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Chroniques
Le militaire-tueur et les connards de journalistes
Par Inès Oueslati
26/05/2015 | 15:59
5 min
Le militaire-tueur et les connards de journalistes

 

8 morts en plein Bardo. Une dizaine de blessés. Plusieurs versions des faits. C’est le topo de la journée d’hier 25 mai 2015. Un topo tragique qui a touché l’armée nationale, les faits s’étant déroulés dans la caserne de Bouchoucha. L’impact de la tuerie a, toutefois, été minimisé par la communication des étapes ; celle qui fait accepter le pire en annonçant à petites doses le mauvais. Acte désespéré d’un militaire en détresse ou acte prémédité d’un militaire devenu potentiel terroriste, la question reste posée, mais personne ne semble plus attendre la réponse.


Lorsque l’information faisant état de « grabuge » au Bardo est tombée, le lundi 25 mai aux alentours de 9 heures du matin, c’est vers la piste terroriste que la lecture des faits s’orientait. Cela n’était pas le résultat de simples spéculations, ni de stratégie cherchant à appâter le lectorat, ni de précipitation à la quête du buzz. Les médias seront aussitôt lynchés virtuellement et virulemment par les internautes, on ira jusqu’à les traiter de « connards », dès que la version officielle du ministère de la Défense a été rendue publique.


Il ne s’agit pas d’un acte terroriste, mais d’un caporal qui a ouvert le feu sur ses collègues pendant le salut du drapeau. On parlera alors de blessés uniquement, on évoquera ensuite trois morts, puis 5 puis 7. On saura que le militaire en question fait l’objet d’une interdiction de port d’armes et on apprendra qu’il a arraché celle de son collègue puis on apprendra qu’il l’a poignardé pour avoir l’arme du crime.


Malgré l’horreur de l’acte d’hier, malgré le nombre important de victimes qu’on ne saura désigner comme des martyrs ou des tués, malgré la nature de la tuerie et le flou qui s’y rattache on croira, en majorité, et sans suspicion aucune, la version officielle de la Grande Muette. La tragédie de Bouchoucha nous aura démontré que la communication officielle a fait de grand pas. Il fut un temps où les versions officielles étaient systématiquement mises en doute, où la théorie du complot était florissante et servait de substitut à des arguments qui ne convainquaient pas la majorité. Hier le contraire a été constaté : c’est contre les médias qu’on se retournera pour dénoncer la non-adéquation de la version des faits donnée par certains d’entre eux avec celle officielle.


Que la zone ait été fouillée, que l’école mitoyenne ait été vidée, que la mosquée adjacente ait été contrôlée, alors que les faits se seraient déroulés à l’intérieur même de la caserne et que l’élément perturbateur a été abattu, rien de tout cela ne rendra perplexe ceux qui se sont empressés d’attaquer les médias. Rien ne fera naître chez eux de marge de doute, alors que le ministère de la Défense, lui-même, a annoncé que la piste terroriste n’était ni confirmée ni infirmée.
Pour ne pas se focaliser comme le font certains sur des champs connexes et maintenir l’attention en éveil sur l’essentiel : ce qui s’est passé hier est d’une extrême gravité. Des militaires de grades divers ont été abattus non pas au détour d’une montagne, dans un buisson non loin du Châambi, sur une route déserte, en pleine nuit ou par des terroristes. La tuerie a eu lieu en plein Tunis, à l’intérieur de la caserne, par un militaire. La piste terroriste n’étant pas occultée par la partie officielle elle-même, les lectures des faits de Bouchoucha en deviennent plus complexes et plus multiples.


De cela les groupes terroristes via leurs organes de communication profiteront, tout comme Yassine Ayari, l’activiste controversé, fils d’un militaire tué ne cachant pas ses relations occultes avec des militaires. La piste terroriste pour laquelle on avait dénigré certains journalistes est désormais de mise puisque l’acte a été revendiqué par un groupe extrémiste et qu’une version diffusée sur la toile décrit un acte prémédité.


