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Le chiffre du jour : 153, les ministres de Ben Ali haut la main !
12/09/2017 | 10:25
1 min
Le chiffre du jour : 153, les ministres de Ben Ali haut la main !

Le vote de confiance au gouvernement Youssef Chahed II, lundi 11 septembre, s’est soldé par un bon feu vert des députés. L’écrasante majorité des ministres ont pu obtenir plus des 2/3 des votes des députés.

 

Le chiffre le plus marquant de cette nuit parlementaire reste cependant le résultat des deux ministres de la Défense et des Finances, qui ont obtenu 153 voix chacun, soit le plus grand nombre de voix parmi leurs pairs.

153 voix (70%) pour Abdelkrim Zbidi et Ridha Chalghoum, deux ministres qui occupaient des portefeuilles sous l’ancien régime, cela signifie, par extrapolation, que les députés sont totalement pour la réconciliation nationale. Les autres ministres controversés (Lotfi Brahem de l’Intérieur et Hatem Ben Salem de l’Education nationale) n’ont pas « démérité » non plus avec respectivement 151 voix et 147 voix.

 

 

R.B.H

12/09/2017 | 10:25
1 min
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Commentaires (16)

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Tounsi 7or
| 13-09-2017 15:06
Je ne pensais vraiment pas qu'ils referaient surface avec ce nombre.
La section "commentaire" est vraiment un dépotoir parfois

Tounsi 7or
| 13-09-2017 15:05
Sérieusement?
Retourne dans ton trou à rats, tu y trouveras tous tes maîtres, et si tu ne les y trouves pas, cherche dans la poubelle (pas celle de ta cuisine mais celle de l'histoire) et restes-y.
Sale traître, bouffon rétrograde.
Tu n'as vraiment rien compris...

EL OUAFFI
| 13-09-2017 14:41
La période de pouvoir il n'y avait ni tyrannie ni despotisme ni régionalisme il y avait que le sérieux et la rigueur dans la gestion de l'Etat mais hélas les événements tragiques et violent du 14 janvier 2011 ont généré beaucoup des crises aigus la tristesse règne un peu partout les articulations de L'Etat ont été endommagé et l'Etat avait perdu sa crédibilité il n'y avait plus d'obéissance comme dit le tous devenus égaux comme les dents d'un âne comme dit le proverbe( Chélhi ) vraiment la disparition de l'Etat profond a percuté négativement sur la vie sociale et moral.
Je suis sure et certain que le sabotage du système de Ben Ali et son équipage entra dans la stratégie pour la création d'un nombre important des misérables .
Mais grâce à bon les écrivains et les hommes conscients ont réveillé ils ont découvré qu ladite révolution est une intrigue hormis la révolution de Bourguiba et son équipage était un défit sans précédent .
Quand est e que en procédera à une réconciliation avec les anciens dirigeants qui ont fondé un pays souverain et indépendant .

Abel Chater
| 13-09-2017 13:49
@Tounsi
Ces @Leon, @veritas, @Gg, le berger @HatemC, @takilas, @kaméléon78, le faux @EL Ouaffi et tant d'autres nullards, ne remarquent même pas la monotonie de leurs discours contre la transition démocratique et contre l'abolition de la dictature et du despotisme en Tunisie. Ils rabâchent toujours le même disque fatigant, de même débit, de même sujet, de même tonalité et de même débilité. Les lire ou leur répondre à quoi que ce soit de leurs âneries, n'est bon que pour passer du temps à se moquer de leur débilité de cas psychiques. Crois-moi, le langage de ces nullards n'a pas changé d'un seul iota depuis qu'ils avaient refait surface après la Révolution du 14 janvier 2011, au point qu'il n'est plus possible de les lire sans vomir.
Figure-toi qu'ils répètent le même discours jours et nuits, de une heure à minuit et de dimanche à samedi, sans la moindre objectivité, ni la moindre vérité, ni la moindre honnêteté. Une manière endoctrinée chez les juifs par leur lait maternel.
Ils nous disent maintenant que jadis chez les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, la vie était en rose et la Tunisie était un paradis terrestre. Sans pour autant qu'ils ne perdent un seul mot au sujet de la raison de leur chasse à coups de pierres et à feu et à sang par l'ensemble des Tunisiens sur l'ensemble du territoire tunisien, ni qu'ils ne nous parlent des milliers des jeunes tunisiens qui se sauvent clandestinement de la Tunisie, jusqu'à finir en appât pour les poissons de la méditerranée. Leur bassesse est tellement maladive, qu'ils ne pensent qu'à leur propre cas d'Azlèms, qui volaient les Tunisiens en jouissant de privilèges extraordinaires au détriment de ce qu'ils appellent eux-mêmes «des zones de l'ombre».
Maintenant que les cartes sont jouées et qu'ils constatent la pacification innée du peuple tunisien, ils nous reviennent du même trou de serpents, pour recommencer ce dont ils avaient échoué durant les 55 années postindépendances avec tous leurs Gourous de Bourguiba et de Ben Ali. Ils ne laissent plus de chance aux Tunisiens de rester pacifiques avec eux, lors de leur seconde vraie Révolution tunisienne.
Avec mes salutations.

