alexametrics
jeudi 25 avril 2024
Heure de Tunis : 20:59
Dernières news
Le ministère de la santé aux syndicats de la santé publique : il faut privilégier l'intérêt public
25/05/2015 | 18:05
1 min
Le ministère de la santé aux syndicats de la santé publique : il faut privilégier l'intérêt public


Le ministère de la santé a exprimé son fort étonnement suite à la décision des agents de la santé publique d’entrer en grève à partir du lundi 25 mai 2015, selon un communiqué daté du même jour et publié par la TAP.


A ce propos le ministère a exprimé son inquiétude quant aux lourdes conséquences d’une telle initiative sur les ressources propres des hôpitaux publics. Les pertes engendrées suite à ce premier jour de grève sont, toujours selon le ministère, considérables.


C’est dans ce contexte que le ministère appelle la partie syndicale à privilégier l’intérêt public et à épargner aux institutions de la santé publique des déficits qui vont fortement altérer leur équilibre financier. Ces pertes pourraient en effet entraver leurs affaires courantes telles que les dépenses courantes mais aussi le règlement des salaires, l’approvisionnement en médicaments et en matériel médical nécessaire.

Rappelons que tous les patients bénéficieront de la gratuité des consultations et des soins, tout le long de la semaine à venir suite à la grève administrative des agents de la santé.


M.B.Z

25/05/2015 | 18:05
1 min
Suivez-nous
Commentaires (9) Commenter
IL FAUT FINIR AVEC LA GESTION ARBITRAIRE
AMOROS
| 26-05-2015 10:17
Apres une vingtaine d années de connivence avec le régime totalitaire de ZABA moyennant bien sur des privilèges a l organisation et a ses dirigeants, les syndicalistes de l UGTT ont opte pour une nouvelle stratégie leur permettant de garder ces privilèges et de s octroyer de nouveaux butins en apparaissant avec un statut trompeur pour camoufler leurs démêlées avec la dictature. La majorité de ces responsables a la culture Rcdiste ou rouge (stalinistes et maoïstes) usent de l arme de la grève pour déstabiliser l économie dans une première étape puis affaiblir l état et préparer le naufrage des institutions situation qui leur permettra de marquer de nouveau une présence remarquable et rebondir sur la scène comme étant les sauveurs a l instar de ce qui a été fait en 2013 (le himar el watani). La patrie est en danger, le gouvernement issu démocratiquement des urnes doit prendre toutes les mesures constitutionnelles pour asseoir l autorité de l état et garantir le bon fonctionnement de toutes ses institutions et de tous les secteurs qui financent son budget et son économie. Les guignols doivent remettre les pieds sur terre et revenir a leur vraie valeur. Quelques uns commencent déjà a prendre conscience de leurs erreurs.
Au garde a vous.
AMOUSH
| 25-05-2015 22:03
Je parie qu aucun syndicaliste n'a fait son service militaire. Cela se voit a leur comportement : Aucun sens de la responsabilite, du devoir, de la herarchie, de la discipline. Maintenant ils se prennent pour les maitres des lieux pour ne pas dire du pays. Qu'attend le chef du gouvernement pour les mettre en place et les reduire a leur vrai valeur? Le temps joue contre la Tunisie.
ESSID borné est-il borné fonce droit dans la TURBULENCE!
DHEJ
| 25-05-2015 21:20
Le vent de cisaillement fracturera l'état!


Alors que le mec à la tête du ministère de la santé s'occupe plus de ses cheveux, c'est un beau gosse!
FESTIVAL DE LA GUEUSE : H.S. REMPORTE LA « WATIA D'OR » ! (1)
JOHN WAYNE
| 25-05-2015 21:12
Un jury compose de 7 membres du Ministère de l'Intérieur a décerné à l'unanimité « La Watia d'Or » a H. S. pour son 'uvre globale et surtout son article intitulé : « s'il vous plait ne tirez pas, je suis une gueuse ! »
L''uvre est d'une bassesse poignante, le Français qui y est écrit est de type petit Negre. Son auteur est brune, yeux de type merlan frit marrons, les lèvres ont été retouchées par un chirurgien alcoolique d'une clinique privée Tunisienne en faillite et dont les actions sont en valeur boursière inferieures à celles de Tunis Air.
Comme le démontrent les extraits suivants qui sont suivis de discussions académiques :

« Tunisiens vivant à l'étranger, nous vivons depuis plusieurs jours scotchés aux écrans au rythme d'un décompte macabre de nos concitoyens, soit de suicidés, soit de tués par les balles réelles de la police ou de l'armée. »
Discussion : scotchés pourquoi pas agrafés aux écrans ?

