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Le dossier de la CPG a pris un tournant dangereux, selon Zakaria Hamed
07/05/2015 | 10:03
1 min
Le dossier de la CPG a pris un tournant dangereux, selon Zakaria Hamed

 

«Le dossier de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG) est compliqué», a affirmé le ministre de l'Industrie, de l'Energie et des Mines Zakaria Hamed, en marge de la signature d'un accord relatif à la responsabilité sociétale de l'entreprise (RSE) organisée mercredi 6 mai 2015, en soulignant que les problématiques posées remontent à plus d'une décennie.

 

M. Hamed a estimé que l'affaire a pris un «tournant dangereux», notamment après la décision de mettre fin aux opérations financières de la compagnie en raison de l'arrêt de la production dû aux sit-ins. Il a souligné que cet arrêt de la production ne peut se poursuivre, précisant que le gouvernement doit accorder une extrême importance à cette question, d’ailleurs un conseil ministériel se tiendra prochainement à ce sujet.

Hamed a fait remarquer que la CPG n'a pu réaliser que 30% des objectifs fixés au plan de la production au cours du premier trimestre de 2015.

 

On rappelle que la section régionale de Tunis des mines du Nord relevant de l’UGTT avait annoncé, le 5 mai courant, la suspension de toutes les opérations financières de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG), pour préserver la continuité de l’entreprise et ses réserves financières.

 


07/05/2015 | 10:03
1 min
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Commentaires (35) Commenter
@A4 : un minimum de respect SVP
G&G
| 08-05-2015 09:42
"7200 bipèdes 500 dinars par mois pour ne rien faire" alors que d'autres gagnent 5.000 dinars par mois pour rédiger des poèmes.
Les 7200 sont des tunisiens qui ont le droit de se balader sur lac de Tunis, ce lieu aménagé par la sueur de leur parents de la CPG. Ce sont leur parents qui ont permis au budget de gagner 7 millions de dinars par jour soit 2.5 milliards de dinars par an soit soit 6o milliards de dinars durant la période de Ben Ali que vous aviez l'habitude de critiquer.
Donc qu'on change le modèle de développement ou qu'on appelle Ben Ali.
Désormais les mesures sur mesures ne marcheront plus avec les pauvres du sud.
Solution
Solar
| 08-05-2015 09:10
Je propose que l'activité de phosphate soit géré par les militaires au moins pendant 3 ans, et ce depuis l'extraction, l'acheminement et jusqu'à la transformation finale, bien sûr les ingénieurs, les agents et les ouvriers civils qui ont la volonté de travailler et de donner pour le pays en toute honnêteté sont automatiquement intégré. Les militaires ont participé à bâtir le pays après l'indépendance, rien n'empêche donc de le faire aujourd'hui.
Au menu, de la cendre volcanique
Anti-clochards
| 08-05-2015 02:49
Demain, samedi, fermeture "pure & simple" de toute la CPG. Qu'ils aillent, donc, TOUS au diable !!!
Leur "héros national" a hajji est par conséquent, invité à leur proposer de la pouzzolane ou de la pierre ponce, comme plat de résistance, avant d'occuper le poste de PDG du cratère !!

