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Les créances de la STEG auprès de sa clientèle, en hausse de 452%
28/06/2016 | 18:20
1 min
Les créances de la STEG auprès de sa clientèle, en hausse de 452%

 

Le chef du gouvernement, Habib Essid, a présidé ce mardi 28 juin 2016 un conseil ministériel restreint  au palais de la Kasbah ayant pour ordre du jour les besoins de la Société tunisienne d'Electricité et de Gaz (STEG) et à la préparation de la période de pointe de la consommation en 2017.

 

Le conseil ministériel a passé en revue les besoins de la société. On apprend que les créances de la STEG auprès de ses clients privés et publics ont augmenté de 452%, passant de 172 millions de dinars, en 2010 à 949 MD en avril 2016.

Le chef du gouvernement a, par ailleurs,  recommandé l'adoption de nouveaux mécanismes moins complexes pour ce qui concerne le recouvrement des dettes des administrations publiques. Il a également recommandé la recherche de nouvelles solutions pratiques pour ce qui concerne les débiteurs privés par l'instauration d'un régime de paiement échelonné.

 

Le conseil a évoqué le projet de nouveau décret relatif à la fixation des conditions et mesures pour la réalisation des projets de production et de vente de l’électricité produite par les énergies renouvelables en vue d'impulser la capacité d’emploi dans ce secteur prometteur.

 

Habib Essid a par ailleurs insisté sur l'importance de s’inspirer des expériences des pays développés dans le domaine des énergies renouvelables particulièrement dans les domaines des ressources humaines et naturelles pour attirer les investisseurs. Enfin il a précisé qu'un prochain conseil ministériel ayant le même ordre du jour se réunira la semaine prochaine pour donner suite à ce sujet.

 

K.H

28/06/2016 | 18:20
1 min
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Commentaires (5)

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Solar
| 29-06-2016 09:23
Pourquoi les opérateurs téléphoniques n'ont pas ce genre de problème? c'est parce qu'ils ont le pré-payé chose qu'il faut instaurer en urgence chez la STEG, comme le font certain pays avec succés

electron
| 29-06-2016 08:46
L'article oublie de mentionner le nom et la classification de ceux qui ne payent pas ! En premier lieu et à plus de 50% ce sont les administrations de l'état ministères, ports et aéroports et de nombreuses sociétés de transport ,ensuite les société semi étatiques enfin quelques citoyens démunies et certains de mauvaise foi et nombre de personnes connectés illégalement .

3ABROUD
| 28-06-2016 20:00
Avec la STEG, nous avions eu l'habitude de recevoir une facture trimestrielle sur relevé, à l'instar de la SONEDE, de l'ONAS et taxes diverses. Ainsi, les tranches, même à prix croissant, ne rendaient pas la facture pimentée. Cependant, depuis l'instauration de la facture-STEG intermédiaire précédant la facture sur relevé (4 à 5 mois), sous prétexte de nous persuader d'alléger les montants en payant en deux fois, les tranches grimpent de façon vertigineuse grevant le budget de la famille. De plus, le client est taxé de deux dinars s'il ne paye pas la facture intermédiaire qui arrive rarement à destination. Mais en fait, il s'agit d'une pratique illicite, aux dépens d'un revenu familial souvent modeste. Comme le trimestre est l'"unité" conventionnelle admise dans le monde (économie, transport, administration, enseignement, sociétés,'), nous souhaitons que la STEG y revienne, pour nous envoyer, tous les trois mois et sans retard, une facture sur relevé.

hadou
| 28-06-2016 19:47
qui a tué chokri bel3id et brahmi??..ennahtha qui a vidé les caisses de l'état et personne ne la juge!!!...l'état tunisien:est ce qu'il combat le terrorisme,ou bien il en fait partie??? ne prenez pas le tunisien pour un con,car la tunisie n'avancera jamais sans avoir les reponses sur ces questions....

CHIBOUB
| 28-06-2016 19:41
Et les Tunisiens auront des factures raisonnable à payer. Cette créance n'est que la répercussion du cout de l'investissement de la centrale sur les factures du Tunisiens qu'ils ne peuvent plus honorer le règlement.
Habib Essid perd du temps alors que la solution est que l'on oblige ces voleurs de rendre l'argent de Tunisiens qui ne s'en sortent plus.