« Jeunes et diplômés, nous comprenons parfaitement le désarroi de nos congénères qui, au prix de sacrifices énormes consentis par des parents souvent nécessiteux, une fois le diplôme en poche, ne trouvent que les terrasses des cafés pour occuper leurs journées avec toute l'humiliation qui va avec, ou une embarcation hasardeuse vers un lointain souvent tragique. »
Discussion : Pourquoi avoir écouté Al Jazira qui a fait de la pilule contraceptive un pêché au lieu d'avoir écouté Bourguiba qui leur a suggéré d'arrêter de se reproduire comme des bêtes ?

« Chaque retour estival au pays est pour nous l'occasion de constater la paupérisation croissante de la classe moyenne qui fut si longtemps l'exception Tunisienne, l'émergence d'une classse de" nouveaux riches" d'une arrogance insultante et dont le compte en banque est inversement disproportionnel au cursus académique , et le fossé social qui ne cesse de s'aggrandir, laissant place à l'envie, à l'amertume, au désespoir et au désir de partir vers des lieux plus propices à la mobilité sociale. »
Discussion : Pourquoi revenir quand vous savez que les Tunisiens dignes détestent les zimmigri car ceux-ci salissent, injurient, et harcèlent les filles Tunisiennes belles et libres ? Cette remarque est par ailleurs importante car elle dénote le degré de jalousie qui existe chez les beurres vis-à-vis des Tunisiens qui vivaient en Tunisie du temps de Ben Ali. Au temps de Ben Ali, le Tunisien moyen vivait en Tunisie mieux que le Français moyen en France.









FESTIVAL DE LA GUEUSE : H.S. REMPORTE LA « WATIA D'OR » ! (2)
JOHN WAYNE
| 25-05-2015 21:11
« Nous avons du mal à conprendre que 50 ans après l'indépendance chèrement payée de notre pays ; à l'ère d'une mondialisation résumée sur une toile, des générations parmi les plus éveillées du monde Arabe, voire d'Afrique, continuent à être traitées comme des mineurs, avec des moyens d'information et de communication d'un autre âge. Le pacte était Clair: le peuple était prêt à fermer les yeux sur le manque de libertés et la censure omniprésente, en échange de conditions de vie décentes, d'accès aux joies de la consommation de masse, d'acquis sociaux inébranlables, et d'un développement économique sans précédent, qui nous donne- nous Tunisiens de la Diaspora-élément à pavoiser où que nous vivions. »
Discussion : l'indépendance a été obtenue et maintenue par des nationalistes intègres de mon espèce et non pas par des Tunisiens qui de leur banlieue de France participaient a une campagne de dénigrement de la Tunisie de Ben Ali dont les sponsors étaient des sionistes dégoutants, medias et ONG. Il n'y a jamais eu de pacte. Ben Ali a essayé la démocratie et le dialogue pour se retrouver face à des islamistes violents et misogynes soutenus par des droits de l'hommistes travaillant pour le Mossad. Je ne regrette qu'une seule chose c'est que Ben Ali n'est pas exécuté des milliers de personnes comme Bourguiba l'aurait fait.

