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Le remaniement ministériel aura lieu après l'aïd
24/08/2017 | 14:58
1 min
Le remaniement ministériel aura lieu après l'aïd

Le remaniement ministériel qu’on attendait au courant de cette semaine n’aura pas lieu avant l’aïd, apprend Business News.

Les raisons sont nombreuses dont notamment les tractations avec les partis, qui n’ont pas encore abouti, mais également pour une question d’ordre légal.

Le remaniement ne va pas se suffire aux simples vacants, mais va également englober d’autres départements. Or pour pouvoir procéder à ce type de nominations, il faut obligatoirement passer par l’ARP dont les membres sont actuellement en vacances parlementaires. Il faudrait donc attendre la fin du congé de l’aïd (les 1er, 2 et 3 septembre) pour que le remaniement ait lieu. En clair, ce sera la première semaine, voire la première quinzaine de septembre.

 

On note par ailleurs qu'une liste de noms de "ministrables" circule actuellement dans les réseaux sociaux et quelques médias. Une liste parvenue par mail anonyme et que certains présentent comme "exclusive". Vérifications faites, il n'y a absolument rien de vrai. Aucune liste n'a été préparée pour le moment pour qu'elle soit envoyée à quiconque et plusieurs des noms cités ne sont pas au courant et n'ont pas été consultés par la Kasbah pour obtenir tel ou autre portefeuille. 

24/08/2017 | 14:58
1 min
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Commentaires (3)

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amilcar
| 25-08-2017 09:59
@Leonn
Votre analyse de la situation est pertinente
mais citer Ben ali parmi les grand Hommes me
parait un peu exagéré

Léonn
| 24-08-2017 16:47
Voilà que se succèdent les "meilleurs Gvnts au Monde", sensés nous faire oublier les temps révolus où la Tunisie était non seulement en marche, mais carrément en course.
Les déconvenues économiques, et plus généralement les échecs successifs, n'ont pas dissuadé nos nouveaux politiques à se ruer sur les postes ministériels telle la vérole sur le bas-clergé.
Si j'ai un message politique à communiquer aux tunisiens, c'est celui de réaliser qu'une personne qui accepte aujourd'hui un poste de ministre est de facto incompétente. La première information que cela donne c'est que la personne qui veut être ministre ne réalise pas l'énormité de la catastrophe et ne réalise pas que le peuple est sur le point de se faire à nouveau entendre. Peut-être pour des causes plus « économiques » conjuguée à une cause plus souverainiste, cette fois-ci. Contrairement à cette cause voulue et relayée par les médias des putschistes qui ont détruit leur pays, montrant que la Tunisie comme l'un des pays les plus pauvres du monde (sic!).
Toute personne sensée refuserait de se joindre à un Gvnt, scellant davantage la mise à mort de la République Tunisienne orchestrée depuis le 14 maudit.
Si l'on pouvait accorder les circonstances atténuantes aux tous premiers imbéciles de la politique révolutionnaire, faute d'expérience et de vision, on ne peut comprendre que la horde diplômée continue à convoiter les postes, mettant de côté les appels Patriotiques incessants de votre serviteur pour la remise à zéro des compteurs de la révolution.
J'affirmerai même avec assurance que ne peuvent sauver la maudite "révolution" que les anciens acteurs politiques et non ces partis puant la soumission à certaines obédiences internationales, et par conséquent la trahison.
Le problème est un chef de Gvnt avec un projet fédérateur. Aussi fédérateur que ne doit l'être le dit chef.
Il est facile de mettre en avant ses diplômes sans rien proposer. C'est comme si vous disiez au peuple donnez-moi un chèque en blanc pour mon diplôme.
Mais je n'en ai rien à secouer de ton diplôme petit prétentieux. Il est inversement proportionnel à ton efficacité! La raison est bien simple: Il vous procure un savoir-faire dans un système donné. Regardez l'efficacité de certains ingénieurs lorsqu'ils sont bien guidé par le « système » (par exemple en France ou aux états unis).
Regardez la vacuité de ces mêmes gens lorsqu'ils sont en Tunisie. Cela ne vous interpelle-t-il pas? Il ne sont que le fruit de la réussite d'une certaine politique d'enseignement en Tunisie. RIEN de plus que çà!
Les projets fédérateurs ne peuvent appartenir q'aux grand Hommes: Comme l'étaient les Bourguiba, Hédi Nouira, Ben Ali et même Ahmed Ben Salah.
Avec plus ou moins de réussite; mais il y avait des projets et des essais. Qu'ont apporté nos merdolutionnaires? RIEN.
Alors qu'ils continuent leur course vers les postes et les fauteuils. Ces derniers avaient un sens du temps ou un poste de ministre avait de la prestance. Aujourd'hui il a la prestance du dinar.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Letranger
| 24-08-2017 15:11
monsieur le premier Ministre, il faut savoir classer les priorités:
1) l'Aïd et les moutons martyrs...
2) la préparation du pélerinage...

après... on verra pour ce qui est secondaire...

Sacré Tunisie ...