donc dissoudre le parlement et orienter différemment la situation par un dialogue direct via des représentants citoyens affranchis de tout intérêt spéculatif sur le pouvoir et l'argent....autrement dit...panser la plaie et la souffrance d'un peuple affamé, désorienté, malmené et méprisé.
Le secrétaire général d’Al Joumhouri, Issam Chebbi a relevé, ce mardi 18 décembre 2018, une « crise gouvernementale qui est en train de dégénérer » dont les indices sont « une rupture et une guerre déclarée entre le chef de l’Etat et le chef du gouvernement ». Les institutions de l’Etat qui « ne jouent plus leurs rôles » ainsi que le Parlement qui est « incapable » d’établir les législations et les lois contribuent également au « chaos qui règne au sein du système gouvernemental ».
M. Chebbi a souligné, lors de son passage à la matinale de Shems FM, que le chef du gouvernement, Youssef Chahed et certains ministres sont « occupés à former un nouveau parti et à se positionner pour les prochaines échéances électorales ». La présidence de la République est, quant à elle, occupée par « la bataille que Nidaa Tounes avait perdue afin de gagner des points supplémentaires ».
« Le palais de Justice sera bientôt transféré au palais présidentiel dans le cadre de cette bataille. Dans ce sens, certaines institutions de l’Etat, délicates comme l’institution judiciaire et l’institution sécuritaire, sont impliquées dans ces conflits », précise le secrétaire général d’Al Joumhouri.
Issam Chebbi a, finalement, reproché à l’opposition le manque d’alternatives sérieuses qui pourraient restituer la confiance des Tunisiens à la classe politique et assurer leur participation aux élections à venir.
B.L
Commentaires (2)
CommenterHARA KIRI
donc dissoudre le parlement et orienter différemment la situation par un dialogue direct via des représentants citoyens affranchis de tout intérêt spéculatif sur le pouvoir et l'argent....autrement dit...panser la plaie et la souffrance d'un peuple affamé, désorienté, malmené et méprisé.