Parmi les promesses électorales formulées par les candidats aux Municipales, certaines sont trop ambitieuses, d'autres farfelues, d'autres encore, parfaitement irréalisables. C'est le cas d'une promesse de campagne annoncée par le parti Nidaa Tounes.
Dans un manifeste électoral émis par le parti, et datant du 17 avril courant, le premier point concerne une promesse d’exonération de la taxe municipale. Cette taxe sur les immeubles bâtis est gérée par le Code de la fiscalité locale. Or, toute loi ne peut être amendée ou ratifiée qu’à travers le pouvoir législatif.
Ainsi, la première promesse du parti au pouvoir tend principalement à induire en erreur les électeurs dans la mesures où les conseils municipaux n’ont aucun pouvoir pour imposer cette exonération sans la passage obligé par le parlement. Si certains candidats au scrutin n'hésitent pas à promettre à leurs électeurs monts et merveilles, d'autres préfèrent carrèment les induire en erreur. Mais tant que le code des collectivités locales n'a pas encore été voté, chacun peut lui faire dire tout et n'importe quoi...
S.H
Commentaires (15)
CommenterCette fois ça sera sans nous !!
Que de promesses électorales monsongaires !!!
Chahed a perdu une carte précieuse pour accéder à la présidence par sa peur, son hésitation et sa fragilité alors que le peuple avait confiance en lui dés qu'il a annoncé la guerre à la corruption. Il devait collaborer énergiquement avec l'intérieur, la défense et la justice et procéder au remaniement s'il le faut pour écarter ceux qui sont infiltrés.
vous avez mal traduit
Avec des gens nul!!
@houda
un petit rappel "WALLAH J'AIME AZZA MIEUX QUE TOI MILLE FOIS ET COMBIEN DE FOIS J'AVAIS LES LARMES AUX YEUX QUAND ELLE EST SUR LE PODIUM DES GRAND "
@HatemC
ID'?ES FOLLES !!!!!
les anciens combattants ont bien travaillé durant toute leur vie ,ils ont hissé cette nation vers un monde moderne pour un salaire très dérisoire ,ils étaient privé de toutes promotions et ils ont travaillé sans merci ,sous la menace .maintenant que viennent des bougnoules et des arnaques ,ils font semblant que les retraités ne sont jamais une force et il faut les enterrer vif comme disait votre ancien ministre BRIKA " ils ne sont pas encore enterrés "" ,alors que sont anatomie et son visage montrent qu'il est atteint de maladies graves ,il est plus mortel que nous autres .
UN PROJET AMBITIEUX DOIT '?TRE PLUS ORIENTE VERS TOUS LES TUNISIENS Y COMPRIS LES VIEUX QUI SONT MENACES QUOTIDIENNEMENT DE NE PAS RECEVOIR LEURS PENSIONS /
HONTE A VOUS TOUS , EMMERDEURS ARRIVISTES .
boycottons tous les municipales ,chacun de vous tous doit se rappeler de BCE et son virage après les élections ,je ne pardonne jamais ce coup bas et bye bye pour les élections ,ma accordé est accordé aux diables .
je veux que quelqu'un me rappelle qu'un politicien parle du bien des retraités ,ils sont tous et leur gouvernement dépourvu de déontologie
haro à vous tous .
Hhhhh
On vote aux Municipales alors que les lois des collectivités locales ne sont pas toutes votées
Comme dit le proverbe tunisien : "on a préparé le paillasson avant la mosquée". Cela s'applique aux prochaines élections municipales.
On n'a pas fini de voter toutes les lois sur les collectivités locales alors que les élections c'est dans 15 jours. En plus avec quel argent va-t-on financer ces élections, avec les prêts du FMI bien sûr, on va vers le mur, vous rajoutez à cela l'indifférence des électeurs qui n'iront pas voter et bien sûr la situation catastrophique au niveau de l'éducation nationale, le pays est au bord du précipice.
On organise des élections municipales en toute hâte alors qu'on n'a pas consolidé l'état. Tout cela va mal finir. On a l'impression que l'on est dans l'improvisation totale, chaque jour apporte son lot de surprises, avec ces candidats improbables, cette carence du gouvernement paralysé par la situation inquiétante du pays, une UGTT hostile ignorant les problèmes de la Tunisie, un pays endetté pressé par le FMI et la Banque Mondiale,des élections Municipales coûteuses qui intéressent peu de monde, voilà l'état de la Tunisie au Printemps 2018, un pays qui se dirige dangereusement vers le chaos.