C’est une lecture approfondie du profil du militaire-tueur qui permettra de définir la nature de l’acte d’hier, c’est après une analyse des éléments que la Grande Muette a, éventuellement, préféré taire que la piste terroriste sera exclue ou affirmée. La description de ses voisins et amis proches interrogés par des journalistes qui se sont dépêchés chez lui à Tebourba, fait du tueur d’hier le portrait d’un homme « normal », un bon vivant qui a, à peine, commencé à faire sa prière, il y a peu de temps. Leur voisin, cousin et ami ne pouvait donc pas être un extrémiste religieux qui serait passé à l’acte. Toutefois, pareille tuerie en pareille conjoncture, l’assassinat de 7 vaillants soldats, cela ne peut être qu’un acte terroriste, que cela ait un ancrage religieux ou pas.


L’accent se sera à peine posé sur le sujet, le temps d’une polémique autour des médias nationaux, d’une matinée de dénigrement des journalistes et d’une heure de démonstration de connaissances de la part de nouveaux experts multi-spécialisés. La politique des étapes adaptée à l’art d’informer au goutte à goutte aura permis d’assurer une communication efficace, faisant percevoir l’atrocité de l’information comme nettement moins importante que la manière dont on l’a relayée.


Au lendemain du drame, les raisons pour lesquelles on a appuyé sur la gâchette demeurent inconnues. Acte terroriste ou acte isolé, cela ne change pas grand-chose. Les forces sécuritaires du pays ne sont plus visées uniquement, elles sont visées de l’intérieur et c’est encore plus grave. Le doute d’une infiltration mettrait à mal l’image de la sécurité tunisienne en en affectant la perception du pilier principal : l’armée. Quoique la version officielle ait empêché de faire naître tout mouvement de panique, il ne s’agissait pas hier d’un simple fait divers. La minutie s’impose !
8 morts. Une dizaine de blessés. Plusieurs versions. Mardi 26 mai 2015. Lendemain du drame et l’intérêt général est déjà ailleurs. Richesses naturelles, association de défense des homosexuels, dénigrement des médias, la polémique est déjà tout autre. Sacré hasard ! A la caserne de Bouchoucha et en relation étroite avec le SNJT, on formait, ce matin même, les journalistes à « l’art de la couverture médiatique ». Tout est dit.

 

Paix aux âmes de ceux morts en servant cette nation et en saluant le drapeau.

 

