Donc les a locaux loués (anarchiquement) "par leurs proches ou par leurs amis " dans les dites cités populaires sont les meilleurs refuges, mais difficilement repérables.
Tunis c'est la ville de toutes les misères et de tous les malheurs.
Et ce, tant que :
- L'exode rural n'est résolu, et que le rapatriement n'a pas eu lieu.
- La centralisation de Tunis n'a pas été résolue, et (pareillement) le rapatriement n'a pas eu lieu. Et ceci est possible (comme dit auparavant sur ce site) mais avec des sacrifices financières (inévitablement) de l'?tat ; sans gâteries.
Sinon, le pays ne peut fonctionner qu'à l'aide de contre-bons.
Au fait pour quand la pompe à essence à multiprix ?
Et puis, il faut que le banditisme du syndicat des taxistes finisse ; et que le transport en commun (bus) soit ressuscité.