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Le groupe des 32 suspend sa participation à la commission désignée par BCE
01/12/2015 | 19:33
1 min
Le groupe des 32 suspend sa participation à la commission désignée par BCE

Le député au sein de Nidaa Tounes, Mustapha Ben Ahmed, a indiqué dans une déclaration accordée, aujourd'hui mardi 1er décembre 2015, sur les ondes de Mosaïque Fm que les deux députés représentant le groupe des 32 au sein de la commission de consensus désignée par le président de la République, vont suspendre leur participation.

 

M. Ben Ahmed a précisé que des dépassements ont été constatés dans le déroulement des travaux de ladite commission de la part d'un député "appartenant à l'autre camp". "Il nous est impossible de continuer à travailler dans de pareilles conditions où la mentalité des dépassements est encore répandue", a-t-il souligné.

 

S.H

 

 

01/12/2015 | 19:33
1 min
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Commentaires (20)

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Tunisienne
| 03-12-2015 05:40
Je partage tout à fait votre analyse comparative Bourguiba/ Nasser. Peut-être un peu moins votre conclusion concernant BCE en qui j'ai pourtant fortement cru. Que retiendra l'Histoire de sa position -de plus en plus manifeste- vis-à-vis de son fils et des conséquences sûrement graves (quelle que sera l'issue du conflit) que cela aura sur le parti NT et sur le pays ?

dinosaure
| 02-12-2015 19:09
NASSER était à l'origine de la plus grande supercherie et le plus grand mensonge qu'a connu le monde arabe avec l'aide des SOVIETIQUES, qui l'ont trahi et donné tout ses plans militaires à l'état HEBREU ( c'est la spécialité des communistes), il criait dans tout ses discours qu'il allait jeter ISRAËL dans la mer, le résultat est que ce petit état de rien du tout, fait la pluie et le beau temps chez nous,BOURGUIBA était contre les agissement de NASSER qui a détruit tout les espoirs de voir la PALESTINE devenir un jour un état, ce malade a influencé les dirigeants PALESTINIENS de l'époque pour refuser 50% du territoire avec EL QODS comme capitale, résultat, le peuple PALESTINIEN est massacré, ses dirigeants courent derrière une chimère de 13% d'un territoire et un état qu'ils n'auront jamais, entre temps BOURGUIBA a construit la TUNISIE moderne et NASSER a mis le monde arabe à genou.
BOURGUIBA était un génie, il était habile, visionnaire et moderniste,NASSER avait le c'ur mais pas la tête, on ne dirige pas un pays avec les sentiments, BCE est a l'image du fondateur de la TUNISIE moderne, il a la tête et tout ces détracteurs regretterons après coup ce qu'ils font avec lui aujourd'hui,comme l'ont fait les détracteurs de BOURGUIBA qui est devenu subitement leur idole, tout le monde va en pèlerinage à MONASTIR une fois par an.

