Il n'y a sûrement pas que lui qui pense cela, y compris au sein même de ce qui demeure de Nidaa Tounes qui
s'enfonce de plus en plus profondément dans sa folie destructrice, il faut bien le reconnaître.
Le député du bloc de la coalition nationale, Karim Helali est revenu, dans un statut publié sur sa page Facebook dans la soirée du vendredi 24 novembre 2018, sur la plainte déposée par le secrétaire général de Nidaa Tounes, Slim Riahi contre Youssef Chahed, Slim Azzabi, Mofdi Mseddi, Lazhar Akremi auprès du Tribunal militaire.
Le député a, dans son statut, relevé « la gravité et l’irresponsabilité » de cette plainte étant donné qu’il s’agit des accusations « infondées, insensées et qui nuisent à la transition démocratique du pays ».
Il a également appelé la justice militaire à ouvrir une enquête sur les allégations du « premier responsable du parti au pouvoir » l’exhortant ainsi à fournir des preuves appuyant ces accusations.
« Je me sens dégoûté et honteux rien qu’en pratiquant la politique dans un paysage qui comprend un homme de la nature de Slim Riahi », précise Karim Helali.
Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, le chargé de communication de la Kasbah, Mofdi Mseddi, l’ex directeur du cabinet présidentiel, Slim Azzabi, l’ancien dirigeant au sein de Nidaa Tounes, Lazhar Akremi ainsi qu’un sécuritaire sont, en effet, accusés par Slim Riahi de tenter de renverser le régime et d’orchestrer un coup d’Etat et ce en lien avec le dernier remaniement ministériel effectué par le chef du gouvernement, le 5 novembre 2018.
B.L
Le député du bloc de la coalition nationale, Karim Helali est revenu, dans un statut publié sur sa page Facebook dans la soirée du vendredi 24 novembre 2018, sur la plainte déposée par le secrétaire général de Nidaa Tounes, Slim Riahi contre Youssef Chahed, Slim Azzabi, Mofdi Mseddi, Lazhar Akremi auprès du Tribunal militaire.
Le député a, dans son statut, relevé « la gravité et l’irresponsabilité » de cette plainte étant donné qu’il s’agit des accusations « infondées, insensées et qui nuisent à la transition démocratique du pays ».
Il a également appelé la justice militaire à ouvrir une enquête sur les allégations du « premier responsable du parti au pouvoir » l’exhortant ainsi à fournir des preuves appuyant ces accusations.
« Je me sens dégoûté et honteux rien qu’en pratiquant la politique dans un paysage qui comprend un homme de la nature de Slim Riahi », précise Karim Helali.
Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, le chargé de communication de la Kasbah, Mofdi Mseddi, l’ex directeur du cabinet présidentiel, Slim Azzabi, l’ancien dirigeant au sein de Nidaa Tounes, Lazhar Akremi ainsi qu’un sécuritaire sont, en effet, accusés par Slim Riahi de tenter de renverser le régime et d’orchestrer un coup d’Etat et ce en lien avec le dernier remaniement ministériel effectué par le chef du gouvernement, le 5 novembre 2018.
B.L