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La commission économique mixte tuniso-américaine se réunit le 6 mai à Washington
03/05/2016 | 14:37
1 min
La commission économique mixte tuniso-américaine se réunit le 6 mai à Washington

Dans le cadre du partenariat entre la Tunisie et les Etats-Unis, une commission économique mixte tuniso-américaine (JEC : Joint Economic Commission) a été instituée pour resserrer plus étroitement les relations économiques entre les deux pays. Cette réunion du JEC, étant considérée comme une première en Tunisie, sera tenue le 6 mai 2016, à Washington DC.

 

Par ailleurs, la réunion du JEC aura comme objectif d’appuyer les efforts de développement économique en Tunisie notamment la compétitivité et la création d’emplois, et de procéder à un échange des vues sur les différentes questions relatives aux programmes d’appui financiers et de coopération technique.

 

Le secteur privé sera présenté par une délégation de 12 hommes et femmes d’affaires, menée par Khaled Babbou, président de la Chambre de commerce américaine en Tunisie (AmCham Tunisia).

 

Cet événement ayant été conçu conjointement avec une mission de Door-Knock Mission. Les objectifs envisagés lors de la DKM et le JEC 2016 sont de:

 

• Promouvoir l’image de la Tunisie en termes d’innovation, d’attractivité et de ressources humaines, • Booster les Investissements et échanges commerciaux entre la Tunisie et les Etats Unis, • Renforcer le partenariat économique et stratégique entre les deux pays, • Instaurer et entretenir un dialogue constructif sur les problématiques bilatérales et actions qui pourraient intensifier les opportunités de coopération.

 

En effet, la conférence de le JEC sera dédiée aux secteurs jugés prioritaires par le gouvernement Tunisien; notamment: l’agri-Business, les PMEs et le secteur des TIC, la JEC inclura les panels suivants :

 

• Le développement des exportations agro-alimentaires tunisiennes vers le marché américain, • Le Soutien aux PME Tunisiennes, • La croissance du secteur de TIC en Tunisie.

D’après communiqué

03/05/2016 | 14:37
1 min
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Commentaires (5)

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M.A
| 05-05-2016 08:06
Ce message est destiné au Ministre de l'Emploi, et à Khaled Babbou, Président de la Chambre de Commerce américaine en Tunisie (AmCham Tunisia).

En tant qu'expert scientifique et politique:

-Je ne peux que désapprouver la manière dont la Commission mixte citée en titre a été sélectionnée et préparée pour sa mission à Washington;
-Les 12 membres choisis à la rencontre de Washington du 6 mai 2016, ne me semble pas crédible et ne répond pas aux vrais besoins économiques et environnementaux de la Tunisie;
- Je reproche énergiquement aux acteurs politiques de la Commission mixte tuniso-américaine (JEC : Joint Economic Commission) de ne pas associer les experts tunisiens opérants en Europe et aux USA.
- Tant que la corruption, la fraude et l'abus des biens publics, entre autres, ne sont pas combattus pour en débarrasser la Tunisie de ce durable cancer, le pays ne repartira pas sur les bases seines, aggravant encore et encore le chômage, la décroissance économique et sociale et l'insécurité.
- La Tunisie a certes besoin de coopération internationale notamment avec les USA, mais de la manière stratégique dont cette coopération est menée que tout se joue ;
- En qualité d'expert politique et scientifique auprès de la Commission Européenne, à Bruxelles, mais aussi partenaire du Département d'Etat du Commerce à Washington, ou encore comme Consultant de la Banque Mondiale en projets internationaux, au regard des échecs et dégâts constatés, je ne cautionne plus la politique, économique et financière de la Tunisie avec les partenaires étrangers, dont les USA, sans une purge des corrompus et fraudeurs des fonds publics qui opèrent en toute impunité, dont je suis l'une des victimes fraudées et escroquées sur un projet industriel et académique de hautes valeurs ajoutées dont les fonds d'investissement avaient été détournés par le réseau politico-financier. Ce pourquoi je n'accorde pas de crédit à la Commission JEC citée en titre.
- Le Président de la République comme son Ministre de l'emploi ou encore celui de l'Industrie ont tous intérêt à écouter mes conseils pour affronter avec crédibilité l'avenir et sortir la Tunisie d'un ténébreux désastre social qu'elle n'en veut plus.
- Les autorités politiques de la Tunisie nagent dans le sable mouvant croyant battre le record mondial de natation.
- Je réagirai auprès du Département d'Etat à Washington, entre autres, si les autorités tunisiennes ne coopéraient pas avec ma personne entant qu'expert européen en stratégie d'innovation, pour lancer le pays vers l'espace de la stabilité, la concorde et la prospérité économique et sociale'
-En Tunisie, les autorités politiques doivent avant tout reconnaître, respecter et impliquer les porteurs de valeurs plutôt que demeurer dans l'enferment en attendant impatiemment les échecs.

Dr. MEZRI Abdou

SELIM
| 04-05-2016 19:00
Ce sont des réunions qui font perdre du temps, ça fait 5 ans et aucun investissement américain n'a vu le jour. Au contraire il n'y a que des conseils de prudence aux américains qui fouleraient le sol tunisien par hasard...

Le Demystificateur Universel
| 04-05-2016 09:19
Rien a attendre du grand satan.Son objectif,il l'affiche dans ses etudes et ses ecrits:Vassaliser le monde musulmanl'humilier,,lui imposer les crapules sionistes qui usurpent la Palestine.Il donnera quelques pieces,en paiement de l'allegeance et de la vassalité,pieces qu'il recuperera au decuple par de noirs stratagemes.Au mieux ,ce dialogue,ne peut etre que le dialogue du loup et de l'agneau.

Léon
| 03-05-2016 18:19
Allez prendre vos directives. C'est beau votre merdolution.
Il fallait écouter Léon depuis 2011. Vous le comprendrez un jour.
Vous êtes colonisé, ou au mieux, sous protectorat économique.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant souverainsite.

VERSET 112 de SOURATE des ABEILLES.

Bison
| 03-05-2016 18:02
"Renforcer le partenariat économique et stratégique entre les 2 pays."
"Instaurer et entretenir un dialogue constructif sur les problématiques bilatérales.."
La Door-Knock Mission semble vouloir s'appuyer sur le secteur privé pour relancer le dialogue sur les questions stratégiques bilatérales.
Le reste c'est du verbiage.