Napoleon
| 02-12-2015 17:44
Devoir de synthèse d'histoire. Sujet : les dictatures du 20ème et 21ème siècle en Tunisie ?
En Tunisie, les dictatures ont débuté le 20 mars 1956 après une période de 75 ans de protectorat français et se sont achevées un certain jour inoubliable et sacré du premier quart du 3ème millénaire.
1) La première dictature, qui a débuté avec l'indépendance, avait pour principal acteur Habib Bourguiba, avocat formé dans les universités françaises et marié à une française, qui lui donna un enfant Jean, devenu par la suite Habib Junior et connu aussi sous le nom de Bibi Junior lui aussi grand commis de l'Etat ami intime de J F Kennedy et du roi Hassan 2 du Maroc. Les hommes qui ont joué un rôle important sont Mestiri le vrai père du code du statut personnel et qui avec Mongi Slim le premier africain à présider le Conseil de sécurité de l'ONU et avec Nouira le créateur de la BCT et chef du gouvernement du vrai printemps tunisien sont les vrais instigateurs de la politique des étapes. On citera aussi Ladgham, Ben Salah, M'hiri etc. Bourguiba, le plus moderniste de tous les chefs arabes de tous les temps, était un dictateur nationaliste, visionnaire et social. Les prolétaires entreprenants lui sont reconnaissant, parce qu'il créa l'ascenseur social. En son temps le dollar américain valait zéro dinar trois cent quatre vingts millimes (0,380 dinar). Il fût renversé par ZABA le 07 /11/1987.
2) Le second dictateur, changea le régime économique du pays de l'Etat providence à, théoriquement sur papier,à l'économie du marché ; il privatisa certaines entreprises publiques qu'il s'appropria lui et sa famille. En contrepartie ? il offrit la sécurité (droit de vivre, droit de circuler sans risque...) pour la population. Il améliora la situation de la classe moyenne (prêts pour l'acquisition d'une voiture neuve, d'électroménagers, de logements et même des prêts de voyages) mais il sabota l'ascenseur social. En son temps, le dollar valait un dinar deux cent millimes (1,200 dinar). Il fût renversé le 14 /01/2011 par un sirocco (le sirocco fait mûrir le fruit mais ne le goûte pas) nommé Ali S.
3) La troisième dictature est une vraie dictature avec une loi électorale qui stipule :
Article1 : si les théocrates gagnent les élections ils gouvernent.
Article 2 : si les théocrates perdent les élections, on applique la théorie qui perd gagne et ils gouvernent.
Article 3 : si tu votes pour le Nida, c'est comme si tu vote pour la larve d'Ennahdha, il se métamorphose en anti-Nida. Le têtard se transforme en grenouille, le ver en papillon pourquoi pas le Nida en Nahdha.
Article 4 : si tu votes pour le vieux tu votes pour le chérubin.
Le dollar a largement dépassé le seuil fatidique de deux dinars.
Conclusion : vivement ce jour sacrée et inoubliable de la délivrance où la Tunisie a accouché de la troisième république pour les uns et de la république tout court pour les autres, car il ne veulent pas attribuer le nom de république à une dictature ou à un califat.

Tunisienne
| 02-12-2015 14:32
C'est cela le grand risque. Car il est facile de créer un nouveau parti, mais à chaque fois (à chaque nouveau parti créé et qui prétendra représenter cette mouvance), il y a aura une bonne partie d'électeurs potentiels qui sortiront du "circuit" : les déçus, désenchantés, sceptiques, fatigués, sans oublier les hésitants et ceux qui ne se reconnaîtront pas exactement dans la ligne politique du ou des nouveaux partis en question.

radhi
| 02-12-2015 13:10
Complètement d'accord avec Mehdi et salim.

BCS n'a aucun pouvoir réel à exercer ni sur l'exécutif, ni sur le législatif ni sur Nida Tounes.

Son pouvoir, il le tire de la faiblesse du Habib Essid qui ne veut pas exercer son vrai pouvoir constitutionnel.

Pour Nida Tounes, il est démissionnaire, donc il n'a aucun rôle à jouer.

Son pouvoir moral sur le parti, il vient de le perdre avec le soutien de inculte fils et son clan mafieux.

En plus, l'ARP doit se pencher sur la santé du Président et exiger des contrôles avant que ce soit trop tard.

Quand même on ne peut pas laisser l'avenir de la Tunisie traçé par HCS, Nabil Karoui et Chafik Jerraya.

salim
| 02-12-2015 12:03
Soyez solidaire et ne perdez pas du temps et créer un nouveau parti TAHYA TOUNES.

Nida Tounes n'existe plus et il est mort depuis l'alliance avec Ennakba et les dérives du Président et le clan mafieux de son fils.

La meilleure solution pour tous est de se séparer de ce parti et constituer un nouveau projet regroupant tous les démocrates progressistes du Nida Tounes avec certains patrites confirmés.

Le Temps et la conjoncture jouent en votre faveur.



mehdi
| 02-12-2015 11:54
Il faut tenir bon jusqu'au sacrifice.

BCS et son fiston inculte ne peuvent rien faire contre vous et sans vous.

Constitutionnellement parlant vous avez plus de pouvoirs que le Président Tartour et son clan mafieux Hafedh, Karoui, Belhaj, Jerraya.

Ou bien vous imposez vos choix justes, sinon créeer un nouveau parti avec tous les gens honnêtes du Comité politique (Ennaceur, Marzouk, Rmili, ...) et du Comité exécutif ainsi que certains patriotes cleans surtout l'équipe Mehdi Jemaa;

Et croyez moi la majorité écrasante des nidaistes seront avec vous et contre la médiocrité de l'entourage de Sebsi and Sebsi et Karoui and Karoui.

