Ainsi, Anastasia peut s'en retourner bredouille, cette fois...
A ne plus jamais la revoir, ni ses grands ciseaux!
Entre les artistes et l’Etat tunisien, ce n’est pas le grand amour ! On le sait. Il n’y a qu’à vérifier le budget dérisoire alloué chaque année au ministère des Affaires culturelles pour s’en apercevoir.
Outre ce facteur, les artistes reprochent souvent à l’Etat de ne pas leur offrir de conditions décentes après leur retraites. Ces derniers se trouvent souvent en détresse car incapables de faire face au coût de la vie.
Dernier (triste) exemple en date, le grand caricaturiste tunisien Hassen Mechichi, qui se trouve dans la précarité depuis l’arrêt du versement de sa pension en 2008. Pour ne rien arranger, l’artiste est atteint d’une grave maladie qui l’empêche de travailler et d’être autonome.
A travers un poste Facebook publié ce dimanche 24 juin 2018, ses amis et collègues tentent d’alerter le ministère des Affaires culturelles sur la nécessité de subvenir aux besoins d’un caricaturiste tunisien qui a tant donné au pays.
N.B.G
Entre les artistes et l’Etat tunisien, ce n’est pas le grand amour ! On le sait. Il n’y a qu’à vérifier le budget dérisoire alloué chaque année au ministère des Affaires culturelles pour s’en apercevoir.
Outre ce facteur, les artistes reprochent souvent à l’Etat de ne pas leur offrir de conditions décentes après leur retraites. Ces derniers se trouvent souvent en détresse car incapables de faire face au coût de la vie.
Dernier (triste) exemple en date, le grand caricaturiste tunisien Hassen Mechichi, qui se trouve dans la précarité depuis l’arrêt du versement de sa pension en 2008. Pour ne rien arranger, l’artiste est atteint d’une grave maladie qui l’empêche de travailler et d’être autonome.
A travers un poste Facebook publié ce dimanche 24 juin 2018, ses amis et collègues tentent d’alerter le ministère des Affaires culturelles sur la nécessité de subvenir aux besoins d’un caricaturiste tunisien qui a tant donné au pays.
N.B.G