L’artiste Raja Farhat était l’invité de Myriam Belkadhi sur la chaine El Hiwar Ettounsi dans la soirée du 27 mars 2017.
Il était invité en sa qualité d’expert de l’Histoire du leader Habib Bourguiba et de l’Histoire contemporaine tunisienne. Durant son intervention, il a prodigué des trésors concernant l’Histoire de la Tunisie parmi lesquels le fait que l’appellation « Leader suprême » avait été formulée pour la première fois par Salah Ben Youssef.
Usant de son talent de conteur, Raja Farhat opère une plongée minutieuse dans l’Histoire de la Tunisie en ne manquant pas de critiquer vigoureusement l’instance vérité et dignité.
L’artiste Raja Farhat était l’invité de Myriam Belkadhi sur la chaine El Hiwar Ettounsi dans la soirée du 27 mars 2017.
Il était invité en sa qualité d’expert de l’Histoire du leader Habib Bourguiba et de l’Histoire contemporaine tunisienne. Durant son intervention, il a prodigué des trésors concernant l’Histoire de la Tunisie parmi lesquels le fait que l’appellation « Leader suprême » avait été formulée pour la première fois par Salah Ben Youssef.
Usant de son talent de conteur, Raja Farhat opère une plongée minutieuse dans l’Histoire de la Tunisie en ne manquant pas de critiquer vigoureusement l’instance vérité et dignité.
Merci Monsieur Raja farhat. Votre intervention relative au problème Bourguiba Ben Youssef est excellente. Elle traduit l'avis de la majorité des tunisiens. La Tunisie a besoin de tous les tunisiens. Continuons à soulever et discuter calmement ces points noirs de notre histoire pour baliser notre avenir.
Une vraie leçon d'histoire qui colle au plus près à la réalité. Loin des tripatouillages des ridicules falsificateurs, apparents ou cachés derrière le rideau.
Je l'avais déjà mentionné dans un com d'il y a un ou deux ans: tout est question de chiffres. Ben Youssef en avait marre d'être l'éternel numéro 2. L'indépendance était à portée de main. La présidence lui échapperait s'il restait numéro 2. Il a donc décidé de passer numéro 1. Le plus beau, en adoptant une politique contraire à sa propre politique qu'il mène depuis le début des années 50, car depuis cette date sa mission déclarée dans le gouvernement était de faire accéder la Tunisie à... l'autonomie interne.
Un pays ça se bâtit. A plein temps. Raja Farhat a raison de le mentionner. Comme De Gaulle, Bourguiba a décidé à un moment donné qu'il fallait désormais se consacrer à l'édification du pays et qu'il fallait dépasser le passé. Le discours de Menzel Chaker très présent sur le net est là pour le souligner. On ne peut construire tout en se faisant la guerre. Au contraire de ce que veulent les falsificateurs d'aujourd'hui. Qui nous mènent lentement mais sûrement au désastre fini.
La politique est une question de résultats. Pas une affaire de parlotte brillante, d'envolées lyriques ou d'accusations jetées à la va-vite.
Le résultat est que Bourguiba a fait d'un pays comme la Tunisie sans ressources naturelles considérables à l'image de ses voisins directs un pays meilleur que ces mêmes voisins.
Si Bourguiba était président du Yemen ou de la Mauritanie, ces pays offriraient une bien meilleure image que celle qu'ils offrent actuellement.
Les Tunisiens doivent mesurer la chance qu'ils ont eu. C'est d'autant plus facile qu'il suffit de jeter un regard sur ce qui se passe aujourd'hui.
Par habitude je ne mets jamais de lien dans mes commenatires! Le nom de l'auteur est la (comme te l'a fait remarcqué Hatem- merci HC)et une simple recherche google suffit pour qui veut en savoir plus.
Le président Bourguiba a été un grand homme politique,mais le régime unique qui a géré le pays depuis l'indépendance a dévié de sa trajectoire ce qui a été en grande partie la cause du fameux 14 Janvier qui a débouché sur la dégradation du systéme politique et ses conséquences.
Pour les generations montantes et pour être à la hauteur de l'histoire du mouvement national ,il est nécessaire de bannir toute forme d'extremisme et notre pays doit rendre hommage à tous ceux qui ont insufflé l'esprit de la résistance contre le colonialisme.
Le premier à le faire est Ali Ben Khelifa qui a commencé la lutte armée des le mois de Juillet 1881 des la proclamation du protectorat avec de vraies batailles à Sfax et Gabes.
Bien d'autres personnalités ont poursuivi la lutte à partir de 1907 par la création du mouvement des Jeunes Tunisiens en passant par le Destour en 1920 puis le Neo Destour en 1934 jusqu'aux accords de 1955 pour l'autonomie.
Rendre hommage à Bourguiba est un devoir mais rendre hommage à tous ceux ayant contribué au mouvement national donnera son vrai sens à l'unité nationale et limitera les clivages politiques.
Ceci pour éviter l'utilisation du "bourguibisme" ou du "non bourguibisme" comme fonds de commerce par certains opportunistes dans une période ou les citoyens cherchent à se positionner dans un pays qui a un long chemin à parcourir pour éviter l'instabilité qui risque de s'installer .
Pour la énièmes fois même pendant l'era du président Ben Ali j' ai toujours suggéré que la journée du 3 Août sera un jor fériée pour célébrer l'anniversaire du premier président de Tunisie.
Allende, Churchill, Lafayette, Laplace (savant et mathématicien), Mendès-France, Montesquieu, Mozart, Roosevelt, Voltaire, Washington etc..étaient des maçonniens.. Mais un inculte comme toi, comment pouvait-il le savoir?