L'avenir de la Tunisie est entre vos mains.

A Bon Entendeur.


JOHN WAYNE
| 02-12-2015 10:27
Mes Chers Compatriotes,

Comme écrit maintes fois sur le journal électronique Business News, la Tunisie connait depuis le coup d'état de la CIA du 14 Janvier 2011, un effondrement sécuritaire qui menace son existence même.
Cet effondrement sécuritaire a comme origine un programme de démantèlement de nos structures républicaines qui a débuté dès la formation du gouvernement par intérim suite au complot qui a poussé le Président Ben Ali à un exil forcé en Arabie Saoudite.
Vous n'êtes pas sans ignorer que les hauts cadres responsables de la sécurité du pays, parfois depuis plusieurs décennies, ont été emprisonnés, persécutés, et parfois même éliminés physiquement.
Ce vide sécuritaire est programmé par Washington et son allié le Qatar et a pu être appliqué grâce a des collaborateurs Tunisiens qui ont en même temps contribué à la destruction de la Libye et à l'assassinat de son leader le Colonel Kadhafi.
Les attentats qui touchent la Tunisie depuis ce jour fatidique qu'est le 14 Janvier 2011 ne sont que le début d'une longue guerre d'usure.
Les Djihadistes de DAECH et d'Al Qaeda en Libye ont aujourd'hui créé une formidable force, forte de plusieurs milliers d'hommes, armés et entrainés par la Qatar et la CIA en Turquie et en Jordanie.
L'achat par le Qatar d'une flotte de dizaines de Boeing C-17 cédés par le Pentagone signifie que ce pays ennemi de la Tunisie a l'intention d'intensifier son pont aérien en Djihadistes et en armes vers la Libye.
L'on parle même d'armes chimiques qui seraient en ce moment même dans des camps d'entrainement de DAECH dans le Sud Libyen ou le Qatar a créé de véritables infrastructures militaires comprenant même médecins et hôpitaux.
Leur but est d'envahir le Sud Tunisien dans une guerre conventionnelle qui sera précédée d'attaques internes de notre territoire.
Ces attaques internes seront perpétrées sous deux formes :
Une attaque coordonnée et simultanée de type « offensive de Têt » ou « Toussaint rouge ». Celle-ci est illustrée par la saisie récente par nos forces de plusieurs caches d'armes militaires comprenant des mitrailleuses lourdes et des mortiers.
Et une attaque de type 11 Septembre sous forme d'avions s'écrasant sur des structures symboliques et vitales au fonctionnement de l'état Tunisien.
Le but de ces attaques est de créer un effondrement de l'état Tunisien avec perte du haut commandement et désertions massives au sein de nos forces de l'ordre.
***
Il est grand temps pour vous de prouver au monde que vous avez compris le complot qui menace vos vies et celles de vos enfants.
Par des manifestations massives prenant la forme de véritables marées humaines, vous pouvez obtenir l'avènement au pouvoir de vrais patriotes qui sauront défendre notre Patrie contre ses ennemis.
L'heure n'est plus à la démocratie, aux droits de l'homme, et à la mascarade du printemps Arabe, mais à sauver la Tunisie d'une descente au enfer qui en principe est imminente.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

Tunisienne
| 02-12-2015 09:38
Tout en saluant la lucidité et le bienfondé de vos analyses, j'aimerais que vous poussiez le raisonnement un peu plus loin et que vous nous disiez, en vous fondant sur les spécificités du contexte national et mondial actuel, ce que vous prévoyez si les tunisiens et tunisiennes s'abstiennent de voter.

Tunisienne
| 02-12-2015 09:33
J'ajouterais que le groupe des 32 s'est totalement décrédibilisé avec ses tergiversations qui ressemblent beaucoup à un raisonnement du genre : "je pars, retenez-moi". Il fallait bien réfléchir au départ avant l'annonce de la décision de la démission : soit ils annoncent leur décision de principe -issue du pourrissement certain de la situation- et s'y maintiennent, avec toutes les conséquences que ça entraîne, soit ils y réfléchissent à deux fois avant de l'annoncer, sachant les conséquences politiques graves que cette décision allait forcément avoir !