La Fédération générale de l’Enseignement secondaire a rendu public un communiqué, ce mardi 22 janvier 2019, pour répondre aux déclarations du ministre de l’Education Hatem Ben Salem, estimant qu’elles sont "contradictoires et induisant les gens en erreur".
La Fédération a indiqué que la contradiction était claire lorsque que Hatem Ben Salem avait avoué que son département ne possède aucune solution pour les revendications des enseignants alors qu’il a fait part de la disposition du ministère à entamer les négociations. Et d’ajouter que "les attaques du ministre contre toutes les formes de militantisme du syndicat sont tellement ridicules qu’elles ne méritent aucune réponse".
Le même communiqué assure que la solution à la crise de l’enseignement secondaire est le passage par des négociations sérieuses et constructives, et non par le discours tendu et la fuite en avant, estimant que Hatem Ben Salem ne fait qu’ignorer la situation chaotique actuelle.
S.H
La fédération de l’enseignement secondaire répond à Hatem Ben Salem
La Fédération générale de l’Enseignement secondaire a rendu public un communiqué, ce mardi 22 janvier 2019, pour répondre aux déclarations du ministre de l’Education Hatem Ben Salem, estimant qu’elles sont "contradictoires et induisant les gens en erreur".
La Fédération a indiqué que la contradiction était claire lorsque que Hatem Ben Salem avait avoué que son département ne possède aucune solution pour les revendications des enseignants alors qu’il a fait part de la disposition du ministère à entamer les négociations. Et d’ajouter que "les attaques du ministre contre toutes les formes de militantisme du syndicat sont tellement ridicules qu’elles ne méritent aucune réponse".
Le même communiqué assure que la solution à la crise de l’enseignement secondaire est le passage par des négociations sérieuses et constructives, et non par le discours tendu et la fuite en avant, estimant que Hatem Ben Salem ne fait qu’ignorer la situation chaotique actuelle.
Ce que fait le syndicat de l'enseignement est un acte criminel en vers la Tunisie. En effet sacrifier l'avenir des élèves pour une poignée de dinars ne peut être qualité que de tel.
L'histoire mentionnera le rôle joué par ce syndicat de misère pour détruire l'enseignement public seul espoir pour la classe moyenne et pauvre en Tunisie.
Je me demande pour le compte de qui agit ce traitre « yaacoubi !? »