...il doit "poncer" à EUX

...ce minuscule instit de pacotille de mes "eux".
C'est avec l'argent du phosphate on avait développé le lac de tunis
G&G
| 07-05-2015 23:19
En 2002 j'avais attiré l'attention de Nouri Jouini alors Ministre du développement régionnal et de la coopération internationale sur le drame que connait la CPG aujourd'hui.
Il me posait la question sur la façon de promouvoir la région de Gafsa. Je me rappelle avoir répondu que le développement de cette région est tributaire d'un freinage immédiat du développement du littoral et jamais les deux en parallèle. Mais ne m'avait pas cru.
Il a fallu 13 ans pour qu'un certain Hajji confirme ma thèse.
G&G
Sahelien pure souche
Il est urgent de faire face au désastre programme de la CPG
AMOROS
| 07-05-2015 22:41
Monsieur Zakaria Hmad haut cadre du ministère de l industrie, membre de conseil d administration de plusieurs entreprises publiques, chef de cabinet de ce département ministériel et promu enfin Ministre de l industrie devrait connaitre par coeur les dossiers du ministère et entre autres celui de la CPG. Ou était il en sa qualité de chef de cabinet et de ministre lorsque la situation de la compagnie se dégradait. Normalement, il est parmi les responsables du naufrage de cette entreprise victime de la mauvaise gestion et de l incompétence de certains de ses cadres parachutes par un système de recrutement favorisant les proches des personnalités qui avaient la mainmise totale sur le pays. Monsieur le ministre est certainement au courant du tournant dangereux de la CPG depuis des mois. Pourquoi il l a signale maintenant. Un peu de respect de l intelligence du tunisien SVP. Seule une comité de gestion formée de compétences neutres peut détecter les maux et prescrire les remèdes de cette grande entreprise publique dont 50 % de son effectif est pléthorique et que le simple ouvrier qui y travaille perçoit un salaire moyen largement supérieur a celui d un haut cadre de l état BAC+10.
N avons creusé le fond,il faut rebondir immédiatement
QvieOUmort
| 07-05-2015 22:30
4 étapes: 1. Elaboration rapide d'un plan d 'actions clair, cohérent et compréhensible (actions immédiates, à CT, à M et L termes ) 2 . création d'un comité de pilotage et de suivi 3 . communication 4.Mise en place du plan d'actions et suivi.
5 mots clés:conscience de la gravité de la situation, rapidité, disponibilité, réactivité, adhésion de toutes ou de la majorité des parties
7 points importants:Nécessité de prévoir un plan pour améliorer la qualité de vie et l'infrastructure à Gafsa, nécessité d'un full audit à la CPG, nécessité de revoir le fonctionnement des filiales, nécessité d'arrêter les recrutements, nécessité de se doter de tous les moyens nécessaires et d'avoir des appuis et des soutiens de très haut niveau pour atteindre les objectifs tracés, nécessité de mettre en place une politique même a Long terme(sur 30 ans par exemple) pour l'alignement des salaires aux autres secteurs, nécessité d'assurer des conditions favorables pour le développement du secteur privé.
Traitres
hounga
| 07-05-2015 21:41
Ces traitres et zouaves doivent passer en justice et etre condamne pour haute trahison
Il faut dire, la CPG a disparu
Adnène
| 07-05-2015 20:58
Des années de conflits sociaux, en multiples formes de protestation et de baisse de production on fini par abattre la compagnie, se filiales et tout le circuit phosphate va s'écrouler comme un château de carte. On a à faire au cadavre du secteur des phosphates, c'est le même processus qui s'est produit en France dans les secteurs miniers de charbon et fer ....qui n'y existe plus. Là bas les revendications mal encadrées ont donné l'occasion aux investisseurs (qui attendaient l'occasion)de se désengager. Pour les phosphates tunisiens, la société civile sur le plan régional et national n'a pas pris conscience de la dérive "morbide" du secteur en entier. L'état n'ayant pas d'argent à mettre dans le secteur, puisque les caisses sont vides, les avoirs financiers de la société fondre comme neige au soleil. On tentera de restructurer le secteur "avec un partenaire stratégique" comme pour les banques.Et c'est plusieurs mois à ramer sans résultats garantis puis s'ajoute la détresse des sous-traitants dans la filière qui n'arrangera pas les choses.
Arrêtez de gouverner avec des mains tremblantes
Hamedmeg
| 07-05-2015 19:47
Pour résoudre ce problème il faut absolument limoger tous ceux qui, au nom de cette révolution, ont intégré le CPG et qui perçoivent un salaire sans pour autant avoir regagné leur poste de travail même pour une fois, puis il faut arrêter de dialoguer avec les sourds et appliquer la loi, car il est clair et net que ces gens ne font que saboter le gouvernement et quant il s'agit de la survie de toute une nation, il faut trancher et ce ne sont pas les Abbou ou Mansar ou encore Daïmi par leur discours de haine et de dispersion que le gouvernement doit céder.
Fainéants !
A4
| 07-05-2015 18:40
La CPG donne à 7200 bipèdes 500 dinars par mois pour ne rien faire. Ils sont sensés nous transformer Gafsa en une forêt amazonienne.
7200 x 500 = 3 600 000 dinars par mois pour des fainéants en exercice dont certains vivent à l'étranger. Avec ce montant, on peut construire un nouveau lycée tous les mois ...
D'autres fainéants jaloux des premiers, veulent un salaire similaire. Juste un salaire et sans travail s'il vous plaît !
Et pour avoir ce "droit constitutionnel" à la fainéantise, tous les moyens sont bons: grèves de la faim (entre deux repas), blocage des routes, blocage des voies ferrées, blocage des entrées d'usines, actes de vandalisme, détérioration des équipements, arrêt total de la production, etc...
C'est la révolution de la "DIGNITE" !!!