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Le ministère de la Femme lance un plan national de protection de l'enfance contre l'impact du terrorisme
25/11/2015 | 12:58
1 min
Le ministère de la Femme lance un plan national de protection de l'enfance contre l'impact du terrorisme

Le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, a tenu hier, 24 novembre 2015, à son siège à Tunis, une séance de travail consacrée à l’étude d’un plan national visant à accompagner les enfants et à les prémunir contre les impacts du terrorisme.

 

Cette réunion s’est tenue en la présence de nombreux ministres concernés. Nizar Kharbech, chef de Cabinet au ministère, a souligné dans un communiqué publié aujourd’hui, l’importance et l’urgence de prendre les mesures qui s’imposent pour accompagner les enfants vivant dans les zones frontalières et montagneuses et pour protéger tous les enfants de l’impact psychologique que causent les menaces terroristes.

 

Le directeur de l’inspection pédagogique et du développement des compétences, Hédi Riahi, a indiqué, pour sa part, qu’il est nécessaire de dresser une carte des zones prioritaires et notamment les gouvernorats du Kef, de Jendouba, de Kasserine, Sidi Bouzid, Gafsa, Médenine, Tataouine et Kébili.

 

Les représentants des différents ministères ont insisté sur le rôle de la participation des composantes de la société civile à ce projet, qui nécessite une approche globale pour traiter le fléau du terrorisme.

 

Les participants ont aussi précisé que ce programme doit s’articuler autour du dialogue avec les enfants sur la menace terroriste et leur fournir ainsi les moyens de se prémunir contre cette menace.

 

A l’issue de cette réunion, un accord sur la marche à suivre pour chaque ministère a été établi. Ainsi, chaque ministère doit, notamment, fournir les indices et les données spécifiques aux régions frontalières pour commencer à lancer le plan, fixer les différentes interventions éducatives pour les enfants et les familles et choisir des activités de sensibilisation adaptées à chaque région et réhabiliter les projets inachevés et surtout ceux éducatifs, destinés aux enfants dans certaines régions.

 

25/11/2015 | 12:58
1 min
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Commentaires (6)

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68ard
| 29-11-2015 10:03
je suis d'accord avec "Ridha_E et Gardien" sur l'ensemble de leurs idées toute fois je trouve que l'Education nationale ne fait pas assez elle devrait encadrer sensibiliser former plus par des séminaires les instituteurs et les professeurs . par ailleurs est ce que le ministère a-t-il créée une procédure expliquée par une cellule formée par des médecins psy après les événements tragiques (avec le ministère de l'enfance et de la femme) pour expliquer et atténuer le choc reçu par les enfants au niveau de chaque gouvernorat

Ridha_E
| 25-11-2015 17:09
Le plus urgent, si on veut protéger nos enfants et couper l'herbe sous les pieds des Khwajias, c'est de combattre leur idéologie et de combattre les salafistes et autres extrémismes religieux par la fermeture des écoles coraniques non autorisées que Ghannouchi a contribué à implanter partout, sans contrôle de ceux qui y injectent leur poison. Il faudrait aussi contrôler de plus près la qualité des enseignements dispensés dans les écoles publiques voire privées.
Certes, il va y avoir des réactions pour prétendre qu'on s'attaque à l'islam, que ces écoles sont nécessaires pour remédier à la désertification religieuse ou morale et on sait d'où ça va venir.
On sait aussi que quelques illuminés vont vous parler de la liberté du culte et patati et patata.
A ceux-là je dis que la sauvegarde et la protection du pays est la chose la plus sacrée pour le moment. Rien d'autre n'est prioritaire. C'est pourquoi je propose, même si ça paraît simpliste, ce qui suit :
1- Dissoudre immédiatement toute association ou parti politique dont on ignore le financement, surtout ceux qui ne reconnaissent ni la République ni la démocratie, mais qui financent ces "pseudo-écoles" dites coraniques.
2-Empêcher les porteurs d'idées wahhabites de nous pourrir avec leur takfirs et autres fadaises. La Tunisie est un pays dont la population est à plus de 95% musulmane et a envie de vivre sa religion comme elle l'a toujours vécue.
3-Comme l'État assure déjà des cours de religion dans les établissements scolaires, ce qui est plus saint et plus facile à contrôler, nous n'avons pas besoin de prédicateurs, simples RÉCITANTS, qui ne connaissent rien et se prétendent savants : je me demande en quoi ?
4-S'il y a un désert humain par la faute de vos terroristes qui nous tuent à tout va, à qui allez-vous injecter vos poisons qui n'ont de religieux que le nom ?
Au final, ce qui est plus urgent maintenant, c'est d'éviter que notre pays ne devienne un terrain de jeux pour ces terroristes comme c'est le cas dans certains pays. Les protestations attendues des Khwanjias et de leurs amis dispersés dans pas mal d'autres partis, ils n'ont qu'à les mettre où chacun de nous pense.

