la misere ,en plus l'humiliation ,la soumission et l'esclavage .
Le chef de l’Etat, Kaïs Saïed a reçu, ce mardi 5 novembre 2019, les représentants des structures professionnelles dans le secteur des médias, au palais de Carthage en vue d’examiner la situation des médias en Tunisie ainsi que les difficultés auxquels font face les établissements médiatiques.
La délégation reçue par le président de la République était, en effet, composée de Néji Bghouri, président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), de Taïeb Zahar, président de la Fédération tunisienne des directeurs des journaux (FTDJ), de Lassâad Khedhr, président de la Chambre nationale syndicale des chaînes télévisées privées ainsi que de Kamel Robbana, président de la Chambre nationale syndicale des radios privées. La rencontre a permis de débattre de la situation des journalistes dans les divers établissements médiatiques.
M. Saïed a, par ailleurs, souligné la nécessité de protéger les établissements médiatiques de toutes les menaces compromettant leur survie, rejetant catégoriquement les campagnes de diffamation et de dénigrement menées contre certains journalistes.
Dans ce sens, le chef de l’Etat a assuré son soutien à tous les journalistes notamment ceux avec lesquels il peut avoir des divergences, relevant qu’il était le garant des libertés constitutionnelles à l’instar des libertés d’expression et de la presse.
Le jour-même où Kaïs Saïed rencontre des représentants des médias et leur exprime son soutien, des membres de sa garde rapprochée profitent des réseaux sociaux pour dénigrer les journalistes et les injurier, dans une tentative de discréditer leur travail.
B.L
Commentaires (2)
Commentermensonge ,rien que mensonge !
la misere ,en plus l'humiliation ,la soumission et l'esclavage .
istakbala KS...
Le jour précisément où le Président reçoit les confrères du démissionnaire pour leur exprimer toute sa solidarité et les assurer de son souci de protéger la liberté d'expression !
Cherchez l'erreur !
Ce même Hachemi Nouira qui en a après tous les "dictateurs", cette espèce qui lui semble proliférer en Tunisie, et qu'il décèle en tout détenteur(**) d'un iota de pouvoir !
Comme ce pauvre Nabil Baffoun qui n'en peut mais, et qui a été traité publiquement sur "Hiwar", de "dictateur" par Hachemi Nouira, qui se dit pourtant "son ami" !
Cherchez l'erreur !
Préservez-moi de mes amis, mes ennemis je m'en charge !
Nota bene :
"examiner la situation des médias en Tunisie ainsi que les difficultés auxquels font face les établissements médiatiques"
La situation et les difficultés AUXQUELLES font face. . .(concordance de genre).
Maxula.
(*) Rédac-chef du journal "Essahafa" !
(**) En tant que rédac-chef, n'était-il pas lui-même un "petit dictateur" quelque part ?