Le président de la République Béji Caïd Essebsi a reçu, ce lundi 6 juillet 2015 au palais de Carthage, le gouverneur de la Banque centrale Chedly Ayari. Les deux parties ont discuté de la situation financière et économique du pays.
A cette occasion, M. Ayari a remis au président Caïd Essebsi le rapport annuel de la BCT pour 2014. Les deux hommes ont également évoqué les activités de l’établissement et en particulier de celles du secteur bancaire tunisien. Les deux personnalités ont parlé longuement de la situation économique difficile du pays et des moyens de l’améliorer en comptant sur les ressources du pays et sur le développement de coopérations avec plusieurs pays.
I.N
La situation financière et économique de la Tunisie au cœur d'une rencontre Caïd Essebsi-Ayari
Le président de la République Béji Caïd Essebsi a reçu, ce lundi 6 juillet 2015 au palais de Carthage, le gouverneur de la Banque centrale Chedly Ayari. Les deux parties ont discuté de la situation financière et économique du pays.
A cette occasion, M. Ayari a remis au président Caïd Essebsi le rapport annuel de la BCT pour 2014. Les deux hommes ont également évoqué les activités de l’établissement et en particulier de celles du secteur bancaire tunisien. Les deux personnalités ont parlé longuement de la situation économique difficile du pays et des moyens de l’améliorer en comptant sur les ressources du pays et sur le développement de coopérations avec plusieurs pays.
Sur les rentrées illicite de devises provenant des pays étrangers aux associations manipulatrices et corruptrices des tunisiens. Il a laissé faire. Sans compter de ses accès d euphorie pour nous faire croire qu il fait son travail après les emprunts répétitifs , couronnés par le dernier de mehdi jemaa à un taux de près de 6% . L inflation qui a plus que doublé avec la planche à billets...et la liste de bétises est très longue.
M Ayari aurait écrit peu après la mise en place de l'euro un article où il parlait de "l'ancrage du dinar à l'euro" une aubaine pour les chantres de la convertibilité du dinar et de l'intégration de l'économie tunisienne dans l'économie européenne et mondiale: pas de problèmes de change, accès directe au marché financier international bref c'est un peu ce qu'aurait penser la Grèce en intégrant la zone euro
étant un pays méditerranéen(fatigué(motib)par des siecles d(histoire et pas trop copain avec le travail) et sortant d'un régime peu démocratique, comme la Tunisie, la Grèces'est mise à tirer des chèques sans provision ; c'es à dire, à vivre à crédit : travailler peu et dépenser beaucoup (comme la Tunisie)
Mais pour le "bonheur" de monsieur Ayari qui aurait révisé sa copie entre temps devant la réalité tunisienne, la Bct, contrairement à la Grèce, n'a pas renoncer à sa planche de "salut"(à billets) qui lui permet de surmonter les moments difficiles en attendant rahmet rabbi( les reformes structurelles et la bonne gouvernance), à condition que cette rahma ne tarde pas.sinon....
Faut faire marcher la planche à billet pour faire face aux futurs salaires et traitements du mammouth fonctionnarial pour les prochains mois...En plus des futures augmentations salariales
Les caisses sont à sec !! Faut que l'Oseille coule à flots Ya Si Ayari...Voilà en substance le résumé de la rencontre AkBar Boj' -- Ayari
