Cet "analyste de comptoir",comme vous le définissez,veut procéder à un"formatage en nihilisme".Il aurait été plus judicieux pour lui de commencer par un formatage de son cerveau.
Cordialement.
L’universitaire et candidat à la présidentielle, Kaïs Saïed a indiqué, ce dimanche 16 juin 2019, sur les ondes d’Express Fm, qu’il refuse le financement public pour la campagne électorale, et qu’il ne comptera que sur ses fonds propres « aussi modestes soient-ils ».
Kaïs Saïed a indiqué, également, qu’une fois président, il aura la possibilité de présenter des initiatives législatives au parlement. « Ca fait partie des prérogatives du président de la République. J’aurai aussi la possibilité de ne pas ratifier les lois qui ne me correspondent pas. Je veillerai au respect de la volonté du peuple », assure-t-il.
Revenant sur l’amendement de la loi électorale, il a affirmé qu’il n’est pas concerné par les mesures d’exclusion de certains candidats, soulignant que ses déclarations contre l’homosexualité ne sont pas contre les libertés individuelles, mais s’inscrivent dans le cadre de « la protection de la société de certains fléaux malsains ».
Toujours, dans le même contexte, il a appuyé les propos de Ghazi Chaouachi, assurant que le rejet du titre du projet d’amendement implique le rejet de l’intégralité du projet, puisque les textes de loi sont clairs à ce sujet. « Dans tous les cas, la proposition de ce genre de projet de loi par les partis au pouvoir est une atteinte à la démocratie. Ces lois sur-mesure sont une violation des principes de la démocratie puisqu'elles doivent s'appliquer à tout le monde sans exception ».
S.H
L’universitaire et candidat à la présidentielle, Kaïs Saïed a indiqué, ce dimanche 16 juin 2019, sur les ondes d’Express Fm, qu’il refuse le financement public pour la campagne électorale, et qu’il ne comptera que sur ses fonds propres « aussi modestes soient-ils ».
Kaïs Saïed a indiqué, également, qu’une fois président, il aura la possibilité de présenter des initiatives législatives au parlement. « Ca fait partie des prérogatives du président de la République. J’aurai aussi la possibilité de ne pas ratifier les lois qui ne me correspondent pas. Je veillerai au respect de la volonté du peuple », assure-t-il.
Revenant sur l’amendement de la loi électorale, il a affirmé qu’il n’est pas concerné par les mesures d’exclusion de certains candidats, soulignant que ses déclarations contre l’homosexualité ne sont pas contre les libertés individuelles, mais s’inscrivent dans le cadre de « la protection de la société de certains fléaux malsains ».
Toujours, dans le même contexte, il a appuyé les propos de Ghazi Chaouachi, assurant que le rejet du titre du projet d’amendement implique le rejet de l’intégralité du projet, puisque les textes de loi sont clairs à ce sujet. « Dans tous les cas, la proposition de ce genre de projet de loi par les partis au pouvoir est une atteinte à la démocratie. Ces lois sur-mesure sont une violation des principes de la démocratie puisqu'elles doivent s'appliquer à tout le monde sans exception ».
S.H