Par Inès Oueslati
26/05/2015 | 15:59
5 min
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Commentaires (12) Commenter
@Léon ,aussi bien qu'à ,Abel chater ,il faut désamorcer...
j.trad
| 28-05-2015 14:47
même si les deux vous ayez raison ,il faut désamorcer un antagonisme qui peut dégénérer en haine ,et même en germe de guerre civile ,il faut regarder avec d'autres yeux ,ce qui arrive ,l'humanité entière est concernée ,depuis que les messagers de l'ISLAM ont frappé à la porte de la FRANCE et qu'ils ont été stoppés à Poitiers par CHARLES MARTEL et puis chassés par CHARLES MAGNE ,l'EUROPE est entré dans la merde du progrès ( science sans conscience ,pour que commence la ruine des âmes ,le succès scientifique avança avec pas de géants ,la morale se trouva faire marche arrière ,le besoin en matières premières chassa le loup de la jungle industrielle ,de l'autre côté de la planète des centaines de millions se sont convertis à l'ISLAM ,(en compensation de quelques centaines de milliers chassés d'Andalousie ,)ALLAH offrit aux PROTESTANTS chassés à la suite du cruel antagonisme ( catholiques contre protestants) le temporel était en querelle contre l'éternel ,c'est aussi simple que ça ,l'humanité livrée à une convulsion dramatique ,le régionalisme,le nationalisme,le tribalisme,le capitalisme le socialisme ,le colonialisme et même le féminisme ,l'homosexualité ,et tous les antagonisme ,ne sont que des manifestations d'un horrible dis-fonctionnement ,semblable à ce qui arrive à la santé humaine ,qui se résument en :carences cher les uns et overdoses cher les autres ,l'humanité ( y comprises les puissances de gauche ou de droite ) les bons musulmans doivent les prendre en charge ,SAHLI ou BALDI ,rien ne sert de vous chamailler ,vous êtes les Médecins de l'humanité : les Frères musulmans ont raison :AL ISLAM HOUWWA el hall ,je le dis et je le pense ,j'appelle à concilier l'humanité ,nous sommes RESPONSABLES (hadhihi hiyya alamana )les autres ne sont que des frères égarés ,ils veulent de nous /ils ne doivent pas se comporter en loups /pour que l'humanité reste debout/à genoux sauf devant ALLAH ( le plus athée des athées est croyant sans le savoir )sauf si la génétique arrive à prouver que certains portent un gène de mounaf9 ,ou véritablement kafir endurci ( comme abou lahab).travaillons pour la véritable paix.
Droit de réponse @Léon
Abel Chater
| 27-05-2015 17:29
Droit de réponse @Léon
Bien que je n'aie jamais eu envie de répondre dans ce forum ni à l'homme des abeilles, ni à la vieille «Azouza» Madame Butterfly, tu viens me provoquer jusqu'à m'insulter gratuitement.
Non seulement que tu ne remarques même pas l'ampleur de ton cas psychique, à la suite de la perte de tes privilèges par la chute de ton bienfaiteur le dictateur Ben Ali, mais que tu ne veuilles même pas reconnaître tes propres crimes contre le peuple tunisien, l'ayant volé et appauvri le long de vos 55 années de régime régionaliste dictatorial.
A moi, tu ne pourras jamais m'accuser de régionalisme, parce que je suis Tunisois de souche d'ascendance beylicale turque. Si nous les Tunisois «Beldias» étions d'un seul iota régionalistes, on n'aurait jamais vu la population de la capitale Tunis grimper à presque trois millions d'habitants, que nous accueillons avec fraternité, amitié et amabilité.
Par contre, aie le courage de prétendre que votre régionalisme de «Swahliyas» n'ait pas atteint le ridicule, jusqu'au monopole de plus des trois-quarts de tous les postes gouvernementaux postindépendances de la Tunisie, en passant par l'exclusivité du poste de premier ministre et des gouverneurs, jusqu'à la mainmise sur toutes les administrations étatiques de la Tunisie indépendante.
Un «Meddeb» monastirien m'a raconté personnellement qu'il doit tout à Bourguiba, pour l'avoir vite haussé d'un «Meddeb de Kottèb» à un instituteur d'école primaire, puis dans un lycée et vite de suite, en un professeur universitaire. Il m'a raconté que lorsqu'il y a un ordre signé dans le coin extérieur du dossier, personne n'a plus le droit de regarder à l'intérieur de ce dossier, même s'il était vide.
