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Jaouhar Ben Mbarek traite Abir Moussi de pleurnicheuse
13/04/2018 | 14:10
1 min
Jaouhar Ben Mbarek traite Abir Moussi de pleurnicheuse

 

Revenant sur la critique violente de Abir Moussi concernant son accueil à l’émission de Boubaker Ben Akecha « Ligne rouge » qui sera diffusée dimanche prochain sur Attessia TV, Jaouher Ben Mbarek, coordinateur général du mouvement Destourna et également invité de l’émission, a publié un statut sur sa page Facebook personnelle afin d’y réagir.

 

Dans son post, M. Ben Mbarek a dit que Abir Moussi « pleurnichait » à cause de ce qu’elle a subi lors de l’enregistrement de l’émission, la qualifiant d’une revenante des temps anciens. Aussitôt, elle accusait tout le monde, y compris M. Ben Mbarek de se liguer et de comploter contre elle. « La vérité c’est que Abir Moussi refuse, d’une manière hystérique, d’écouter les opinions contraires ou qui la critiquent. Elle refuse aussi le dialogue démocratique car elle croit qu’elle est en visite de complaisance dans une choôba (une section locale de son parti politique). Ces figures qui ont fait l’éloge de l’ancien régime et défendu la corruption pendant de longues années, ne peuvent pas accepter le dialogue lire et démocratique car ceux qui se sont nourris de l’humiliation ne peuvent que continuer à s’en délecter», précise Jaouher Ben Mbarek dans son post.

 

Rappelons que la présidente du PDL, Abir Moussi a exprimé son mécontentement de l’accueil qu’elle a reçu lors de l’émission « Ligne rouge », accusant les journalistes de détourner l’opinion publique contre elle et de dénigrer leurs invités en déformant les débats. Le chroniqueur de l’émission, Sofiène Ben Hamida, a cependant confié à Business News, que M. Moussi était tombée dans l’hystérie et que sa confrontation avec Jaouhar Ben Mbarek était houleuse.

 

B.L



13/04/2018 | 14:10
1 min
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Commentaires (11)

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takilas
| 15-04-2018 21:02
Cette langue de bois, on l'a assez entendu de la part de ceux qui se sont appropriés la révolution pour compenser leurs faiblesses et leurs complexes et ce afin d'escroquer avec cette ruse et cet alibi, indignement, des biens du peuple tunisien, et poursuivre leur duperie.
Leur arnaque est dévoilée depuis des années, et se confirme davantage.
Des voleurs.

Amor
| 14-04-2018 18:22
Jawhar a beau dénigrer l'ancien régime, il ne peut pas nier que les véritables dictatures ne permettent pas aux enfants d'opposants d'accéder à l'université comme étudiant puis en sa qualité d'enseignant.
Le véritable pleurnichard c'est bien vous comme en dénote tes pleurs à la rue Habib Bourguiba quand tes frères t'ont donné la bastonnade.

Citoyen_H
| 14-04-2018 15:15

Retourne dans ta niche et occupe toi de ce que tes moyens te permettent, à savoir surveiller des pâturages.
Décidément, il est acquis que la médiocrité fait partie d'un, des très rares acquis de la "brouettisation" du bled,
El bhéma et les coups en dessous de la ceinture, sont légions.
Après le récent déplorable spectacle affligeant des ploucs monopolisant l'étable des députés, plus rien ne nous étonnera.


observator
| 14-04-2018 12:02
Grace à l'argent des Emirats ?

Au fond elle ne représente rien politiquement mais saisit toute occasion pour justifier son pécule.

HatemC
| 13-04-2018 21:57
Je te compare à un idiot zheureux ...tu es touchant ... pourquoi ?

Tu crois que les Tunisiens sont tes étudiants pauvre naze ... HC

Forza
| 13-04-2018 19:48
Cette histoire d'Abir Moussi me rappelle la chanson de Bouchnaq,'nassawa nhibik winti nassaya' mais pour Abir on l'adopte a "bakaya winwaqt ichooba ..ousababa'

TABARKA
| 13-04-2018 18:02
La critique, elle est essentielle dans un débat politique. Ce débat peut parfois prendre l'allure de plusieurs aspects parmi eux l'hystérie, la névrose ..etc.. Le plus important c'est le fond, qu'importe la manière utilisée par Mme MOUSSI. Néanmoins cette attaque de Mr BEN MBAREK traduit un comportement caractérisé d'un masochisme masculin ancestral. Cette virulente intervention cache une préoccupation grandissante chez les MALES politiques Tunisiens car cette DAME dérange et elle commence à faire peur. La franchise et le courage de cette femme commencent à poser des problèmes aux politiciens chevronnés de la place. Sa force c'est sa dénonciation sans cesse des deux pôles politiques qui tirent en toute quiétude la Tunisie vers l'abime et le naufrage absolu. Dans ce cas là l'hystérie est amplement justifiée

houda
| 13-04-2018 16:33
CONTINUEZ A ATTAQUER ABIR MOUSSI PAR VOS MENSONGES cette dame de fer restera grande cumme une montagne apres tout elle a raison sous ben ali la vie des tunisiens etaient meilleures sur tous les plans il n ya que ceux qui tirent profit deu coup d etat du 14 janvier 2011 critiquent ben ali LA VIE DES TUNISIENS ETAI 100 FOIS MEILLEURE IL N A QUE LES VENDUS ET LES TRAITRES QUI NE SONT PAS RECONNAISONS A BEN ALI APRES 7 ANNEE DE MISERE IL Y A ENCORE DES TRAITRES QUI OSENT PARLER DE MAL DE BEN ALI C EST PARCEQU ILS SONT ENTRAIN DE PROFITER DE LA MISERE DES TUNISIENS

déja-vu
| 13-04-2018 16:01
Il a oublié comment il est rentré dans sa babouche quand Monsieur Safi Said l'a traité de "rat de la colonisation".
Pshiiiiiiiit...Il s'est aplatit comme une crêpe...héhéhé..
J'avais déploré la violence de Monsieur Said...J'ai eu tord. Il savait à qui il s'addraissait.

jilani
| 13-04-2018 15:11
C'est au 10ème siècle et peut être avant :
Mutanabbi : Va quérir la dignité en enfer s'il le faut ! Et refuse l'humiliation, même au paradis
El maari « Deux sortes de gens sur la terre : Ceux qui ont la raison sans religion, Et ceux qui ont la religion et manquent de raison »

Quand on les compare à nos racailles de religieux et politiciens actuels on a le vertige.