alexametrics
jeudi 18 avril 2024
Heure de Tunis : 19:00
Dernières news
Lassâad Yaâcoubi pavoise, les parents sont exaspérés !
24/04/2018 | 09:12
1 min
Lassâad Yaâcoubi pavoise, les parents sont exaspérés !

 

 

Le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi s’était félicité hier de la décision de reprendre les cours et de remettre les notes aux administrations. Plus tard dans la soirée, la Fédération générale de l’Enseignement secondaire a annoncé, que la suspension des cours sera maintenue et que les notes ne seront pas remises, contrairement à l’annonce faite par la commission administrative nationale relevant de l’UGTT.

 

Ce matin du mardi 24 avril 2018, alors que les cours semblent timidement reprendre dans certains établissements et pour certaines classes, le secrétaire général de la Fédération de l’enseignement secondaire, Lassâad Yaâcoubi, pavoise encore de la réussite de la « sacrosainte » grève.

 

Dans un post relayé sur les réseaux sociaux, Lassâad Yaâcoubi a estimé que « la réussite de la grève est la preuve ultime de l’union des enseignants et de leur solidarité ». Une réussite qui vient exaspérer les parents d’élèves, qui n’ont pas manqué d’exprimer leurs indignation sur des groupes créés à cet effet.

 

 

 

 

Pour l’instant, parents et élèves sont déboussolés. Certains élèves sont dans la rue alors que d’autres sont en cours sans plus d’information.

Une réunion consultative est prévue à 11h au siège central de l’UGTT.

 

M.B.Z

 

 

24/04/2018 | 09:12
1 min
Suivez-nous

Commentaires (13)

Commenter

Pâte molle
| 25-04-2018 07:28
J'étais sûr qu'il était une pâte molle qui jouait au dur.
J'étais sûr qu'il avait ce point commun avec la nahdha : m
provoquer le chaos en lisant sur un parterre composé essentiellement d'imbéciles.
J'etais sûr qu'il a aussi misé sur la mollesse des pouvoirs publics.
Faisons les comptes maintenant. Qui doit-on incriminer, le pauvre berger ou son troupeau ?

takilas
| 24-04-2018 21:43
Pour ne pas employer d'autres mots.
Ces gens et ces syndicats gâtés et lâchés par Ben Ali, sont certainement immunisés.

Watani
| 24-04-2018 20:21
Il est Dégoûtant, ignorant SANS REM'?DE, ignoble , il est la HONTE du pseudo syndicalisme de notre pays . C'est un POISON et un vrai imbécile heureux.

aldo
| 24-04-2018 19:30
en tant que guide du dossier en question , tu dois aller jusqu'au bout , la grande gueule a une limite , ne jamais jouer avec l'éducation de nos enfants ,cela te poursuivra le restant de ta vie , t'es trés trés mal conseillé et (( ABRUTISER)) par autrui , surtout ne pleures pas plus tard !!!!!.

MS
| 24-04-2018 18:54
Il y à une question qui ne cesse de me tourmenter l'esprit depuis quelques temps: A QUOI SERT L'UGTT ?
Malheureusement, je n'arrive encore pas à trouver un sens à l'existence meme de cette institution syndicale dans ce pays en l'an 2018.
Franchement, quand je lis les rapports économiques et financiers des pays qui nous observent, quand je vois la dégringolade de notre Economie depuis plus de 7 années de suite (Inflation, chomage, Devaluation du Dinar, IDE's en chute, etc...), quand je vois le comportement de nos fonctionnaires ainsi que leur rendement et leur productivité depuis un certain temps, quand je vois les dégâts directs et indirects des greves organisées et orchestrées par l'UGTT, sur la population et le pays: Je me dis que la Tunisie serait certainement mieux sans l'UGTT. Car, à mon avis, arriver à séquestrer l'avenir de nos enfants et compromettre ainsi l'avenir de toute une generation future pour des motifs honteux et irresponsables (augmentations salariales, retraite à 55 ans, etc...) je me dis que ces gens là ne peuvent êtres que payés pour demolir la Tunisie. Et comme l'a dit BOURGUIBA ¨ EJJAHL M'SSIBA ¨

monia
| 24-04-2018 13:34
mais plutôt un manoeuvre de la destruction massive en cours! lorsque la mission sera achevée, il prendra conscience à ses dépens qu'il n'aura plus voix au chapitre et qu'il a entraîné tout le pays avec lui dans sa descente aux enfers.

Rossi
| 24-04-2018 12:27
Je vois quand je lis parfois dans vos écrits que vous en voulez un peu à nos compatriotes à l'étranger mais sans comprendre pourquoi (excusez moi si je me trompe)
Qu'est ce vous leur en voulez exactement ?
Merci

Le déçu
| 24-04-2018 12:17
Cet énurgumene en ce comportant ainsi ignore les décisions de la commission administrative de son syndicat et se met en situation de rébellion contre son employeur l'ETAT ET sa .couverture de syndiqué.EN conséquence il doit être licencié et jugé pour menées subversives si tant est nous sommes en état de droit dirigé par un gouvernement responsable

HASSOU
| 24-04-2018 11:33
Cette crise de l'enseignement a montre' qu'il y a quelque chose qui ne va pas bien dans nos textes des lois relatfs a ce fameux droit constitutionnel de la greve. Ce n'est pas normal qu'on laisse le destin de toute une nation entre les mains d'un certain nombre restreint d'individus au nom de je ne sais quoi, sachant qu'ils n'ont pas ete elus par le peuple. Une reflexion devrait etre engagee par la societe civile et le gouvernement dans le but de cadrer ces actions. L'objectif est de garantir l'execution de ce droit sans pour autant entraver la marche normale de la nation. S'inspirer des experiences des autres nations nous obligent. Cela suppose d'abattre la forteresse syndicale par le pluralisme syndical. Fixer les domaines sensibles qui ne supportent pas l'arret du travail pour la nation. Redefinir les actions a deleguer aux syndicats par leurs adherents ect...