Abel Chater
| 13-09-2017 11:02
J'ai un poulailler et il m'arrive souvent de constater qu'à l'approche des coqs, les poules se rabaissent, donnant ainsi, des marques de soumission pour que les coqs les montent et les fécondent.
Ces mêmes coqs, se sauvent par toute la lâcheté de ce monde, même à l'approche de petits enfants qui leur jettent des pierres et leur scandent "dégage".
Une fois les enfants retirés vers leur vie quotidienne, les poules qui ne possèdent aucun courage pour scander "dégage" aux coqs, retournent à leur lâcheté et se soumettent de nouveaux aux coqs, jusqu'à ce que ces derniers recommencent de nouveau à se sentir forts et à crier leurs cocoricos.
Lorsque je pense que la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, ne fut qu'une révolution populaire contre la tyrannie et le despotisme de tout un régime dictatorial, ayant trouvé sa source dans un cercle régionaliste, allant de Monastir jusqu'à Mahdia vers la droite et jusqu'à Hammam-Sousse vers la gauche, je me demande d'où nous sortent ces partis profiteurs comme Ennahdha et tant d'autres, qui se sont monopolisés mensongèrement les objectifs d'une Révolution qui ne leur appartient nullement. Ils trompent le peuple tunisien, nous donnant l'impression qu'ils adoptent les buts de la Révolution du 14 janvier 2011, alors qu'en vérité, ils ne font que s'agripper au pouvoir à la manière des lézards de murailles.
Nidaa Tounes et ses «Azlèms», nous font reculer vers le cauchemar d'antan, sans pour autant qu'ils ne trouvent une vraie opposition contre leur despotisme. Un despotisme dictatorial qu'ils nous glissent en douceur et qu'ils ne cachent que sous leurs cendres d'Ennahdha elle-même.
Les coqs de l'ancien régime dictatorial déchu, nous reviennent avec leur arrogance et leurs cocoricos habituels et les poules d'Ennahdha, les aident par leurs marques d'une soumission flagrante. Il ne nous reste encore que de voir nos enfants leur scander de nouveau un «dégage» foudroyant, à Nidaa Tounes comme à Ennahdha.

EL OUAFFI
| 12-09-2017 23:59
Soit que ce soit les inconvenants du pouvoir de l'ancien président la situation à cette époque était meilleur que l'instant .
Le président Ben Ali le seul qui pourra présider la Tunisie en maîtrisant le pouvoir avec bras de fer avec ceux qui abusaient la dignité des Tunisiens il sait ceux qui sont manipulés par ceux qui ont le but de ruiner le pays et qu'ils se cachaient derrière le religieux pour avoir un nombre important des individus .
une surveillance policière sans relâche pour préserver une vie meilleure pour l'ensemble on se promenait 24 sur 24 sans risque .
Nous avons regretté l'absence de Amar 4X4 04 la marque de la dignité accompagner d'honneur et de prospect .

Forza
| 12-09-2017 19:10
Ou des oscillations, l'aiguille pousse à l' extrême et puis revient, ça va encore changer. Il faut savoir que beaucoup de pays d'Europe de l'est ont voté pour les partis communistes 4 ans après le changement. Les changements surtout après des révolutions sont accompagnés de beaucoup d'espoirs souvent irréalistes, donc tous les gouvernement qui prennent le pouvoir après une révolution sont confrontés a la déception de la population et a la nostalgie de cette population du « bon » vieux temps, c'est normal car les changements ont un prix (exemple désordre, blocage de routes et des sites de production, chute de tourisme car révolution veut dire aussi chaos et insécurité), le gouvernement révolutionnaire (même si on a eu en Tunisie beaucoup de continuité, BCE est de l'ancien système etc.) manque d'expérience, n'a pas ses gens au sein de l'administration donc c'est normal de voir des anciens revenir au devant de la scène car expérimentés. Même les nazis en Allemagne étaient très présents dans l'administration des années 50. Ils se sont recyclés, les américains ont même pris les plus brillants en Amérique comme le cas de Von Braun, je dis ceci sans vouloir comparer les gens de Zaba aux nazis, juste pour dire que les changements profonds prennent du temps.

Léon
| 12-09-2017 17:16
Qui est le Bayou3, ya Bayou3! Celui qui a laissé les caisses pleines ou celui qui par sa bêtise a contribué à les vider et a affamé le Peuple?
Je rêve! me traiter MOI, qui a été contre la révolution des traitres depuis le premier jour, de traitre!
Espèce de traitre confirmé par les résultats!

Léon, Min Joundi Tounis AL awfiya;
Traitricide efficace.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Tounsi 7or
| 12-09-2017 14:34
Vous êtes un traître. Vous n'avez toujours pas compris que c'est justement ce fdp de Ben Ali et ses "exécutants" beni oui-oui qui ont plongé la Tunisie dans la médiocrité que vous n'avez découvert qu'après la révolution.
Vous souffrez du syndrome de Stockholm ou vous appréciez de vous faire violer et de préférence par le même violeur.
Pitoyable !

tounsi
| 12-09-2017 13:31
les gens ne vivaient pas mieux M. l'orphelin seulement 1% des Tunisiens vivaient bien ( ***) comme vous dite et le reste vivaient sous terre et c'est pour ça il ce sont révolté maintenant pour après 2011 c'est normale que tout les pays du monde ou il y avait une révolution de 5 a 10 ans le pays passe par des problème mais a la fine il ce sont devenu les meilleurs pays au monde