Lorsque j'étais petit enfant, j'accompagnais mon père pour aller acheter de l'huile d'olive du Sahel. Il n'y avait que de villages de bâtisses primitives en toits demi-ronds «Kâabou» et des habitants assis à demi-genoux dos au mur, blouse grise et «Chachia» réfléchissant le noir d'huile d'olives, qui guettaient les «touristes» tunisiens, qui leur achetaient leur huile. Par la suite, ils se plièrent sur eux-mêmes comme des serpents, pour virer tous les projets et tout le tourisme lucratifs, vers leur région du Sahel, ignorant le restant du pays.
Ô combien de fois ils ont eu l'idée de transférer la capitale chez eux, mais Tunis la capitale n'est pas imitable. Donc, ils ont décidé de se mettre à cheval entre le Sahel et la capitale Tunis. Des Ménézahs, des Manars et des Bazars trouvent lieu en bordure de la capitale Tunis au nom de «propriété de l'état». Un état qui ne privilège que les siens.
Maintenant, il suffit d'aller le samedi à la station de péage sur l'autoroute de Mornag, pour constater de soi-même la marée de voitures dans la direction du Sahel. Le dimanche soir, c'est au tour de l'autre direction vers Tunis la capitale.
Cela est une vérité plus que véridique et à 100% inébranlable.
Maintenant, au lieu de vous excuser auprès du peuple tunisien et d'essayer d'acquérir leur pardon, même verbalement qu'il soit, tu viens te disculper par des argumentations plus bêtes que mes chaussures. Les Américains et les Français sont devenus les ennemis des vos deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Ils sont devenus les amis des «islamistes». Les Révolutionnaire du 14 janvier 2011 sont devenus des «traîtres», parce qu'ils vous ont chassés. Vos sangsues de la nation, les dictateurs et leurs adeptes régionalistes, sont devenus des « patriotes », alors qu'ils nous firent aplatir jusqu'au piétinement de tous les peuples, photo du juif chef du gouvernement français Mandes France sur le bureau du «Nationaliste» Bourguiba. Un Nationalisme qui nous oblige de payer nos biens aux colonisateurs (Milk el-Ajanèb), jusqu'à aujourd'hui.
Le comble, c'est que tu n'as même pas honte de vouloir recommencer vos crimes régionalistes, malgré l'échappée-belle dont vous aviez jouie de par la clémence et la bonté du peuple tunisien.
Tes rêves de faire échouer la transition démocratique du peuple tunisien, pourraient se transformer en ton cauchemar, car les Tunisiens connaissent à présent tous leurs ennemis de l'intérieur comme de l'extérieur. Lancez votre boomerang et vous verrez qui aura le premier la figure cassée.
Suite à ton avidité du retour à tes crimes contre le peuple tunisien, je comprends maintenant pourquoi tous les Tunisiens crient ensemble et d'une seule langue «Sahli, embrassez-lui son père».
@Abel Chater
Léon
| 27-05-2015 13:20
Certains malades que je cite depuis le début de la merdolution, régionalistes, haineux et jaloux, n'en reviennent toujours pas qu'il y a eu une révolution.
Ils y tiennent d'autant plus, qu'ils ne partagent pas le quotidien de tunisiens.
Alors leur égo est bien plus important que la faim du peuple ou que l'intérêt de la Nation.
Ils sont à l'opposé des préceptes de l'Islam qu'ils utilisent aussi pour satisfaire leur égo. Il est clair que Dieu ne les loupera pas, s'il le veut.
Ils ont rêvé une révolution qu'ils n'étaient pas capables de faire tellement ils étaient tenu en respect tels des chiens enragés par Bourguiba puis Ben Ali, ces deux gardiens fidèles de la Tunisie. Alors ils les traitent de dictateurs pour ne pas leur avoir permis faire de la Tunisie ce qu'elle est devenue aujourd'hui.
Alors, ils l'ont rêvée et les états unis l'ont faite. Elle l'a fait pour eux, utilisant la bêtise et le régionalisme d'un peuple.
Elle a même assuré le service après vente afin de s'assurer que jamais la Tunisie ne redeviendra souveraine.
