Le Ministre de la Santé, Saïd Aïdi a inauguré, hier vendredi 24 Avril 2015, la Polyclinique Les Jasmins, établissement pluridisciplinaire, sis au Centre Urbain Nord de Tunis. La cérémonie a eu lieu en présence de Mme Selma Elloumi Rekik, Ministre du Tourisme et de l’Artisanat.
La Polyclinique Les Jasmins dispose de 11 salles d’opérations toutes munies d’équipements techniques de pointe et répondant aux normes internationales d’hygiène, de stérilisation et de traitement de l’air qui créent un environnement idéal, tant pour les praticiens et le personnel de soins que pour les patients. Grâce à ses salles d’opérations, la polyclinique peut assurer tout type d’interventions chirurgicales.
La Polyclinique dispose du plus grand centre d’Aide Médicale à la Procréation (AMP) en Tunisie faisant d’elle une référence en la matière tant à l’échelle nationale qu’internationale. Polyclinique Les Jasmins comprend aussi la première unité d’exploration du sommeil en Tunisie, des unités de réanimation pédiatrique, néonatale et adulte, un centre de radiologie et un service des urgences fonctionnel 24h/24h 7j/7j.
Le Ministre de la Santé a déclaré, lors de son allocution, le rôle important du secteur tunisien de la santé en tant que source de dynamisme économique. Il a également affirmé la présence remarquable de la Tunisie sur le marché international comme exportateur de services de santé. D’autre part, Saïd Aïdi a déclaré que l’inauguration de Polyclinique les jasmins vient renforcer la complémetarité entre le secteur public et privé de santé.
Avec ses 20 miles mètres carrés et ses 7 étages, Polyclinique Les Jasmins contribue à répondre aux besoins croissants en soins médicaux aussi bien pour les patients Tunisiens, Maghrébins, Européens ou encore ceux de l’Afrique Sub-Saharienne.
« Cette polyclinique constitue un pôle important pour le tourisme médical et y offre des opportunités intéressantes pour l’exportation des services médicaux Tunisiens. Avec une capacité d’accueil importante et une technologie de pointe, elle peut garantir aux patients étrangers les meilleurs soins médicaux et contribuer ainsi à dynamiser le tourisme tunisien» a affirmé Mme Selma Elloumi Rekik.
Afin de fournir la meilleure qualité de soin, Polyclinique Les Jasmins compte solidement sur la complémentarité de ses 450 cadres et employés et sur plusieurs centaines de médecins spécialistes, généralistes ou médecins de famille. Ces hautes compétences médicales, paramédicales et logistiques et la diversification de ses spécialités forment des atouts de taille qui permettent à Polyclinique Les Jasmins d’assurer une prise en charge multidisciplinaire et performante dans un cadre professionnel, agréable et convivial.
« Notre personnel médical, paramédical et administratif forme une famille soudée qui évolue dans un cadre professionnel convivial assurant l’atteinte de nos objectifs de garantir les meilleurs services médicaux à nos patients, tunisiens et étrangers» a déclaré dans ce cadre Docteur Ouafi Marrakchi, président du conseil d’administration.
JE JURE de garder intacte la science qui m'a été transmise, et de la perfectionner autant que me le permettront mon temps et mes forces.
JE JURE de toujours avoir le courage de douter de moi-même et de ne jamais prendre, pour mes patients, le risque d'une erreur qui pourrait mettre leur santé en péril ; je ferai en sorte d'obtenir, par tous les moyens possibles, la confirmation d'un diagnostic dont je ne serais pas absolument sûr.
JE JURE de ne jamais divulguer, hors le cas où la loi m'en fera un devoir, les secrets dont j'aurais pu avoir connaissance dans l'exercice de ma profession.
JE JURE de toujours me souvenir qu'un patient n'est pas seulement un cas pathologique, mais aussi un être humain qui souffre. À celui qui entrera chez moi pour chercher simplement un réconfort, ce réconfort ne sera jamais refusé.
Je n'oublierai pas que la prévention est la meilleure des médecines ; et si je n'y participe pas moi-même, JE JURE de ne jamais considérer l'action préventive avec négligence ou hostilité.