PS : une petite anecdote que j'ai vécue lors de mon dernier voyage en Tunisie, fin octobre et qui illustre bien la gravité de la situation. Elle va vous démonter à quel point nos enfants sont en danger même dans nos écoles et lycées publics infestés par des islamistes.

Voilà l'histoire : ne pouvant utiliser ma main droite, opérée juste avant mon voyage, pour saluer un ami, professeur SVT ou de sciences naturelles (je ne sais pas l'intitulé exacte), je lui avais tendu la main gauche. J'avais ajouté que, à défaut de pouvoir utiliser ma main droite, je vais utiliser celle qui est proche du coeur.
Sa réponse ne s'est pas fait attendre : comment peux-tu prétendre que la main gauche est plus proche du coeur et qu'est-ce qui te permet de dire que le coeur est à gauche ? J'avais compris où il voulait en venir : l'importance de la main droite dans la pratique religieuse.
J'étais déstabilisé par cette réponse, venant d'un professeur de sciences, et me suis dit que, par la faute de tels enseignants, l'enseignement n'a pas fini de descendre bien bas et que nos enfants sont réellement en danger.

MDO
| 25-11-2015 15:33
Un des éléments souvent ignoré par les analystes et qui concours à la banalision de la violence et même les crimes qui peut à son tour mener des jeunes à être prédisposés à commettre des actes terroristes une fois recrutés par les malfaiteurs, c'est les scènes de violence par les quelles sont bourrées nos chaines TV. En effet, ces scènes de violences dans les TV n'épargnent pas les émissions destinées aux enfants, en plus, on remarque que la plupart des chaines choisissent les scènes es plus violentes pour faire la publicité plusieurs fois chaque jour d'un film ou un feuilleton. Une chaine tunisienne avait une fois inscrit sur l'écran " une émission familiale " alors que la première scène commence par une grande explosion.

l'illuminée
| 25-11-2015 15:19
d'instinct de femme je vous invite a suivre le phenomene de suicides des ados d'un autre ongle
la vie rurale et ses difficultes n' a jamais ete insupportable pour les originaires des zones rurale comme on essaye de le propager
la vie rural a ses specificite et n'est pas pauvreté
donc ces ados ne se sont pas suicide a cause de la pauvreté
a mon avis ils sont sous l'emprise d'une operation de lavage de cerveau et de manipulation pour des fins terroriste et de radicalisation qu'ils n'ont certainement pas supporte et qui o,nt degenere a ces suicides

Gardien
| 25-11-2015 15:04
Pour garder les enfants de l'influence de ces terroristes il faut beaucoup de choses :
1.des enseignantes bien instruit et haut motivés
2. Des bâtiments de l'école où il fait joie à apprendre
3. Des matériels à la hauteur de temps
présent
4. L'allocation des familles pauvres
et pas l'augmentation des salaires des élués

5.èloigner enfin les prédicateur de la haine pour toujours des mosquées et juger toute personne qui ne veut pas l'accepter
6.Diminuer enfin l'influence de Ghannouchi et son Ennahda au politique
et ne laisser plus les garder les extrémistes
7.Faire enfin une campagne d'explication par la presse etc. sur les vrais valeurs de la réligion .
8. Faire une instruction religieuse dans l'écoles et pas aux écoles de corans
9.Séparer l'éducation de l'influence des mosquées
10. Comprendre que l'état est pour tout les habitants et ne seulemans pour les Moslems,et qu'on a besoin de la tolérance et de l'humanité - que l'islam doit enfin arriver dans le présent.
11. Le plus important pour un état qui veut avancer c'est l'instruction pour tout le monde
12. Laisser faire la presse son travail - pour ca elle a besoin de la liberte , mais un Codex d'honneur
13 Délivrer l'état de l'influence et dépendance économique des Wahabites, ca veut dire des´pays:Quatar,l'Arabie saoudite,l'Emirats arabes unis,et la Turquie et chaque groupe radicale et extrémiste.

Sans prendre ses mesures l'état ,l'économie et la société tunisiens ne peuvent pas avancer et vivre en paix !!!!

kameleon78
| 25-11-2015 14:18
Il faudrait prendre le mal à la racine à savoir l'idéologie islamiste qui commence dès la petite enfance comme les écoles coraniques chères à Ghannouchi. Le plus important c'est de combattre l'idéologie islamiste, salafiste et autres extrémismes religieux. Prévenir vaut mieux que guérir dit le proverbe, quand on voit certaines associations qui financent ces "madrassa" et qui ont pignon sur rue avec un état impuissant, faible et laxiste, on se dit que les mesures de prévention sont plus efficaces qu'agir après coup.