Le cauchemar des traîtres étaient aussi le cauchemar des américains: Celle de voir un état arabe souverain et maître de sa décision. Il fallait absolument virer Ben Ali coûte que coûte. L'astuce était de tendre un hameçon avec un appât appelé "Démocratie" et le peuple de con a mordu comme un seul homme. Motivé bien sûr par la haine et le régionalisme.
Ils l'ont fait pour vous, applaudis par les traîtres que vous êtes et qui se sont rendu compte quelques années plus tard de l'énormité de leur acte.
Des virages de foot comme devait si bien le prouver notre ami Chater qui se vantait de chanter lors d'une finale de foot à Radès, je cite (ses paroles publiées dans ce journal): "Sahli, embrassez lui son père", prouvant à Léon de la sorte qui il était en réalité et quelles étaient ses motivations lors de cette merdolution.
Il fournissait un exemple de plus qui appuyait les thèses de votre serviteur, à savoir que ce qui motivait la rue ignare les 12 13 et 14 janvier sont exactement le mêmes sentiments qui motivaient les virages de footeux se prenant pour des intellectuels tels notre ami Chater.
Mon grand, la victoire est proche, et les lâches qui ont vendu leur pays, se cacheront à nouveau.
Ils auront eu des vacances de 5 années que leur auront accordé tes bienfaiteurs américains et qataris. Car les lâches ne sont jamais en vacances, ils complotent 24h/24.
Alors si la vue d'une Tunisie moribonde ne te fais ni chaud ni froid car ton égo régionaliste est plus important, je te dis régales-toi bien de ta révolution et surtout, comme vous l'a si bien dit la fille Ghannouchi :"Moutou bighaydhikom".
Ehhh oui, Moutou bighaydhikom en constatant que ceux que tu appelles dictateurs ont assuré à la Tunisie le plus grand des rayonnements international et que vos semblables ont fini par arrêter, remettant, comme leurs ancêtres, les clefs de la Tunisie aux mains de leurs nouveaux colons.
Léon.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Sorry Inès, mais c'est le manque d'expérience chez nos journalistes qui doit être mis en cause
Abel Chater
| 27-05-2015 11:05
Quel journaliste tunisien a fait une étude sur les «Amoks», dont les actes criminels peuvent nous surprendre à chaque moment et de la part de chacun d'entre nous tous?
Ces tueries qui trouvent lieu subitement aux USA et partout en Europe, où un quelqu'un prend son fusil et commence à tirer sur les gens dans un supermarché, dans une école, dans un tribunal, dans un kiosque à essence, au travail ou n'importe où dans la rue. Il tire avec extase pour tuer n'importe qui, en souriant et en se sentant «dieu» sur terre, qui décide de la vie et de la mort de ses victimes. C'est une folie de la tuerie, qui nous est étrangère jusqu'à inconnue dans le monde musulman, comme le suicide lui-même.
Ces maladies trouvent lieu surtout en Occident, chez les Chrétiens et chez les juifs, qui trouvent un énorme et un gigantesque vide en rapport avec leur propre existence sur cette terre. L'illogique humaine que ne cessent de leur faire gober leurs institutions religieuses malgré leur évolution technico-technologique, de la sorte de l'intermédiaire humain ecclésiastique et rabbinique, qui garantit le paradis et le pardon contre de l'argent et un don, a transformé les Chrétiens et les juifs en des robots humains, qu'on n'arrive jamais plus à prévenir le court-circuit dans leurs cerveaux.
Et comme cet envahissement impérialo-sioniste nous atteint et fait tout pour nous faire éloigner de notre religion musulmane, nous créant un vide d'âme au sein de nos jeunes, qu'ils manipulent par toute sorte de leurs énormes moyens médiatico-culturels, nous constatons à présent, que les tabous comme le suicide et cette folie de la tuerie «Amok», nous envahissent à grande vitesse.