« Seulement voilà, Les jeunes, sont conscients que le développement économique et social ne profite pas à tous. Ils demandent juste un peu d'équité dans le partage des richesses, et beaucoup d'écoute et de considération. Des villes entières de la Tunisie profonde se sentent en marge du développement , en marge des médias aussi.Ces jeunes qui ne croient plus en rien, ni à l'éducation, ni aux valeurs de solidarité sociale, ont besoin qu'on leur parle, qu'on les encadre, qu'on les comprenne, au lieu de leur tirer dessus. »
Discussion : Ils ne croient plus en rien car ils sont oisifs et vivent dans la stabilité et la sécurité et n'ont jamais connu de guerre ni d'embargo comme en Irak ou en Libye. Les jeunes en Tunisie sont de mauvaise graines qu'il faut trainer par les cheveux a l'armée. Aucune jeunesse en Europe ou ailleurs ne vendrait son pays a la CIA comme les jeunes Tunisiens l'ont fait. Il y a aussi un problème drogue qu'il faut éradiquer avec un seul moyen : la matraque du BOP.

« En matière de droits de la Femme, les taux exceptionnels de scolarisation, le nombre d'universitaires, le planning familial, les technologies de l'information (sans ironie) , l'engagement en matière d'environnement, une réelle croissance économique, la sécurité, l'infrastructure..Tous ces acquis, dont nous sommes tous si fiers, c'est aussi cela le système tunisien, qu'il les ait initiés ou protégés. »
Discussion : nous avons bâti tout cela et vous l'avez détruit car même en vivant en France vous êtes demeurés sous-développés et nuisibles a la société et à l'environnement.


« J'écris ce texte la peur au ventre, peur d'être mal comprise, peur que ma famille au pays ne soit harcelée; peur des représailles, peur de ne plus pouvoir rentrer chez moi. Alors que rien dans cette letttre n'est un acte d'hostilité, bien au contraire, c'est un acte d'amour envers cette Grande Nation, NOTRE nation; sans Haine, sans violence, avec beaucoup de respect,de Rationalisme, comme rêvent de le faire des milliers de jeunes. Alors pourquoi aurais-je peur ?
Discussion : mal au ventre ? Avez-vous aussi la diarrhée ?
Personne ne vous veut de mal. Avec un texte écrit de ce style, vous êtes à plaindre. Ne pas rentrer serait une bonne idée, un salafiste Tunisien fraichement rentré de Syrie pourrait mal tolérer vos lèvres pulpeuses et attenter à vos jours. Mieux vaut rester dans votre banlieue.

« Sil vous plait, ne tirez pas »
Discussion : Je vous promets que lorsque j'aurais pris le pouvoir et que vous débuterez une autre révolution, je vais non seulement tirer mais utiliser les blindes légers Fiat de la Garde Nationale et leur mitrailleuses lourdes. Je supporte difficilement que l'on vende mon pays aux sionistes au Qatar.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.





Essid ou complice ou dépassé
jilani
| 25-05-2015 18:53
Il a dit dans son dernier interview qu'il est autoritaire et décisif. Où est ton autorité face à ces traîtres manipulés par le CPR et Ennahdha dont le but est de mettre le pays à genoux et de la vendre à Qatar et Turquie. Avec ce comportement tu deviens complice et traître comme eux. Jamais ils ne te laisseront tranquille pour travailler. *** . La démocratie est la force de l'Etat.
Pour ceux qui ne le savent pas !
Abou Walid
| 25-05-2015 18:42
Pour ceux qui ne le savent pas ou feignent de ne pas le savoir, les recettes annuelles d'un établissement étatique, en l'occurrence un hôpital, proviennent des ressources propres de l'établissement auxquelles s'ajoutent la subvention de l'Etat, fixée d'avance par le "Budget national annuel", si bien que l'établissement pourrait se trouver en état de cessation de paiement s'il n'arrive pas à réaliser ses prévisions.Il est bien beau de faire bénéficier le public de la gratuité des soins mais attendez-vous, messieurs les grévistes, à voir vos salaires bloqués.
Appliquez la loi
Tounsi
| 25-05-2015 18:28
Dans la majorité des pays, les jours de grèves ne sont pas payés. Payer des grévistes c'est les animer a faire plus de grèves. L'équation dans les pays développés c'est la grève comme dernière arme de la négociation pour causer des pertes à l'employer et l'arme de ce dernier est de ne pas payer les jours de grèves. En Tunisie, l'état est tellement riche qu'il paye des grévistes.
Vendus !
A4
| 25-05-2015 18:14
Bof... ça ne sert à rien. Ce sont des vendus et des traîtres !!!
Il faut les mettre au chômage !