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La réglementation de change objet d'une rencontre entre Chedly Ayari et Wided Bouchamaoui
31/05/2016 | 15:57
1 min
La réglementation de change objet d'une rencontre entre Chedly Ayari et Wided Bouchamaoui

Une séance de travail s’est tenue, ce mardi 31 mai 2016 au siège de l’UTICA, entre la Banque centrale de Tunisie (BCT) et l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA), sous la présidence du gouverneur Chedly Ayari et de présidente de la centrale patronale, Wided Bouchamaoui, en présence du vice-gouverneur et du directeur de la BCT, d’une part, et de membres du bureau exécutif de la BCT ainsi que de présidents de fédérations professionnelles, de présidents  de chambres nationales et de présidents de commissions au sein de la centrale.

 

La séance s’es focalisée sur certains dossiers d’intérêt commun, notamment la réglementation de change, le financement de l’économie, la réalité de plusieurs secteurs spécialement celui de l’immobilier et de la joaillerie.

Selon un communiqué de l’UTICA, le dialogue était «franc et bénéfique» entre les deux parties. Il a été décidé à l’issue de cette rencontre de poursuivre les concertations et la coordination sur certains dossiers en cours.

 

I.N

 

31/05/2016 | 15:57
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Commentaires (6)

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Tounsi
| 01-06-2016 16:24
Depuis 1993, la quasi-totalité des transferts a certaines exceptions près s'effectuent auprès des banques de la place...La situation qui prévaut dans le pays depuis 2011 aurait incité des économies similaires à la Tunisie, d'imposer des restrictions de change drastiques...En Tunisie, le choix est tout autre..malgré la situation difficile, la volonté de certains tunisiens de se dessaisir du dinars, ce que iqualiqualifielifiegent, pour se positionner en devises est on ne peut plus clair...que ce passage ait une opération commerciale ou financiere avec l'étranger ...c'est clair...mais si l'objectif est de vouloir un glissement sur un terrain sans frottement...c'est à dire sans gardes fous, ce que adnen qualifie de bureaucratie, ca personne ne doit le permettre...surtout à la BCT...Le pays doit bcp à ces bureaucrates patriotes...n'eût été ce contrBCT de change, que A. blâme à tort et par ignorance, on n'aurait pas trouvé des sous pour s'acheter une aspirine..Que des gens boudent la Tunisie...c'est pour des raisons n'ayant rien à voir avec la bureaucratie et les 6 exemplaires de la BCT.ntrole :

Adnène
| 01-06-2016 11:08
A la BCT ils ont tellement verrouillé le change par des mesures bureaucratiques insensées qu'il n'y a plus personnes qui met des sous dans le pays à part le système FMI et les pistonnés auprès de certains partis. C'est le problème quand les technocrates n'ont pas conscience de la nécessité d'ouverture du pays sur l'économie mondiale et les retours de bâton des mesures bureaucratiques où on accumule les déclarations, par liasses de 6 exemplaires, cachets, timbres fiscaux et attente d'approbation ......bref des parcours de combattants infligés au possesseur d'argent!!!!! Voilà le résultat on tire le diable par la queue et un gueule de journée sans pain.

Messaouda
| 01-06-2016 08:09
Je pense qu il faut suivre les pays du bassin mediterraneen qui ont opte pour
l industrie touristique ou les touristiques reglent leurs achats partout
en Euros au lieu de la monnaie locale.

ourwa
| 31-05-2016 21:58
Y a-t-il vraiment un Etat digne de ce nom dans ce pays, un Etat qui dispose d'une constitution qui foncionne, d'un gouvernement qui gère la politique du pays, y compris la politique financière et monétaire et des ministres qui assument leurs fonctions et font leur travail? Apparemment non; bien que la politique concernant les finances publiques et la monnaie est déterminée par le parlement ( article 64), que les les arrêtés réglementaires adoptés par les ministres, chacun dans son domaine, doivent être visés par le président du gouvernement ( article 94)...nous voilà avec une réglementation de change phagocytée par par le gouverneur de la banque centrale ( un haut fonctionnaire), le syndicat des patrons, " de présidents de fédérations professionnelles, de présidents de chambres nationales et de présidents de commissions au sein de la centrale."... Ainsi, on voit l'un des pouvoirs régaliens, fonctions suprêmes de l'Etat, son parlement et ses ministères, détourné au bénéfice du lobby économique et financier privé...Pourquoi pas?! Après tout, et en l'absence de ministère et de ministre de l'économie, son simulacre Brahim, voué corps et âme aux finances internationales et aux officines prédatrices étrangères, a cru bon de leur offrir le pouvoir absolu de décider des orientations économiques du pays. Et en ce qui concerne cette "réglementation de change" dont on (qui?) a confié le dossier, ainsi que celui du financement de l'économie, à la BCT et aux patrons...l'avis, ne serait-ce consultatif, de la Cour des comptes s'est révélé superflu. Quant à celui de la commission des finances de l'Assemblée...( qu'est-ce que c'est?)...
"Haybet eddawla "et "souveraineté nationale", dites-vous?

El Chapo
| 31-05-2016 16:45
Qu'est ce qu'il a le Ayari sur la photo ?!?

Il a vu un fantôme !?! Il aussi blanc et livide qu'un drap ...

Gentil
| 31-05-2016 16:11
Notre ministre des finances n'est pas concerné.