La Tunisie a fermement condamné, dans un communiqué publié par le département des Affaires étrangères, aujourd’hui mardi 30 juin 2015, l’assassinat du procureur général d’Egypte lors d’un attentat terroriste perpétré, lundi, au Caire.
Tout en exprimant ses sincères condoléances et ses sentiments de profonde sympathie au peuple et au gouvernement égyptiens ainsi qu’aux familles des victimes, la Tunisie a réaffirmé son entière solidarité avec l’Egypte en ces douloureuses circonstances et réitéré son engagement à se tenir à ses côtés dans sa guerre contre le terrorisme.
Victime d’un attentat à la voiture piégée, alors qu’il quittait son domicile, le procureur général d’Egypte, Hichem Baraket a succombé à ses blessures. L’explosion aurait été déclenchée à distance. Deux civils et deux policiers ont été également blessés.
S.H
Commentaires (11)
Commenterà @ EL KABRANE ALLAL EL BARANI | 01-07-2015 15:05
à @ Abel Chater| 01-07-2015 00:42
condamnation il devra demander les excuses auprès de son dieu c'est le seule moyen pour qu'il s'échappera de cette peine .
Abdelhamid Essissi l'homme charismatique vetu d'un habille très jolies .
Un rouage de la dictature sanglante d'Al-sisi est mort
Ces procès ont été dénoncés par toutes les ONG mondiales et l'ONU.
Mais la majorité des gens qui commentent sur ce site sont aveuglés par leur haine des frères musulmans à tel point qu'ils n'ont plus aucune lucidité.
Posez-vous la question, combien d'opposants Morsi a t'il tué ou condamnés à mort et combien Al-sisi ?
@hannibal barca
Il faut condamner le meurtre, le meurtrier et l'assassin du meurtrier
Il n'y a pas plus grand meurtrier dans l'histoire de l'Egypte contemporaine, que l'assassin de cinq mille manifestants égyptiens en une seule journée pour leur voler le pouvoir et tous leurs acquis démocratiques, comme ce putschiste Saffah Sissi.
La Justice égyptienne s'est transformée en un outil de crucifixion des opposants du fils de la juive marocaine Sissi. Les magistrats égyptiens crient leur douleur et leur honte en regardant devant leurs propres yeux s'effondrer tous les critères juridiques ayant transformé leur Justice enune injustice flagrante contre les opposants politique du dictateur Sissi.
Aujourd'hui même, le Saffah sangsue des Egyptiens appelle à plus de condamnations à mort, comme si un président de n'importe quelle république sur cette terre, aurait le moindre droit d'aviser les magistrats à davantage de sentences capitales.
Donc, il faut condamner à la fois, l'assassinat de l'assassin procureur général du putschiste Sissi et non pas d'Egypte.