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Le président de la République félicite le Quartet pour l'obtention du prix Nobel de la Paix
09/10/2015 | 12:29
1 min
 Le président de la République félicite le Quartet pour l'obtention du prix Nobel de la Paix

Le président de la République, Béji Caïd Essebssi, a prononcé un mot à l’occasion de l’obtention de la Tunisie du Prix Nobel de la Paix via son Quartet composé de l’UGTT (centrale syndicale), de l’UTICA (centrale patronale), du Conseil de l’Ordre des avocats et de la Ligue tunisienne des Droits de l’Homme.

 

Béji Caïd Essebssi a d’abord tenu à rappeler qu’en ces temps difficiles, il est important d’entrevoir de l’espoir et que ce genre de bonnes nouvelles prouve que le tableau n’est pas entièrement noir. Il a précisé que ce prix est important, soulignant qu’il s’agit de la consécration du principe basé sur le consensus et adopté  depuis la rencontre qui l’a uni avec le président du parti Ennahdha, Rached Ghannouchi, en France.

 

Le président de la République a indiqué que ce jour là, Rached Ghannouchi s’était engagé à rejoindre le quartet et que les résultats ont été là. « Tout passe par le dialogue et rien ne se fait sans, peu importent les différences » a affirmé Béji Caïd Essebssi. «Je viens de m’entretenir avec le président du parti Ennahdha et je rencontre le secrétaire général de Nidaa Tounes, Mohsen Marzouk, par la suite pour rappeler l’importance du dialogue » a-t-il ajouté.

 

Béji Caïd Essebssi a, par ailleurs, tenu à exprimer l’importance de l’union nationale face aux défis que rencontre la Tunisie et notamment au terrorisme qui menace le pays. « Ce prix est mérité et je l’ai d’ailleurs appuyé, je félicité les membres du quartet et tous les partis qui ont participé au dialogue ainsi que le peuple tunisien » a-t-il conclu.

 

M.B.Z

 

09/10/2015 | 12:29
1 min
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Commentaires (4)

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R.T.
| 10-10-2015 10:37
Rabi yaatik aala gad galbek.Hani kallamtek bellahja mtaa al aghlabia eli elyoum yohkmo fi Tounes. Kol wakt yelzem netmachaou maah.Aad echbih elyoum aandi ou ghoudwa aandek. La vie est faite comme ça.

boubaker sadok
| 09-10-2015 14:32
Vive le leader Habib Bourguiba,le Rais Nasser , Al Sissi et la La victoire de Bashar avec Poutine

Bourguibiste nationaliste
| 09-10-2015 13:20
Vous avez raison, M. le Président, de féliciter les islamistes qui vous soutiennent et ont dit du "bien" de vous. Vous aurez certainement le prochain Prix Nobel.
Mes hommages, M. le Président.

JOHN WAYNE
| 09-10-2015 12:36
Presque cinq années auront passé depuis le jour où j'ai débuté mon militantisme nationaliste et ma contre-révolution intellectuelle sur Business News.
J'ai utilisé contre vous, peuple de traitres, les mêmes techniques que Bourguiba et ses nationalistes ont utilisé contre la France du General De Gaulle, de Pierre Mendes France, d'Edgar Faure, et d'Alain Savary : une guerre intellectuelle sans relâche, riche en culture générale, et infinie en intelligence.
Sauf que dans cette nouvelle guerre d'indépendance, j'ai confronté non pas des aristocrates Français diplômés de l'ENA, mais des gueux ayant des diplômes aussi valables que ce prix Nobel de la paix attribué à une poignée d'agents de l'émir du Qatar et de Moza.
Et donc, mon combat a été aisé.
Plus que jamais aujourd'hui, je sens la victoire du nationalisme Arabe proche, palpable même.
Même les prix Nobel de la paix les plus sionistes et les plus bananiers n'empêcheront guère votre révolution coloniale de vous mener à l'abime.
D'ailleurs, si les sionistes de ce bas monde sont réduits à attribuer des prix en toc a une poignée de va nu pieds dont la raison sociale est de laper a grand coups de langues le derrière fripé et velu de l'émir du Qatar, c'est que quelque part le désespoir s'installe face à l'offensive Russo-Syrienne au Moyen Orient.
Face à ce revers de l'histoire, les medias sionistes d'Europe pleurent comme des madeleines.
Oui peuple de gueux aux culottes légèrement souillées, comme je l'ai écrit et prédit, l'armée Syrienne est en voie de devenir une des armées les plus puissantes au monde.
Les guerres sont les accélérateurs de l'histoire disait Lénine.
Et dans les révolutions du printemps Arabes, la bataille de Syrie accélérera une montée prodigieuse du Nationalisme Arabe qui laissera les plus grands historiens perplexes.
La présence Russe en Syrie a fait que l'armée Arabe Syrienne a avancé d'un siècle du point de vue technologique.
Non pas seulement parce que le navire de guerre Russe Moskva qui mouille au large de Latakieh est équipé de 80 missiles sol-air S-300 qui peuvent frapper les F-16 Israéliens dès leur décollage de la base aérienne de Ein Shemer, mais parce que l'armée Syrienne dispose maintenant d'un logiciel de guerre Russe qui lui permettra de battre Tsahal et ses ses blindés en cas de nouvelle guerre terrestre.
Les MT-LB fournis à Bashar par l'armée Russe sont équipés d'un logiciel nommé Borisoglebsk 2.
Ce système ayant une portée de 100 kilomètres permettra à l'armée Syrienne de brouiller toutes les transmissions satellites ou autres utilisant le système GPS ou le système radio. Ce qui veut dire que ce système neutralisera en plein air tous les systèmes dont disposent les aéronefs de l'armée de l'air Israélienne qui ne pourront ni communiquer avec leur bases terrestres, ni guider leurs missiles vers leur cible.
Il s'agit d'une des plus grandes nouvelles du printemps Arabe puisque ce système dépasse en sophistication ceux du Pentagone.
La victoire de Bashar est aujourd'hui irrévocable.
La Syrie gagnera militairement une bataille aussi longue et pénible que celle de Stalingrad qui fera de vos prix Nobel de la Paix des symboles sionistes aussi utiles que les rouleaux de papier des toilettes de l'aéroport de Tunis Carthage.
A la Syrie les victoires militaires historiques, et aux Tunisiens le papier hygiénique.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.