Je prends acte de ce que la Médecine devient de plus en plus sociale à la fois parce qu'elle a pour destinataire la collectivité humaine tout entière et parce qu'elle peut désormais être exercée sous des formes non individuelles. Si je ne pratique pas moi-même ces formes sociales et collectives de l'exercice de mon Art, JE JURE de ne pas entrer en lutte contre ceux qui les auront choisies. Qu'à la fin de ma vie, je puisse me dire que je n'ai jamais enfreint ce serment. »cordialement.(Manai)
Qui peut se permettre de telles cliniques ?
Ces ministres sont indécents.
Ils inaugurent de cliniques privées qui parasitent le système de santé Tunisien car elles sont gérées par des hommes d'affaire véreux et des médecins spécialisés dans l'arnaque des Libyens et des Algériens.
Les pauvres quant à eux sont dirigés vers des hôpitaux publics ou les malades côtoient rats et souris, le tout dans un décor d'ordures et de bouches d'égouts à ciel ouvert.
La Tunisie est destinée à devenir un pays sans queue ni tête ou la misère sera blanchie par un vernis d'Islam importé du Golfe.
Car Islam et FMI vont de pair.
C'est dans ce genre de pays que l'on verra une explosion de la classe la plus pauvre, une natalité galopante et hors de contrôle, et des quartiers entiers ou des hommes polygames au chômage se baladeront en qamis et bâton à la main afin de redresser les cotes a leurs 4 ou 5 épouses et à leur 15 rejetons.
Islamisme et capitalisme sont deux ingrédients explosifs qui font que les pays plongent dans le fanatisme et dans la pauvreté mais sans jamais de révolution car les peuples sont amadoués et anesthésiés par cette drogue qu'est l'Islam.
L'avenir du monde Arabe et surtout de la Tunisie réside dans le Nationalisme Arabe qui imposera un socialisme humain et laïc impitoyable.
Le jour où je serai au Palais de Carthage, je nationaliserai toutes les grandes et moyennes entreprises y compris toutes les cliniques privées qui deviendront des hôpitaux publics.
Les soins et les médicaments seront gratuits et cette drogue qu'est l'islam deviendra contrôlée autant que celle que consomment les jeunes dégénérés dont les cybercollabos qui ont détruit leur pays.
La jeunesse sera soumise à un service militaire long et pénible qui fera des mauvaises graines qui sévissent devant les tribunaux en demandant la légalisation de la drogue, des êtres plus respectables.
Soyez prêts peuple de gueux, ne sont pas loin les jours ou les BOP de JOHN WAYNE patrouilleront les rues de la capitale de nuit comme de jour afin d'imposer ordre et sécurité a coups de matraques.
Et lorsque vous débuterai une deuxième révolution pour chasser JOHN WAYNE du palais de Carthage et que vous me traiterai de «Yogourt périmé », ma réponse sera les matraques des BIG et les balles des STEYR.
Mon rêve ultime est de devenir Président et de subir une révolution du Jasmin.
Je ne serai pas aussi clément que Ben Ali et comparé à ma répression, Bourguiba apparaitra comme un enfant de c'ur peuple de sales traitres !
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
a quand la carte vitale c est à dire le droit humain à la santé pour tous
Tous ces médecins qui ont fait le serment de cresus
ouvrez le secteur de la medecine ,nous aurons des medecins étrangers plus humains;et qui ne nous plumeront pas;je me souviens de certains medecins tunisiens et juifs qui consacraient une journée par semaine à soigner gratuitement les pauvres ayem zamen
L'inauguration est provocatrice
La médecine bourgeoise est criminelle
Un nouveau 14 janvier se prépare.
Je le sent arriver
Tout est à deux vitesses; l'enseignement; la santé, le sport la culture l'écart s'élargi de plus en plus sous le regard de ceux qui sont appelés pour le réduire.
Je suis anti nahdha mais j'avais approuvé le projet de loi élaboré par le ministre de la troïka obligeant les médecins de la capitale de travailler dans les régions.