Léon
| 24-04-2018 10:12
Les comportements populaires sont souvent dictés par des "acquis" éducatifs et moraux issus des générations antérieures et s'inscrivant petit à petit dans les codes génétiques de leur descendance.
C'est dans cette remarque que le proverbe français "chassez le naturel, il revient au galop" prend tout son sens.
Les efforts titanesques de Bourguiba pour faire d'un peuple en majorité quasi-primitif, un peuple éduqué ou plutôt instruit, ont pour contre-effet, ce qui arrive aujourd'hui aux tunisiens.
L'instruction est arrivé très vite et ceux qui hier, voyaient leur parents dans une quasi-misère, se retrouvent aujourd'hui au coeur d'une classe moyenne que Ben Ali avait laissée aisée et prospère. La classe des consommateurs sans satiété. Un gouffre de "jou3", le mot arabe est plus parlant et plus évocateur que sa traduction française.
C'est le tunisien par définition: Un être sans patiente (donc promis à une perte certaine par sourate "al asr"), un être envieux, un être destructeur; pratiquant la politique du pire.
C'est pour tout cela, et sachant les pulsions qui vous motivent, que j'avais compris dès le 14 au soir que je ne pouvais rien attendre d'un tel peuple.
Le 14 janvier est l'expression la plus accomplie de cette politique du pire, politique de la terre brulée, à laquelle avaient appelé tous les traitres depuis leurs terres d'asiles respectives.
Le problème c'est que le jour-même où ils avaient été intronisés par leurs protecteurs atlantistes et fascistes, ils ont été, à leur tour victimes, de ce qu'ils sont, de leur triste réalité.
Ils auraient espéré un chèque en blanc des gueux qui les avaient applaudi au départ, mais en réalité ils n'eurent rien de cela.
L'état bâti sur les réalités du terrain a mis des décennies à s'accomplir pour arriver au miracle que l'on connait tous: Une Tunisie prospère, un dinar fort, des hommes d'affaires internationaux, une recherche scientifique digne de ce nom.....et ce, en dépit du peuple que vous avez tous eu le loisir de découvrir en vous découvrant vous-mêmes.
Vous me direz peut-être que je suis comme vous et que je montre les autres du doigt en fuyant les tristes réalités de ce que suis vraiment; c'est à dire un tunisien comme vous. Je vous répondrais que la différence est essentielle: Moi, j'ai vu le danger et vous l'avais montré. Moi je n'ai jamais applaudi le départ de Ben Ali et vous avais prévenu que c'était la pire des erreurs (et ce journal m'en est témoin).
Lorsque la horde applaudissait en même temps que BHL et son mentor Sarkozy, en même temps que le congress américain dans lequel ce décide tous les malheurs du monde arabe, votre serviteur, pourtant à mille lieues des cercles du pouvoir, vous appelait à la raison. Appels dans le désert peuplé de gens devenus fous et écervelés (et ce journal m'en est témoin).
La conséquence est ce que vous vivez aujourd'hui. Je me souviens vous avoir dit que vous n'avez pas pensé à vos enfants en faisant ce que vous fîtes. Pour ne rien vous cacher, je ne pensais qu'à la misère qu'ils allaient vivre des décennies durant; mais jamais à une forme de nuisance directe comme la déscolarisation.
Ceux qui ont détruit la Tunisie de Ben Ali continuent à la détruire aujourd'hui. Les chefs d'états passent et les destructeurs demeurent. Ce peuple a besoin d'une leçon. Une vraie. Il l'avait vécue en 1881 et se trouve dans une configuration équivalente aujourd'hui. La faim et l'insécurité dictée par le verset 112 de la sourate des abeilles sont évidents; mais vous n'avez pas voulu entendre votre serviteur, même au travers d'une parole de Dieu, dont certains islamistes se sont même moqués (?).
La Tunisie souffre, en dépit des sommes d'argent qui coulent à flot pour faire croire au gens que leur révolution a fonctionné. Je remercie quand même les donateurs car sans eux la guerre civile aurait déjà battu son plein (et cela n'est dans l'intérêt de personne).
La Tunisie de 2010, victime d'une attaque atlantiste en bonne et due forme; est aujourd'hui aux abois. Bourguiba n'avait-il pas eu une prophétie en disant qu'il craignait pour la Tunisie ses propres enfants? Cet homme qui s'en est allé, l'âme sereine, laissant une Tunisie prospère et rayonnante à un son logique successeur: Un homme de terrain, un soldat et un stratège, proche du peuple et qui connait et comprend le peuple.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.