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Le FMI accordera des prêts à hauteur de 640 millions de dollars à la Tunisie
27/05/2016 | 10:50
2 min
Le FMI accordera des prêts à hauteur de 640 millions de dollars à la Tunisie

 

Le chef de la mission du FMI pour la Tunisie, Amine Mati a fait savoir que la somme allouée à la Tunisie pendant cette année 2016 s’élèvera à 640 millions de dollars qui font partie d’un plan de 2,9 milliards de dollar qui seront distribués tout au long des quatre prochaines années, pour pouvoir mettre en œuvre les réformes économiques proposées par le gouvernement, a indiqué une dépêche TAP.

 

M. Mati a déclaré dans une conférence de presse donnée depuis le siège du FMI à Washington, hier jeudi 26 mai 2016, que la Tunisie a reçu différents prêts pendant l’année en cours, d’une valeur totale de 2 milliards de dollars et qu’il est attendu que le pays sorte sur le marché monétaire international avant la fin de l’année ou bien au début de l’année prochaine.

 

Le chef de la mission du FMI pour la Tunisie, a informé que le programme pour la Tunisie comporte quatre axes principaux avec l’objectif de renforcer la stabilité économique, la réformes des institutions, le renforcement de l’intermédiation financière et la concrétisation d’un bon climat d’affaires. Il a été question également pendant le point presse, du plan quinquennal 2016/2020 qui sera présenté en septembre prochain et qui visera à réaliser une politique monétaire saine dans le but d’absorber l’inflation ce qui permettra de préserver les réserves de change utiles au pays en cas de crise externe de grande envergure.

 

Cet argent servira également à améliorer le rendement de l’administration, à payer les salaires administratifs, avait informé Amine Mati qui a continué en déclarant qu’il a été convenu d’abaisser les salaires pour qu’ils constituent 12% du produit intérieur du pays à l’horizon 2020, contre 14% actuellement.

 

Toujours selon M. Mati, l’argent prêté servira aussi à renforcer la sécurité dans le pays, à fournir plus de transparence dans les institutions de l’Etat et par conséquent à combattre la corruption, à réformer les institutions financières étatiques et à favoriser l’investissement étranger tout en assurant le droit des investisseurs.

 

S.A

27/05/2016 | 10:50
2 min
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Commentaires (5)

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DHEJ
| 27-05-2016 15:26
Du traité de la Marsa de 1883 article premier qui dait:

Afin de faciliter au FMI, Le GOUVERNEMENT TUNISIEN CONTINUER A s'engageR à procéder aux réformes

administratives,

judiciaires

et financières

qu'Amine MATI jugera utiles.



Mais MATI jugera-t-il utile de réformer la cervelle du Tunisien pour ne plus confondre le PK3 au PK2?


DHEJ
| 27-05-2016 15:04
Traité du Bardo de 1881 ou la Convention de Washington de 2016

déja-vu
| 27-05-2016 14:37
Rien Dans Les Mains, Rien Dans Les Poches
Il transformait d'un air vainqueur
L'as de carreau en sept de coeur
Sans faire d'erreur sans anicroche
Il faisait jaillir tout à coup
N'importe quoi de n'importe où
Petits drapeaux, pièces de cent sous
Il ne ratait jamais son coup
Et voilà
Disait-il fièrement
Et voilà
Un billet de mille francs
Et voilà
Disparu complètement
Tout l'monde en restait comme deux ronds d'flan

Pauvres va-nu-pieds...

Léon
| 27-05-2016 11:41
Mes posts ne servent plus à rien. Je lève le pied. Vous avez enfin eu ce que Léon n'a cessé de vous prévenir contre, sous vos moqueries de gueux insignifiants, à savoir la colonisation.
Mabrouk Alikom ce nouveau statut de "protectorat économique"! Bande de gueux et de traitres! Ne dites pas un jour que vous n'avez pas été prévenu. Je l'ai même fait dès le départ, et même avant mon compatriote John Wayne. Les gens qui ont un cerveau, comme G&G, Salahtataouine et quelques rares autres nous ont rejoint très vite et je les remercie.
Lorsque les Abel, les El Ouafi, et d'autres que je ne citerai pas (car ils ont un peu évolué dans le bon sens) applaudissaient à deux mains.
Je vomis le peuple qui par la haine et le régionalisme continue à crier Victoire. Sa victoire a été de mettre la main dans la main, souvent à partir de l'étranger, avec vos nouveaux colons. Ils sont connus et seront un jour montrés du doigt ou écrit en encre de merde dans les manuels d'histoire. Ces blogueurs, ces ONG, ces prétendus démocrates, technocrates, merdocrates........
Votre coeur était plein de haine contre ceux qui ont fait les beaux jours de la Tunisie et des votre en particulier. Vous fûtes d'un appui inconditionnel contre ceux qui fomentaient contre votre pays.
Mon coeur est plein de haine contre les bouseux que vous êtes et qui ont fait coloniser notre pays.
Mabrouk votre nouvelle Dignité de gueux; dignité qui vous donne le choix entre bouffer de la main du FMI ou de crever de faim.
Quelle Dignité! Peuple indigne!
Léon vous avait prévenu depuis le 14 maudit contre ce danger mais la télé propagandiste vous a appris à bien réfléchir et à bien répondre. À mes semblables, Patriotes et souverainistes, ils vous ont appris le mot "Azlem", "Théorie du complot" (sorti directement de la cia et bien relayé par nos médias traîtres....). Mots qui cachent votre manque de discernement et une certaine satisfaction des imbéciles que vous êtes.
Juste un mot avant de raccrocher: La Tunisie tremblait le soir du 14 maudit. Les rues étaient vides et vous, devant les télés propagandistes qui vous apprenaient ce que vous avez fait: Le peuple tunisien a fait ceci, le peuple tunisien a fait cela. Mais en réalité, ils ont tout fait pour vous. Ils voulaient juste votre approbation. Et vous la donnâtes en bons gueux, peureux et traitres!
Souriez, Vous êtes colonisés! Et surtout apprenez par coeur le
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Léon, Résistant, seul contre la "nébuleuse coloniale" et contre votre connerie.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Cogito
| 27-05-2016 11:11
Je n'ai jamais vu autant de prêts accordés à notre pays que depuis notre sacro-sainte révolution. Avons-nous vu ne serait-ce qu'un millime investi dans un projet immobilier, industriel, humanitaire ou autre, quelque chose qui crée de la richesse, de l'emploi, du service... non! Ceci paye le train de vie de nos élus, ministres et autre membres de l'administration sans nulle valeur ajoutée ; aucune. Un jour viendra ou le pays devra rembourser cette dette qui commence à ne plus avoir de fond et surtout qui ne procure aucune contre partie à l'état et encore moins au peuple. Pendant ce temps, finançons les nababs de la République!