011, c'est pour empoisonner la vie des tunisiens.

b m l
| 13-01-2016 14:28
Ce mariage entre les résidus du NIDA dont la moralité laisse à désirer et l'UPL,parti basé sur le populisme et l'argent sale ,est conforme aux valeurs(sic...)des composants de ces deux formations dénuées de toute moralité.MERCI BEJI pour votre traitrise et VOTRE nepotisme indecent,arrêtez de vous réclamer de BOURGUIBA car vous nous faites vomir.L'histoire ne retiendra que votre lâcheté et vos mensonges.