Donc, si nos journalistes étaient bien éduqués et d'une intelligence adéquate à leur mission, ils auraient pris leçon des journalistes occidentaux et des journalistes sionistes, qui s'unissent tous ensemble pour leurs causes, pour leurs buts, pour leur culture, pour leur musique, pour leurs films, pour leurs us et coutumes, pour leurs religions et surtout contre ceux qui sont d'un autre avis ou d'une autre foi comme nous les Arabes et les Musulmans. Une méthode bien étudiée et bien éduquée, pour qu'ils envahissent le monde entier et le transforment en leur propre Ranch du Texas. Une culture unique. Un costume unique. Un Jogging unique. Des espadrilles uniques. Un chapeau unique. Un pouce unique vers le haut ou vers le bas. Enfin, la mise en place d'une vraie doctrine idéologique communiste de par le monde entier, qu'ils dissimulent sous le nom de «démocratie capitaliste». Ils abolissent tous les us et coutumes des autres peuples afin deles dominer par les leurs. Un crime contre l'humanité trouve lieu devant les yeux de journalistes tunisiens faibles, démunis de toute doctrine journalistique, n'ayant appris qu'à écrire comme tout un instituteur à l'école primaire ou comme tout un écrivain public (Katib Oumoumi) sans la moindre éthique journalistique. Ils imitent leurs propres ennemis comme des hypnotisés. Ils n'attaquent que les leurs, que leurs propres us et coutumes, que leur propre religion, que leur propre pays, que leur propre nation, que leurs propres proches et que l'avantage de la liberté dont notre pays cherchait depuis sa colonisation en 1881.
Ils travaillent suivant le principe de «le roi est mort, vive le Roi». Toujours à la recherche d'un esclavagiste qui les guide, ne fut-ce que par son argent ou par son pouvoir.
Donc, si nos journalistes avaient le vrai élan du journalisme sans arrière-pensées, ils auraient vite compris qu'un soldat qui tue ses camarades, ne pourra qu'être un malade psychique. Et de ce fait, ils auraient épargné à la Tunisie ce dégât que tous nos ennemis le cherchent avec une énorme avidité rancunière.
Je l'ai écrit à maintes reprises même ici, que les crimes commis aux temps des deux dictateurs étaient de loin plus nombreux que ceux de l'après Révolution du 14 janvier 2011. La seule différence, c'est que les dictateurs ne permettaient pas leur diffusion, alors que maintenant, l'information entre jusqu'à l'intérieur des casernes et au fond des montagnes.
Qu'on forme donc nos journalistes comme il faut et qu'on ne se limite pas à ne juger que l'orthographe de leurs écritures, délaissant le savoir, la culture, la formation, l'expérience et surtout la bonne volonté et l'impartialité. Des repaires qu'aucun journaliste dans ce monde ne pourra s'y désister.
A tout bon entendeur, salut.
cc
marcus
| 27-05-2015 08:17
Le véritable problème est la réaction à chaud . On ne compte plus le nombre de fois où les journalistes avides de scoop se sont trompés ce qui decribilise la profession.
Rassurez-vous
Lectrice
| 27-05-2015 00:38
On y croit pas un instant a la version officielle destinee a calmer les esprits, et d ailleurs a aucune version sans au minimum une enquete prealable. El me yal3ab ta7t saqqin el touenssa wi Rabbi yostor.
Vous savez belle dame
versus
| 26-05-2015 21:23
Lorsque dans ce pays on trouve de l'âne avarié, on ne peut se confier à de l'info fraîche.
vous avez raison madame
m@j
| 26-05-2015 20:30
vous avez raison ,il faut epure notre arme la rendre fiable et sur .
Ouhiltou ki il hinna fi sak lbighal ! C'est quoi cette cabale lâche contre Mr Mamoghli ?
Aly
| 26-05-2015 19:22
Business News , ne jouez pas la victime . C'est ridicule de faire la vierge effarouchée .

Comme dans toutes les corporations , il y a des gens professionnels et il y a des connards . Ceci concerne la corporation des journalistes qui n'est pas sacrée .
C'est pas parce qu'on veut construire une démocratie que vous allez être élevez au rang de Dieu et que vous deviendrez intouchables .
Vous n'êtes pas intouchables , vous croyez tout pouvoir faire et dire , vous voulez faire peur . Vous vous trompez . Vous êtes critiquables et vous n'êtes pas intouchables .
Avec ou sans confirmation c'est toujours les islamistes les terroristes
boubaker sadok
| 26-05-2015 19:11
toujours la même rengaine du politiquement correct de refuser de condamner le coupable